Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 12:22

Cette histoire prend place dans un monde médiéval imaginaire. Le Culte de la Déesse est en train de s'y répandre, par les armes ou la séduction. Cette religion prône la suprématie féminine absolue et rabaisse les hommes au rang d'esclave ou de serviteur. Nous suivrons le parcours dans la soumission d'un général vaincu, obligé, pour sauver son peuple et sa femme, à se soumettre à la volonté des Prêtresses de la Déesse.

 

 

La reddition


Trois mois plus tôt.

C'est au terme de la bataille des deux rivières que ma vie de soumis au service de la Déesse et de ses prêtresses à commencé. En tant que Général en chef des armées de Mélodée, j'avais ordonné que le drapeau blanc de la reddition soit levé. Nos troupes coalisées, au terme d'une guerre de plusieurs mois et d'une bataille de plus de 16 heures avait fini par se retrouver coincées à la jonction entre le fleuve Suk et l'Adonée. Débordé sur nos flancs, dans l'impossibilité de reculer, à quatre contre un, nous avions livré une féroce bataille, mais les troupes fanatisées d'Alia, la Sorcière de l'Estant, avaient eu raison de nos forces. J'eus une pensée pour Solena, ma bien aimée que j'avais laissée en sécurité avant le bataille décisive, avant de m'avancer vers le campement de la Sorcière victorieuse. J'étais épuisé et surpris d'être en vie. L'odeur du champ de bataille m'écœurait, des milliers de combattants des deux camps avaient péri sur le champ d'honneur. J'avais peur de cette rencontre, car les Sorcières étaient réputées pour leur cruauté envers leurs opposants et pour leur mépris envers les mâles. Leur société était en effet toute entière au service d'une curieuse Déesse considérant l'homme comme un animal fait pour servir la femme. Venant moi-même d'une société plutôt macho, j'avais toujours considéré cette 'religion' comme amusante, jusqu'à ce que le Royaume de l'Estant devienne Empire et asservisse un à un ses voisins les plus faibles. Notre tour était maintenant venu. J'avais été désarmé et m'avançait vers la tente d'Alia, escorté par six amazones, les guerrières de l'Estant. En d'autres circonstances, leurs belles courbes aurait pu m'attirer, mais je n'avais pas le cœur à cela, j'étais prisonnier et n'avais pas la moindre idée de ce qui m'attendait. On me fit entrer dans la tente de la Sorcière, que j'allais bientôt appelé Grande Prêtresse. L'une des amazones m'interpella sèchement:

Je t'ai à l'œil. A l'intérieur, tu te tais et ne parles que quand on te pose une question. Et tu obéis. C'est un grand honneur pour toi de rencontrer notre Grande Prêtresse.

Le moment aurait été mal venu de tenter de faire de l'esprit. J'acquiesçai donc de la tête et regardai mes pieds. Le grand fouet que l'Amazone avait accroché à sa ceinture me motiva à me tenir calme. J'attendis un quart d'heure. Enfin, on me poussa sans ménagement à l'intérieur de la tente. Je me retrouvai enfin en face de mon ennemie Alia. J'eus le souffle coupé par la beauté de cette femme. Elle avait de beau cheveux mi-long, blond et des yeux bleus azur pénétrant. Une splendide bouche et une peau parfaite. Sa poitrine était à peine cachée derrière un léger voile semi transparent. Mis à part un pagne en soie rouge, ses longues jambes étaient à l'air libre. Enfin, elle portait de longues bottes noires. Son sourire était simplement envoûtant. A la fois radieux, érotique et supérieur. Deux hommes, nus, se tenaient dans la pièce. L'un d'eux agitait un éventail pour rafraîchir la Sorcière. Le second servait de repose pied à la Grande Prêtresse. Au côté d'Alia, se tenait une autre femme, plus petite, mais ravissante également. Elle avait de long cheveux brun tenu en natte derrière sa tête, une poitrine plus menue, mais tout aussi parfaite, et a l'air libre. Elle souriait. Je l'apprendrais plus tard, mais il s'agissait de Sofia, Chancelière de la Déesse, l'une des femmes les plus influentes de l'Empire de l'Estant. Hormis ces deux femmes, les six amazones qui m'avaient escorté se tenait dans la grande tente. Elle portait des hallebardes et deux d'entre elles disposaient d'un fouet menaçant.

A genou devant la Grande Prêtresse! M'ordonna l'une des Amazones en me donnant un léger coup de pied au creux du genou et en me poussant vers le bas.

Je tombai à genou et regardais les deux sorcières.

Sorcière de l'Estant, au nom de Mélodée, nous vous offrons notre redd...
Silence! Cria une Amazone. Elle me frappa violemment dans le dos et je tombai dans la poussière, je me remis à genou en me taisant, furieux.

Les deux femmes m'observèrent quelques interminables secondes.

Il est plutôt pas mal, sourit Sofia, la belle Chancelière.
En effet, enchaîna Alia. C'est toujours un plaisir d'avoir un beau mâle vaincu à notre merci. Que la Déesse en soit remerciée. Écoute-moi bien, petit Général, tes armées ont fait grand mal aux miennes, et de nombreuses de nos sœurs ont péri à cause de votre résistance sans espoir.

Je me fis la remarque qu'elle ne mentionnait pas les milliers de soldats masculins à leur service. Ils composaient le plus gros des pertes.

Dans mon immense gratitude, je suis cependant prêt à accepter la reddition de tes troupes. A certaines conditions. Elles sont à prendre ou à laisser. En cas de refus sur l'un de ses points, tous les soldats survivants seront exécutés et la ville proche d'Ethos sera rasée.

Mon cœur se serra, c'est à Ethos que Solena, ma fiancée, s'était réfugiée. J'avais peur pour elle. Je gardai la tête baissée, sachant que la perte de mon armée signifiait la fin des Royaumes de Mélodée. Mais nous avions été défait, il n'y avait plus d'issue. Alia se mit alors à me dicter une série d'exigences de l'Empire de l'Estant, un peu fastidieuse à énumérer dans ce récit. En bref, nos Royaumes s'engageaient à accepter d'être incorporé dans l'Empire, de ne commercer qu'avec le Temple de la Déesse ou les comptoirs autorisés, les soldats vaincus seraient emmenés à l'Estant pour participer à la construction d'un grand monument en l'honneur de la Déesse. Ils seraient libérés au bout de cinq années s'ils se comportaient bien. Un tribut – très lourd – serait versé chaque année au Temple et nous devrions reconnaître la souveraineté absolue d'Alia et des Prêtresses. Ce contre quoi nous avions lutté de toutes nos forces devenaient réalité. Mais la mort dans l'âme, il nous fallait accepter. Nos forces étaient détruites ou dispersées et incapables de résister plus longtemps.

J'accepte vos conditions, finis-je par lâcher laconiquement. Nous n'avons pas le choix.
Une dernière chose, ajouta la Grande prêtresse. Plus personnelle. Il nous faut une offrande pour la Déesse qui nous a offert la victoire. Tu vas te convertir à notre religion et servir la Déesse de la suprématie féminine. Les signes sont évidents: elle t'exige en remerciement de notre victoire.
Me convertir? Mais je ne connais rien à cette religion...
Tu apprendras étape par étape. Tout ce que la Déesse demande à ses serviteurs mâles est d'obéir aux Prêtresses et aux femmes en général. En d'autres termes, tu deviens notre serviteur. Nous t'apprendrons la manière.
Je ne veux pas. En tant que général, j'ai droit à l'immunité...
Il n'y a aucune immunité qui tienne. Nous ne suivons pas vos coutumes. Si tu refuses, Ethos sera rasée. C'est à prendre ou à laisser.

Je regardai le sol. Solena... Je ne pouvais accepter que ces Sorcière ne détruisent la ville et n'en tuent les habitants. Je ne pouvais pas être la cause de la mort de mon aimée. Je ne pouvais pas être responsable de la mort de milliers d'innocents. J'étais général et j'avais échoué.

J'accepte, chuchotais-je.
Parle d'une voix plus claire, tonna Sofia d'un ton sec. Et puisque tu acceptes, apprend ta première leçon et appelle la Grande prêtresse comme ses serviteurs le doivent: C'est Maîtresse Alia pour toi dorénavant.

Je pris ma respiration et répétai plus haut:

Maîtresse Alia, j'accepte vos conditions. Ne rasez pas Ethos. J'apprendrai votre religion et vos traditions.

J'ignorai bien sûr à l'époque la portée de ces paroles. Les aurais-je prononcées si j'avais su? Aujourd'hui encore, je l'ignore.

C'est bien serviteur de la Déesse, reprit Alia. Tu as fait le bon choix. Il ne te reste qu'à signer ce document.
L'une des amazones lui tendit un parchemin sur lequel était inscrit les conditions précédemment citées. La Grande prêtresse le signa à l'aide d'une longue plume puis tendit le document à la Chancelière Sofia. Elle le signa également et enfin me le tendit d'un air satisfait.

Puis-je avoir la plume?
Tu as déjà oublié ta première leçon, serviteur? Tança la Chancelière.
Heu... Puis-je avoir la plume ... Maîtresse...
Sofia.
Maîtresse Sofia?
Tu n'en auras pas besoin. La signature écrite d'un mâle n'a pas de valeur aux yeux de la Déesse.
Mais comment alors...?
Signe avec ton sperme. C'est comme cela que les mâles signent chez nous.
Mais... comment... ici?
Je dois t'expliquer comment ça marche? Dépêche-toi!

Cela me répugnait de me défroquer devant ces femmes. Alia et Sofia regardaient maintenant vers mon pagne – mon armure m'avait été enlevée lors de ma reddition. Étrangement la situation m'excitait un peu. Après tout, Alia, Sofia, et les six amazones présentes étaient de superbes femmes. Couchaient-elles avec leurs serviteurs?

N'y a-t-il pas d'autres moyens.
Tu négocies l'avenir de milliers de personnes, mais baisser ton pantalon te pose un problème? Demanda Alia, d'un air fâché. Soit tu acceptes de te convertir et de signer comme un stupide mâle doit le faire, soit j'ordonne à mes troupes de marcher sur Ethos. Choisis maintenant.

Elle pointa le parchemin du doigt. J'étais blessé qu'elle m'ait traité de 'stupide mâle'. La situation était surréaliste, mais une fois de plus, je n'avais pas le choix. La mort dans l'âme, je baissai mon pagne, dévoilant pour la première fois mon intimité à ces femmes. J'ignorais qu'à partir de ce moment, les occasion de cacher ma nudité se ferait rarissime. Les deux femmes ne manquèrent pas de remarquer que j'avais déjà une légère érection. Sofia sourit. Un sourire adorable. Je me sentais idiot.

Allez, reprit la Chancelière. Tu n'espères quand même pas que nous allons le faire à ta place? Jouir devant la Grande Prêtresse est un grand privilège!

Au fur et à mesure qu'elle parlait, mon sexe se dressait, je m'en voulais de bander. Dans ce cas-ci, je le ressentais comme une humiliation. Les regards d'Alia et de Sofia étaient maintenant pointés sur mon organe. Elles souriaient d'un air supérieur. Je me mis à me caresser. Je mis moins d'une minute à jouir au bas du document.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 12:20

 A la fin de la 'négociation', deux Amazones m'avaient saisi par les épaules et menotté les mains derrière le dos. Le soir tombait lentement sur le champ de bataille. Elles me tirèrent hors de la tente sans ménagement. Mon pagne était resté sur le sol et je dû traverser une partie du campement le sexe à l'air, encore légèrement en érection. Un peu partout des Amazones se reposaient ou fêtaient la victoire. Un murmure accompagnait mon déplacement. Certaines Amazones rirent ou trinquèrent en me voyant passer. D'autres me crachèrent dessus. Ma capture était un symbole de leur victoire.
Les mâles ennemis eux, effectuaient diverses tâches, souvent fatigantes. Ils avaient le regard vide et obéissaient aux ordres féminins sans broncher. La rumeur voulait qu'ils soient drogués. Cela expliquait leur fanatisme sur le champ de bataille et leur soumission aux sorcières. Je me demandai si j'allais devenir comme eux. L'Amazone qui avait ma charge – j'appris durant le voyage qu'elle répondait au nom de Flora – m'ordonna de m'assoir dans un coin. Elle prit quelques ustensiles dans un coffre et m'entrava complètement. Je me laissai faire, j'étais abattu. Elle me plaça une sangle autour de la tête et logea une boule métallique dans ma bouche. Je pouvais respirer mais plus prononcer un mot. Mes mains étaient déjà menottées. Elle installa une barre métallique attachée à chacune de mes chevilles et une autre au niveau des genoux. Je ne pouvais ainsi plus fermer les jambes et quasi pas me déplacer. Vu que j'étais assis, mon sexe se retrouvait bien en évidence. Enfin, Flora attacha les menottes de mes mains à un anneau logé dans le sol. J'étais à sa merci. Elle approcha son visage du mien. Elle était belle et avait l'air sûre d'elle.

Je crois que la Chancelière t'aime bien. Ça se voit. Elle sait que tu vas résister et aura d'autant plus de plaisir à te soumettre.

Elle se mit à me malaxer les testicules du bout des doigts. En d'autres circonstances, se faire toucher par cette jolie rousse aurait été agréable. Ici, c'était une humiliation de plus. Mais alors qu'elle parlait, je me remis à bander. Faiblement au début, puis de plus en plus fort.

Je suis chargée de t'escorter jusqu'au Temple, c'est à une semaine d'ici. Ne fais pas le difficile et tout se passera bien. Si tu te comportes bien, je serai peut-être récompensée. J'espère un jour pouvoir devenir Prêtresse et éduquer mon propre esclave éveillé.

Esclave. Le mot était lâché, c'était désormais ma classe sociale, moi qui avait dirigé des milliers d'hommes et qui avaient su commander et être écouté. J'étais maintenant un objet aux mains de ces femmes perverses. Alors que mon excitation montait sous les attouchements de la belle rousse, je pensai à Solena. La reverrai-je un jour? J'étais triste.

Il ne sert à rien de résister. La Déesse finira par asservir tous les mâles qui refusent ses enseignements. Tu finiras par t'habituer à l'humiliation – elle se mit à me branler du bout des doigts – Tu as un beau sexe. Bien proportionné. Avec beaucoup trop de poils – elle rit – mais de belle forme.

J'étais bêtement flatté, et alors que ses caresses s'accéléraient, je sentis la jouissance monter. Elle s'arrêta cependant avant que je n'éjacule à nouveau. J'étais soulagé et déçu à la fois. Avant de se retirer, elle me donna une petite claque sur la joue, plus humiliante que douloureuse, puis sortit de la tente me laissant avec une solide érection. Je ne dormis pas beaucoup cette nuit-là.

Des mouvements dans la tente me réveillèrent tôt le lendemain. Je mis un instant à me rappeler des événements qui m'avaient conduits ici, dans cette position ridicule. J'avais froid. Flora était en conversation avec deux Amazones. Je fis semblant d'être toujours endormi et appris que nous allions embarquer durant l'après-midi sur un bateau remontant le fleuve Suk pour rejoindre l'Estant. Nous n'arriverions à la capitale des Sorcières-Prêtresses que six jours plus tard. Les trois femmes finirent par parler de moi. Je retins ma respiration en espérant qu'elle ne s'approche pas.

C'est vrai qu'il est pas mal, affirma l'une d'elle.
Oui mais pas touche, la Chancelière Sofia a été extrêmement claire à ce sujet, rétorqua Flora. Elle veut l'éduquer personnellement.
Dommage. On peut quand même s'amuser un peu, non?

Je sentis un léger coup de pied sur le visage. Il n'était pas destiné à me faire mal, mais à me réveiller.

Debout soumis. Les esclaves ne sont pas censés dormir plus longtemps que leurs Maîtresses.

Ne pouvant plus nier être endormi, j'ouvris les yeux. Flora me saisit par les épaules et me mis sur les genoux. Instinctivement, je voulus refermer les cuisses, mais les barres métalliques m'en empêchaient. J'étais nu et impuissant et ne pouvais parler puisque j'avais toujours cette boule métallique en bouche.

Regardez-moi ça si c'est pas mignon, rigola Flora.

Elle regardait mon sexe pendant, mi-mou. J'avais mon érection matinale, comme quasi chaque jour. Comprenant ma gênes, les trois femmes éclatèrent de rire. Je sentais mes joues rougir.

Il faisait plus le fier hier sur son cheval, notre petit général, constata l'une des deux Amazones.
Il est maintenant à la place qui lui revient. Louée soit la Déesse, ajouta la deuxième.
Mais la Déesse aime les beaux sexes dressés en son honneur, ajouta Flora, s'adressant tant à moi qu'à ses deux comparses.

Comme la veille, elle saisit mes bourses et me massa le sexe. Je ne mis que quelques secondes à avoir une belle érection. Flora cessa de me caresser aussitôt et les trois Amazones contemplèrent mon intimité.

Joli!
Et tu vas devoir passer une semaine avec ça sans t'en servir?
J'adorerais pouvoir. Mais c'est un esclave éveillé. Il n'est absolument pas prêt et ne recevra aucune drogue. Donc pas touche. De toute façon, nous avons des centaines d'autres esclaves à disposition pour nous amuser.

Comprenant que je coucherais sans doute pas avec la jolie Flora, je me surpris à être déçu. Mais la sensation d'humiliation reprit rapidement le dessus lorsqu'une des deux femmes me pinça fort un téton. Je gémis. Elle recommença au niveau des bourses puis revint au téton. C'était très désagréable.

Il a l'air douillet.
Oui, Dame Sofia va adorer cela.

Suite à ce commentaire, je me forçai à ne plus réagir. L'Amazone insista un peu mais n'obtint plus le moindre gémissements. Elle finit par se lasser.

Douillet mais fier.
Pas pour longtemps.

Les trois femmes finirent par me laisser dans mon coin. J'y restai plusieurs heures. Je commençais à avoir très faim, je n'avais plus mangé depuis la veille. Enfin, dans le courant de l'après-midi, Flora et trois nouvelles Amazones que je n'avais pas encore vu revinrent vers moi. Flora semblait être leur chef. Elles me soulevèrent, me bandèrent les yeux et me portèrent jusqu'à un chariot. Je fus emmené jusqu'au fleuve. Ce n'est qu'une fois à l'intérieur, dans une cabine qu'on me débanda les yeux. Mes mains, et mes jambes étaient toujours entravées. Je portais également toujours le bâillon. La cabine, que je n'allais pas quitter du voyage n'était pas très grande. Il y avait cependant un grand lit qui semblait assez confortable. Et un endroit pour faire sa toilette. Mais je compris vite que tout cela ne m'était pas destiné en voyant une cage dans un coin, avec un peu de paille sur le sol. On m'y poussa et on la referma derrière moi. Je restai seul pendant une dizaine de minutes. J'avais faim, soif et devait uriner. Flora finit par entrer dans la cabine et je me mis à pousser des grognements pour attirer son attention. Elle s'approcha de la cage.

Qu'est-ce que tu veux petit soumis?

Je ne pouvais pas répondre. Elle sourit.

J'ai ordre de ne pas commencer ton éducation et de ne t'humilier que raisonnablement avant ton arrivée au Temple. Mais je peux quand même te préciser quelques règles auxquelles tu vas devoir t'habituer. En tant que mâle, tu ne peux parler que si une femme t'adresse la parole. S'il y a quelque chose que tu estimes vraiment important à signaler, il y a des manières bien précises de le demander. Tu apprendras lesquelles une fois au Temple. Il va de soi que dans tous les cas, si ta Maîtresse juge que ta demande n'est pas justifiée, tu seras sévèrement puni. Elle pointa du doigt un fouet accroché au mur. Compris?

Je hochais la tête. Ces stupides règles m'énervaient. Il fallait que je trouve un moyen de me rebeller.

J'aime les belles érections. Si tu veux parler, approche ton sexe des barreaux, sourit Flora.

C'était différent des deux premières fois où Flora m'avait caressé de force. Je devais ici lui offrir mon intimité de plein gré. La démarche, une fois de plus était humiliante. Mais en même temps, j'étais excité à l'idée de me faire toucher de nouveau par la belle Amazone. Je m'exécutai donc et dans une position ridicule – j'approchai ma bite des barreaux. Flora constata que mon érection commençait déjà. Elle approcha sa main. Je retins mon souffle. Au dernier moment, elle s'arrêta sans me toucher. Je tentais d'approcher encore plus mon sexe. J'avais envie de jouir. Elle approcha à nouveau se main faisant mine de me toucher mais s'arrêta à nouveau en m'effleurant à peine. Je bandais maintenant très fort.

Et bien je vois que tu n'as pas besoin de moi. Je t'excite à ce point?

Voyant le tour qu'elle venait de me jouer, je compris que j'avais perdu une manche. Elle savait maintenant que j'étais prêt à la laisser me toucher et qu'elle m'attirait. Je me maudis de ma stupidité, mais il était trop tard.

Bien, je vais te retirer ton bâillon Promets-moi simplement deux choses: de un, ne te mets pas à crier ou à dire des bizarreries. Ta demande et uniquement ta demande. Ensuite, promets moi de me laisser te remettre le bâillon sans faire le difficile. OK?

Je hochais la tête et approchai la tête des barreaux. Flora y passa les mains et détacha la sangle qui passait derrière ma tête et maintenait la boule métallique en place.

Je t'écoute.
Serait-il possible d'avoir quelque chose à manger et à boire? Je n'ai rien pris depuis hier. Je dois également aller à la toilette.
Tu n'as rien oublié?
Heu...
Quand tu t'adresses à une femme, tu dois lui rappeler ton obéissance. Mentionne le mot 'Maîtresse' suivi du nom de celle à qui tu oses t'adresser. Si la femme à qui tu parles n'est pas membre du culte, c'est Madame ou Mademoiselle. Il n'y a pas d'exception. Vu que Dame Sofia t'a déjà prévenu, cela te fera trois coups de martinet.
Mais je ne savais pas...
Tu n'avais qu'à écouter. Tu as de la chance, le martinet attendra notre arrivée à Estant. Excuse-toi et répète ta demande ou c'est cinq coups en plus.

J'étais surpris pas le ton agressif qu'elle venait de prendre. Jusque là, elle m'avait surtout eu l'air moqueuse voir attendrie par moment.

Pardonnez-moi... Maîtresse Flora. Pourrais-je aller à la toilette et avoir quelque chose à manger et à boire?
C'est mieux. Tu aurais cependant dû attendre que j'y pense. Dans sa grande générosité, la Déesse a décidé de te prendre en charge. Nous ne voulons pas que tu meures de faim ou de soif.
Merci. Merci Maîtresse Flora.

Je n'aimais pas l'appeler Maîtresse. Mais si je ne faisais pas ce qu'elle demandait, j'allais finir par me pisser dessus.

En d'autres circonstances, tu aurais pu faire tes besoins dans la paille. Mais vu que nous partageons la même cabine pendant plusieurs jours, on va éviter les mauvaises odeurs. Tu dois juste uriner? Ou plus?
Juste uriner.
Trois coups de martinet en plus.
Juste uriner, Maîtresse Flora.
A ce rythme-là, tu vas déguster à notre arrivée.

Elle souriait à nouveau. Elle repartir dans la cabine, ouvrit un coffre et en sorti une petite bassine métallique. Elle revint vers la cage et posa la bassine devant moi. Elle tendit la main et prit mon sexe. Vu que je bandais toujours elle l'abaissa avec force pour que je vise la bassine. Je soulevai les fesses pour pouvoir viser vers le bas. Je me soulageai. Je me sentais ridicule.

Et bien ça pressait. Qu'est-ce qu'on dit?
Merci Maîtresse Flore, m'entendis-je répondre bêtement.

Elle reprit la bassine et vida mon urine dans un pot de chambre dans la salle de toilettes. Elle prit alors un récipient et remplit mon urinoir d'eau et revint vers la cage. Je réalisai qu'elle comptait me faire boire dans la bassine où je venais de pisser.

Je ne peux pas boire dans ce récipient.
Tu fais le difficile?
En tant que général prisonnier de guerre, j'ai droit à un meilleur traitement.
Tu n'as aucun droit, stupide mâle, tu ne l'as pas encore compris? Elle fulminait.
Il est hors de question que je boive dans ce récipient.
Très bien.

Elle me jeta l'eau au visage. Puisque tu n'as pas soif, tu n'as pas faim non plus. Je vais te remettre ton bâillon. Tu es un ingrat. Je rajoute dix coups de martinet pour refus d'obéissance et neuf autres pour avoir prononcé trois phrases sans m'appeler comme il se doit. Un mot de plus ou la moindre résistance pour le bâillon et c'est vingt en plus. Jugeant que j'avais assez résisté, je me laissai faire. Flora quitta sa cabine et n'y revint que tard dans la nuit. Elle ne s'occupa plus de moi ce jour-là. J'étais fier d'avoir résisté même si je craignais l'arrivée à Estant et la punition qui allait suivre.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 12:19

fin de rebellion


Ma rébellion fut de courte durée. Plusieurs fois dans la journée, Flora vint dans sa cabine accompagnée de différentes Amazones. Elle me montrait comme une bête de foire. A deux occasion, elle me caressa afin que je bande bien devant ces dames. J'avais très soif et commençais à regretter ma désobéissance de la veille. J'espérais qu'en me laissant faire elles finissent par me donner à boire. J'espérais également qu'elle me fasse jouir, mais ce ne fut pas le cas. Je pensais beaucoup à Solena, ma fiancée, et me sentais déprimé. J'étais affamé, mais la soif était pire. J'avais la langue lourde et la bouche asséchée. Enfin, Flora revint vers moi en fin d'après-midi.

Revenu à de meilleurs sentiments, Monsieur le prisonnier de guerre?

Je fis oui de la tête.

C'est bien. Tu m'as fait de la peine hier. Si tu veux que tout se passe bien, il faut que tu obéisses. Oublie qui tu étais et concentre-toi sur ta soumission, si tu veux un bon conseil. Ce sera plus facile pour tout le monde et le résultat sera le même.

Elle reposa la gamelle à mes pieds et saisit mon sexe. Je ne bandais pas, elle me fit uriner puis remplit le récipient d'eau. Elle détacha la sangle qui m'empêchait de parler et ouvrit la cage. J'avais toujours les mains attachées dans le dos et les jambes semi-écartées. Je me tenais à genoux me demandant quoi faire. Je gardai le silence. Flora se recula et déposa la gamelle entre ses deux pieds. Elle se tenait debout devant moi

Tu peux boire, esclave.

Boire dans cette gamelle où j'avais uriné me répugnait, mais ma soif prit le dessus.

Pouvez-vous me détacher les mains, s'il vous plaît, Maîtresse Flora?
C'est inutile. Manger ou boire avec les mains est un privilège féminin. Si les chiens arrivent à s'en passer, les mâles doivent pouvoir aussi, non?

Surpris par cette nouvelle contrainte, je la regardais un instant d'un air suppliant. Mais j'étais assoiffé et avait conscience que je ne la ferais pas changer d'avis. Vu comme j'étais entravé, j'allais devoir prendre une position particulièrement humiliante. La tête à ses pieds, dans la gamelle et le cul levé. Je me résignai et m'avançai sur les genoux. J'abaissai mon visage à ses pieds et me mit à laper comme un chien dans la gamelle. J'étais profondément humilié mais bu jusqu'à la dernière goutte. Elle me servit ensuite un brouet de légume que je dévorai, toujours dans la même position. Une fois terminé, Flora me remit mon bâillon et me ramena dans ma cage, elle avait l'air satisfaite. Moi j'avais les larmes aux yeux de m'être abaissé de la sorte.

Mes surprises de la journée n'étaient cependant pas terminées. Flora s'absenta une heure puis revint dans notre cabine accompagnée de deux hommes. Je reconnus immédiatement Gaspard et Norland, deux vaillants guerriers de mon armée vaincue. A ceci prêt qu'ils avaient perdu leur regard farouche. Ils semblaient comme absent et obéissaient au doigt et à l'œil aux injonction de la belle Amazone. Chacun des ordres de cette femme dominante était ponctué d'un 'oui Maîtresse Flora' ou autre 'à vos ordres Maîtresse Flora'. De toute évidence, ils avaient été drogué. J'étais triste pour ces vaillants guerriers et eus une pensée pour leur famille. Le contrat signé deux jours plus tôt de mon sperme stipulait qu'ils resteraient en esclavage pendant cinq ans. Flora les fit nettoyer la cabine. Elle les regardait faire, assise sur son lit. Quand ce fut fait, elle leur ordonna calmement de se déshabiller. Je regardai les deux homme s'exécuter sans hésiter.

Érection, ordonna Flora.

Les deux hommes se mirent à bander en quelques secondes. Sans doute un effet de la drogue utilisée par ces sorcières sur leurs captifs.

Toi, derrière moi, vient me masser le dos et les épaules, dit-elle à Gaspard.
Et toi, à genou devant le lit, ajouta-telle en regardant Norland. Déshabille-moi.

Les deux hommes s'exécutèrent. Flora était très belle. Alors que Norland la dénudait, je me mis à bander moi aussi. Je la voyais nue pour la première fois. Son sexe était recouvert d'une belle toison rousse, régulière. Sa poitrine était droite et fière. Alors que Gaspard la massait, je la vis tirer la tête de Norland entre ses cuisses. Sans recevoir d'autres ordres, celui-ci se mit à la lécher avec application. J'étais moi-même très excité par cette scène. Flora se laissait aller en poussant de légers gémissements. Au bout d'une dizaine de minutes, elle demanda aux deux hommes d'échanger de place. Elle se dit peu satisfaite des prestations de Norland. Gaspard prit position et s'affaira à son tour, visiblement avec plus de succès. Dix minutes plus tard, Flora jouissait. Au moment où ses gémissement s'intensifièrent, elle me regarda droit dans le yeux. Je rêvais de la rejoindre puis je repensai à Solena: elle serait si déçue si elle savait que j'étais excité par cette femme. La scène continua ainsi plus de deux heures. Je n'avais jamais assisté à un tel spectacle. Je n'en perdais pas une goutte. Tour à tour, puis en même temps, ils pénétrèrent Flora. Elle jouit à quatre reprises. Les hommes, eux, semblaient infatigables et ne jouirent pas. Moi non plus vu que j'étais entravé. Pourtant, j'aurais donné beaucoup pour pouvoir me branler. Au bout de deux heures. Flora congédia les deux mâles. Ils se rhabillèrent. Aucun des deux n'avaient joui, mais ils ne semblaient pas déçu. Flora se blottit nue sous sa couverture et éteint la lumière.

Fais de beau rêve, petit esclave.

Je bandai pendant encore une heure au moins avant de m'endormir.


Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 12:13


Le voyage III

La journée suivante fut sensiblement similaire. Flora ne s'occupa pas de moi dans la matinée. Le temps était long, puisque je n'avais rien d'autre à faire qu'attendre. En fin d'après-midi, l'Amazone me demanda si je souhaitais faire mes besoins. L'humiliant manège se répéta. Je mangeai et bu, comme la veille à ses pieds. Flora semblait aimer rester debout, les pieds juste à côté de la gamelle. Ainsi, elle me dominait de toute sa taille. Je relevai la tête à la fin du repas. Du bout des orteils – elle portait des sandales – elle me toucha les testicules.
C'est bien, esclave, petit à petit tu te soumets. Même si ce que je te demande ici est très facile.
Je frissonnais, me demandant ce qui était 'difficile'.
Autre chose?
Je fis oui de la tête. J'y avais réfléchis toute la matinée, il n'y avait pas d'échappatoire. Depuis la veille, je devais déféquer. Flora se saisit d'une nouvelle bassine et je dû me prêter à l'humiliante expérience de le faire devant cette femme. Puisque mon relatif bien-être dépendait d'elle, je devais l'accepter. Elle me mit un chiffon dans les mains, toujours attachées derrière mon dos. J'avais assez de mou pour m'essuyer. Une fois fait, Flora appela un esclave qui récupéra le récipient avant de quitter la pièce. Je fus soulagé de voir que ma Maîtresse ne me ferait pas manger dedans. Je ne l'aurais pas supporté. Flora me rebâillonna et me remis dans ma cage. Elle s'absenta deux heures.
Lorsqu'elle revint, je dû assister au même supplice que la veille, si ce n'est que cette fois, en plus de Gaspard et Garland, une autre Amazone l'accompagnait. J'appris qu'elle s'appelait Elona, et qu'elle était capitaine en seconde du navire. Elle avait de beaux cheveux ondulés, et un corps noués. Sa poitrine était moins volumineuse que celle de Flora et elle était un peu plus âgée. Elle restait cependant très jolie. Durant des heures, je regardai médusé les ébats des deux femmes dominant ces hommes. Ceux-ci léchaient et pénétraient ce qu'on leur ordonnait, sans hésitation. Les deux femmes se faisaient également l'amour l'une à l'autre. C'était simplement magnifique. Inutile de dire que j'en avais le sexe gonflé à en faire mal. Je remarquai qu'à aucun moment, il ne fut demandé aux esclaves de se toucher l'un l'autre. Sans surprise, les femmes ne s'occupaient absolument pas du plaisir de leurs esclave. Pas de caresse, d'aucune sorte. Aucun des deux ne jouit. Flora finit par les congédier et s'endormit dans les bras de son amante.
Le quatrième jour du voyage, Flora passa peu de temps dans la cabine. Mise à part le repas et mes besoins, je n'eus pas d'interaction avec elle ni avec aucune Amazone. A mon regret, Flora ne dormit pas dans sa chambre, cette nuit-là.
Le cinquième jour fut différent et ma Maîtresse passa beaucoup de temps à l'intérieur. Elle avait du travail disait-elle et devait – entre autres – rédiger un compte-rendu sur mon comportement et mon évolution. Plusieurs fois dans la journée, une dizaine au moins, Elle vint me stimuler pour que je bande, répétant que la Déesse aimait les sexes dressés en son nom. Parfois, quelques effleurements suffisaient à m'exciter. D'autre fois, elle me caressa plus longuement. Elle se reculait alors et regardait un temps mon organe génital. Je ne fis rien pour le cacher. Je dois avouer que la situation m'excitait, même si une petite voix au fond de moi m'en voulait de montrer à cette femme que je la désirais. Lors d'un de ces contacts, Flora me branla plus franchement et un peu plus longtemps. Au bout d'une trentaine de secondes, j'étais sur le point de jouir. Elle s'en rendit compte et s'arrêta immédiatement, juste à temps. Instinctivement, j'approchai mon sexe des barreaux pour qu'elle continue puis revint en arrière, me rendant compte que c'était ridicule.
Tu allais éjaculer, petit soumis?

Je hochai timidement la tête, honteux.
En trente secondes? Voilà qui est intéressant. Un éjaculateur précoce. Dame Sofia va adorer cela.
Je ne répondis rien. Flora était amusé par la situation. Mon silence sonnait comme une confirmation, j'avais en effet toujours eu du mal à me retenir. Lorsque je faisais l'amour à Solena, je ne durais qu'une minute, tout au plus. Mon aimée ne s'en était jamais plaint.
Une chose doit être très claire entre nous: éjaculer sans autorisation est une offense extrêmement grave qui mérite une sévère punition. Que tu jouisses aussi vite qu'un lapin sans le vouloir n'est pas mon problème, je serai intraitable. Tu jouiras quand et si on te l'ordonne. Compris?
Déçu, je fis 'oui' de la tête'. Mon orgueil mâle était blessé par la comparaison avec le lapin. L'après-midi suivit son cours. Flora continua ses travaux en s'assurant que je bande plus ou moins en permanence. Elle se montra plus prudente dans ses contacts. Je ne jouis pas de la journée. Éjaculer en sa présence me semblait une excellente façon de défier son autorité. Ou du moins me le disais-je. La vraie raison étant simplement que l'idée de jouir de sa main devenait obsédante.
Ce soir-là, seul Norland accompagnait Flora. Elle lui ordonna de se déshabiller et à son injonction, il se mit à bander. Il avait toujours le regard absent. L'Amazone s'approcha de ma cage et passa ses mains au travers des barreaux pour détacher la boule qui m'empêchait de parler.
Merci Maîtresse, murmurais-je.
Je ne t'ai pas donné l'autorisation de parler. Ça te fera trois coups de martinets en plus. Nous sommes à 28, si je ne m'abuse.
Frustré, je consentis à me taire. Flora rejoint sa couche et ordonna à l'esclave drogué de lui masser les épaules. Se faisant, elle ne me quittait pas du regard. Bientôt, elle se mit à se toucher en dessous du voile qui lui servait de courte jupe. Je la trouvais ravissante. Elle continua ainsi quelques minutes.
Tu aimerais être à la place de ce drogué? Finit-elle par demander.
Inutile de nier, mon sexe et mon regard envieux répondaient pour moi depuis plusieurs jours. J'avais conscience que c'était un signe de soumission supplémentaire, mais mon côté rebelle était mise en sourdine par le magnifique corps et le beau visage de cette rousse Amazone en train de se faire masser.
Oui Maîtresse Flora. J'aimerais prendre sa place.
Peut-être que si tu le demandes convenablement, je pourrais te faire sortir de ta cage. Qu'en dis-tu?
J'en serais heureux Maîtresse Flora. M'autorisez-vous à vous faire l'amour, Maîtresse?
Je ne croyais pas à ma chance, mais pour toute réponse, Flora éclata de rire.
C'est ça, pour toi, une demande 'convenable'? Il faut que tu y mettes la forme. Dis-toi bien qu'il s'agirait d'un immense honneur, pour toi. Je veux entendre ta motivation et de la soumission envers la Déesse dans ta voix.
J'hésitai, réfléchis un instant, puis mon envie prit le dessus.
Maîtresse Flora, votre humble esclave vous demande avec soumission si vous accepteriez de me faire l'honneur de vous faire l'amour. J'ai conscience que je n'ai pas toujours été très obéissant depuis le début du voyage et aimerais me rattraper en vous procurant le plaisir que vous méritez, Maîtresse.
J'étais rouge de honte. Flora semblait aux anges. .
C'est déjà mieux, esclave. Mais dis-moi, comment comptes-tu me procurer le 'plaisir que je mérite' si tu éjacules au bout de trente secondes? J'ai ici sous la main un beau soldat soumis qui tiendra toute la nuit si je l'exige.
Je ne savais pas trop quoi répondre. Après un moment d'hésitation je m'entendis m'enfoncer encore plus.
Je pourrais commencer par vous donner du plaisir avec la langue Maîtresse Flora. S'il vous plaît.
Je n'avais jamais été un grand adepte du cunnilingus. J'avais quelques fois tenté l'expérience avec Solena. Elle semblait apprécié, mais j'avais toujours trouvé que ce n'était pas une façon de faire l'amour à une femme. Je m'étais à chaque fois rapidement arrêté pour la pénétrer ou lui demander une fellation.
Intéressant. Cinq jours et notre général rebelle est prêt à donner de la langue. Laper comme un chien dans une gamelle t'a donné des envies? Mais Je ne suis pas encore convaincue. Supplie-moi, petit précoce.
Maîtresse, s'il vous plaît. Je n'en peu plus, je suis trop excité.
Supplie!
S'il vous plaît, j'implore le droit de vous faire l'amour, Maîtresse Flora. Je vous en supplie, laissez-moi vous lécher...
Encore!
Elle parlait de plus en plus fort.
Maîtresse je serai un bon esclave. J'obéirai, je le promets.
Continue!
J'exécuterai le moindre de vos caprices Maîtresse. S'il vous plaît. Je vous donnerai du plaisir!
Et...
Je vous lécherai le temps qu'il faudra, Maîtresse Flora. Laissez-moi jouir, je vous en supplie.
Ma belle Maîtresse éclata de rire. L'excitation fut aussitôt remplacée par un sentiment profond d'humiliation. Pourquoi avais-je ainsi perdu le contrôle? Maudite Sorcière!
Désolé petit précoce. J'adore t'entendre parler comme cela, mais Dame Sofia a été très claire à ce sujet. Pas de jouissance pour toi dans ce bateau, ni la moindre relation sexuelle. J'étais simplement curieuse de savoir jusqu'où tu étais prêt à aller. Je me ferai une joie de raconter cela à tes futures éducatrices. Que la Déesse soit remerciée. Je crois que tu iras loin. Maintenant, je veux le silence. Profite du spectacle. C'est la Déesse qui te l'offre en récompense de ta soumission.
Elle ordonna à Norland de se coucher sur le dos. Elle retira sons sous-vêtement et vint s'assoir sur son visage. Au bout de quelques minutes, je détournai le regard, m'interdisant de voir cette scène. Ils firent l'amour une grande partie de la nuit. Je ne trouvai pas le sommeil cette nuit-là, furieux d'avoir été trompé. J'étais excité, frustré et anxieux. Demain, j'allais arriver au Temple. J'ignorais ce qui m'y attendait.
A suivre...

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 11:32

Plusieurs voyages m'ont tenu loin de la maison. Cela ne m'empêche pas de continuer à vivre mes envies et ma passion pour les dessous féminins. Nous sommes début juin, j'ai devant moi quelques jours de vacances et ce jeudi matin, alors que je prends mon petit déjeuner, le téléphone sonne, c'est Aline.

- Allô, Marc, tu es de retour, justement je pensais à toi, j'ai besoin de tes services pour un dossier très urgent pourrais-tu le voir aujourd'hui ?

Étant libre, je lui propose de passer à son bureau elle me dit alors.

- J'ai des réunions toute la journée et ne serai pas disponible avant ce soir, mais je vais te faire porter celui-ci par une de mes collaboratrices, tu pourras le regarder et je passerai chez toi en rentrant.

Je lui dis qu'il n'y avait pas de problème et que je l'examinerai rapidement. Elle ne peut s'empêcher de me dire :

- C'était bien notre dernière sortie non ? Que portes-tu en ce moment ?

Je lui réponds que j'ai un combiné gaine, des bas avec les chaussures à talons et une robe longue fourreau en satin, à manches longues, le tout de couleur noire. Elle réplique :

- Tu n'as pas changé d'avis, tu es toujours d'accord pour accepter mes directives ?

Je lui réponds que oui, ma passion pour les dessous et les jeux de bondage est intacte.

- Parfait, alors tu vas rester comme ça, et tu recevras ma collaboratrice ainsi habillé.

Je réponds que je ne la connais pas et que cela me gène. Elle réplique aussitôt :

- Alors tu mettras en plus un bâillon anneau et la cagoule, fermée avec un cadenas jaune, tu te rappelles que j'ai conservé les clés de tous les cadenas qui ont un point jaune ? Par contre, laisse tous les accessoires dans le sac. Comme cela, elle ne verra pas ta tête, et tu ne pourras pas la draguer. Peut-être lui donnerais-je, en plus, quelques directives à appliquer... Tu verras bien.

Je lui dit que j'allais lui obéir.

- Tiens, tu vas lui préparer un café, tu la recevras avec ton petit tablier de soubrette et tu lui serviras le café au salon, je vais lui donner mon appareil photo, comme ça elle pourra garder les preuves, n'oublies pas d'ouvrir la porte quand elle arrivera.

Finalement je suis assez excité par la tournure que prennent les évènements, je n'attends personne aujourd'hui. M'ayant avisé qu'elle serait là vers 10h30, je finis de déjeuner tranquillement et après un passage à la salle de bains, me dirige vers ma chambre, sortant avec plaisir de la commode le sac rouge, la cagoule de cuir et le bâillon anneau. J'ajuste celle-ci (je ne l'avais pas utilisée depuis notre dernière expérience) la lace, ferme la glissière métallique qui part du haut du crane, engage l'anneau du fermoir dans le collier, serre celui-ci fermant l'ensemble, et termine en posant le cadenas (dont je n'ai pas les clés). Prenant le bâillon, je le positionne, passe les sangles dans les brides de la cagoule, le fixe derrière ma tête et termine en posant un autre cadenas bloquant définitivement celui-ci. Me voilà de nouveau dépendant d'Aline.

A 10h20, une voiture s'arrête devant le portail au bout de l'allée de la maison, discrètement je regarde, il en descend une jeune femme très belle, aux cheveux blonds coupés courts, j'en déduis que c'est elle la nouvelle collaboratrice d'Aline. Elle est vêtue d'un tailleur gris, ses jambes sont gainées de bas fumés et chaussées d'escarpins à talons. Je me dépêche de me mettre dans l'entrée, vérifiant ma tenue. Elle remonte l'allée, hésite un moment, puis avance vers la maison. Elle me voit, s'arrête, et prends le temps de me regarder.

- Bonjour, vous êtes Marc, je m'appelle Mireille et je suis la nouvelle collaboratrice de Madame Julien. Ou puis-je poser ces papiers ?

Je lui indique la table derrière moi.

- Ne bougez pas, je dois faire quelques photos de vous pour Madame Julien.

Elle pose le dossier et prend deux photos de moi.

- Bien, maintenant vous devez aller chercher le reste du dossier dans le coffre de ma voiture.

Je la regarde surpris, la voiture est garée devant mon portail, bien que distant de la route principale d'une centaine de mètres, on peut me voir, et me reconnaître, surtout si ce sont des gens du village !

- Allez, ce sont les ordres de Mme Julien, je dois faire des photos de vous, montrant votre action, allez-y.

Je n'ai pas le choix, elle me tend les clés de la voiture et me voila parti, elle prend plusieurs photos. Je me dépêche, autant que me permet l'étroitesse de ma robe, craignant à tout moment de voir une voiture. Heureusement qu'à cette heure-ci, c'est plutôt calme. Je reviens vers la maison, le bruit du moteur d'une voiture qui arrive me donne quelques frayeurs.

- C'est bien dit Mireille, posez-le avec les papiers, vous avez du café prêt m'a-t-on dit, je vais m'asseoir sur le canapé.

Elle s'installe confortablement, croise ses longues jambes. Je vais chercher le plateau avec le café et quelques gâteaux secs, le pose sur la petite table devant elle.

- Mettez-vous à genoux devant moi et faites le service, je pense que Mme Julien appréciera la photo ainsi.

Je fais ce qui m'est demandé et l'ayant servie, je reste sans bouger, le buste droit, les mains dans le dos, attendant qu'elle le boive, ce qui prends quelques minutes. Ensuite, elle se penche vers son sac, attrape une enveloppe, ce qui me permet de voir qu'elle porte des bas, apercevant un bref instant une jarretelle rouge.

- Je n'avais pas le droit de l'ouvrir avant d'être ici, mais je dois vous lire les instructions de Mme Julien à haute voix et les appliquer à la lettre.

Elle ouvre l'enveloppe en sort deux autres plus petites, sur une est écrit "à ouvrir en premier" sur l'autre "attendre". Elle ouvre la première et commence à lire à haute voix.

- Bien, vous êtes prêts tous deux, puisque Mireille lit, Marc, s'il ne l'est pas doit être à genoux, mains dans le dos. Mireille, tu te mets devant lui et tu vas enlever ton tailleur, ensuite tu continues à lire.

Sans être surprise, elle pose la lettre, déboutonne sa veste, l'enlève apparaissant en soutien gorge rouge, puis baisse la fermeture de la jupe, la quitte, et pose l'ensemble sur le canapé. Mireille revient alors vers moi vêtue de ses dessous, en string, p-j, et soutien gorge le tout assorti d'un rouge intense. Reprenant la lettre, elle continue sa lecture.

- Voila, vous faites ainsi connaissance, Marc peut te voir, et t'admirer, mais interdiction pour lui de te toucher. Tu vas le préparer pour la journée, il doit te conduire vers son bureau, fermes tout d'abord la porte d'entrée et pose les clés sur la tablette à gauche de la porte.

Pendant que Mireille s'exécute, je prends les affaires et me dirige vers mon bureau. Elle me suit, je pose les dossiers et elle reprend la lecture.

- Bon, maintenant, Mireille, tu prends la ceinture de cuir dans le sac et tu équipes Marc, en attachant aussi le bout d'une chaîne, fermes le tout avec un cadenas jaune ensuite, tu vois le radiateur fixé au mur derrière son bureau ? tu vas y attacher l'autre extrémité en laissant la longueur nécessaire pour qu'il puisse s'asseoir et accéder à la photocopieuse.

Mireille, consciencieusement exécute l'ordre, puis reprend la lecture.

- Prends une photo de Marc dans cette position, ensuite tu lui donne l'appareil photo et tu vas te mettre face à lui de l'autre coté du bureau, sur le canapé devant la fenêtre, quand tu y est, tu vides le sac, prends l'autre ceinture que tu mets, comme pour Marc, tu attaches l'autre extrémité au radiateur sous la fenêtre, avec environ deux mètres de chaîne libre. Tu utilises les cadenas rouges, ils sont ouverts, les clés sont dans la petite pochette rouge. Surtout laisse les clés dans la pochette fermée.

Mireille s'exécute et se retrouve elle aussi enchaînée rapidement. Elle reprend la lettre et continue la lecture à haute voix.

- Maintenant, tu vas t'asseoir, et lire le contenu de la deuxième enveloppe.

Mireille s'assied et déplie l'autre lettre.

- Demandes à Marc de te photographier, ensuite tu vas t'équiper de la cagoule de cuir avec le bâillon, bien la fermer, toujours avec les cadenas rouges, ensuite tu prendras les quatre bracelets reliés par les chaînes, tu mettras une paire à tes chevilles avec des cadenas rouges, et avant de mettre l'autre paire à tes poignets, mains dans le dos, tu fixera le bandeau sur la cagoule. Comme cela tu seras dans le noir. Ensuite, tu attendras mon coup de téléphone, le bureau est équipé d'un répondeur, je te donnerai les instructions pour la suite, tu te libéreras et viendras me retrouver à 15h précises. N'oublies pas. Marc prendra bien sur quelques photos au cours de tes actions. Allez, exécution.

Mireille commence alors à exécuter les ordres et dix minutes plus tard ,elle est couchée sur le canapé, dans le noir, attendant le coup de téléphone d'Aline. Je ne peux m'empêcher de la regarder, c'est un petit avantage, il est 11h15 et je commence alors à travailler, de toute façon, je n'ai pas le choix !!!
Plongé dans le dossier d'Aline, je ne vois pas le temps passer, Mireille complètement aveuglée, s'est endormie et je la regarde de temps en temps, elle est magnifique d'autant plus qu'elle est alanguie sur le canapé et me fait profiter de ses formes, mises en valeur par ses dessous affriolants.
Le téléphone sonne tout à coup, réveillant Mireille en sursaut, je regarde la pendule, il est 13h00.

- J'espère que vous êtes tous deux dans les positions que j'imagine ? Bien, Mireille je t'autorise à te détacher, je te donne 3/4h à partir de maintenant pour venir me rejoindre, dépêches-toi.

Elle raccroche aussitôt. Je vois Mireille chercher à tâtons la pochette contenant les clés, puis essayer de trouver la bonne clé. Au bout d'un long moment, elle n'y arrive pas, elle s'arrête puis reprend méthodiquement chaque clé. Le temps passe, elle ne parviens pas à se détacher. Après plusieurs essais, elle comprend que les bonnes clés ne sont pas là. Deux solutions, soit Aline s'est trompée ou soit, elle l'a fait exprès!!! J'aurais tendance à pencher pour la deuxième solution, la connaissant.
Mireille s'agite encore un moment, grogne dans son bâillon, puis finalement se recouche sur le canapé, fataliste. Que va-t-il se passer maintenant ?
Tout à coup je réalise que c'est le jour ou la femme de ménage vient, pris de panique, je réalise qu'elle va nous trouver dans une drôle de situation, j'en ai des sueurs froides, tout le village va être au courant de mes penchants pervers et de plus je ne suis pas seul. Elle arrive vers 15h d'habitude, il reste 1h30 avant son arrivée, je me lève et dans la limite de mes mouvements, cherche quelque chose pour m'aider à me libérer. Je fouille dans les tiroirs du bureau, mais peine perdue, il n'y a rien, les cadenas sont solides. Après une demi-heure d'efforts, je me résigne à cette situation, envisageant les conséquences de cette découverte.
Je ne peux m'empêcher de regarder fréquemment la pendule. Mireille de son coté ne bouges pas, sûrement résignée elle aussi.
A 14h50, le téléphone sonne, c'est Aline une nouvelle fois.

- Mireille, tu es très en retard, aurais-tu eu un problème... de clés ? Sûrement, j'ai par inadvertance "oublié" de laisser les bonnes clés !!! Tant pis pour toi, tu vas tenir compagnie à Marc toute la journée, puisque je ne suis pas libre avant ce soir. Mais je suis bête, vous êtes bâillonnés tous les deux !!! Dommage, on m'attends, passez une bonne après-midi. Au fait, Marc, j'ai avisé ta femme de ménage, elle ne viendra pas aujourd'hui...

Elle raccroche aussitôt, je pousse un ouf de soulagement, elle m'a, pendant plus d'une heures fait craindre le pire. Mireille, qui entre temps s'est assise sur le canapé semble de son coté avoir accepté la situation.
Nous passons l'après-midi comme cela, il fait nuit et nous sommes dans le noir, la dernière fois que j'ai pu voir l'heure, il était 20h, je n'ose pas allumer, cela laisse penser qu'il n'y a personne à la maison. Mireille allongée s'est assoupie, jusqu'à quand Aline va-t-elle nous laisser ainsi ? Enfin une voiture s'arrête au portail, des pas sur le gravillon et j'entends la porte s'ouvrir, ce ne peut-être qu'Aline qui arrive.
Effectivement, la porte s'ouvre et la lumière jaillit.

- Oh, mais vous êtes dans le noir, et sages à ce que je vois.

Je regarde la pendule, il est 21h00, cela fait dix heures que nous sommes attachés. Aline s'approche du bureau et prends l'appareil photo.

- Voyons voir si tout à été respecté à la lettre.

Elle fait défiler les photos en ponctuant de temps en temps par des "bien, bien". Elle s'approche de Mireille, lui enlève le bandeau des yeux, détache sa chaîne du mur, puis ôte celle des chevilles et la fait se lever. Elle la tire avec la chaîne de sa ceinture et l'amène vers moi.

- Alors, vous avez fait connaissance ? Qu'en penses-tu Marc, elle est belle, non ? Tu as compris que comme toi elle adore les jeux de bondage, cela promet de belles rencontres. Tu as de quoi manger sûrement, Mireille va nous préparer quelque chose, moi j'ai envie de prendre l'apéritif, tu vas me le servir pendant ce temps je vais examiner tes propositions pour mon dossier.

Elle me libère à mon tour de la chaîne ce qui me permet de retrouver ma liberté, mais je garde tout le reste. Mireille va à la cuisine alors que je me dirige vers le bar. Je reviens portant un plateau avec bouteilles, verre, glace et amuses gueule pour Aline que je pose sur la table basse, elle me dit :

- Viens ici et mets-toi bien droit, ne bouges pas, jambes légèrement écartées.

J'obéis aussitôt, elle se lève du canapé, vient vers moi, prenant la poche d'accessoires. Elle commence alors par mes chevilles qu'elle équipe de bracelets et poursuit par mes poignets. Ils sont tous fermés par de petits cadenas. Lorsque Mireille revient, elle l'équipe elle aussi de bracelets, enfin elle dit.

- Voilà, vous êtes pareils tous les deux, mettez-vous dos à dos, je vais vous photographier.

Avec quelques cadenas, elle relie nos mains et nos chevilles deux à deux, puis satisfaite elle prend plusieurs photos.

- C'est très bien, le temps passe vite, il est 22h30, je vais vous laisser un peu et aller manger, ensuite j'aviserai.

Elle part vers la cuisine ou le bruit de la radio, qu'elle a allumée, couvre ses mouvements. Lorsqu'elle revient, elle décide de nous faire manger, commence par nous enlever les baillons anneaux et ensuite nous fait prendre de petits sandwiches préparés par elle, et boire. Elle nous laisse alors un peu de répit, puis nous bâillonne à nouveau. Les bandeaux viennent compléter la fermeture de la cagoule, Aline n'oublie pas de passer les sangles dans les passants latéraux de la cagoule, ce qui empêche tout glissement, et bien sur toute possibilité de les ôter et pose un cadenas.
Elle se plaque contre moi et ses mains me caressent les fesses, voyant que je ne suis pas insensible à ses gestes, elle entreprend de pincer mes tétons, puis lâchant l'un, sa main droite, passant sous ma robe, saisit ma verge lui donnant de la vigueur.

- Que vais-je faire de vous cette nuit ? J'ai une idée, je vais déployer le canapé et vous coucher dessus.

Elle me lâche alors et je l'entend ouvrir le canapé, celui-ci contient un matelas. Elle nous détache l'un de l'autre.

- Parfait, je vais vous coucher dessus, je commence par Toi Mireille.

J'entends le basculement de Mireille, soutenu par Aline.

- Allez, roule, voilà c'est parfait. A toi Marc.

Elle me pousse alors en arrière, ses mains accompagnant le mouvement, je bascule sur le canapé.

- Bouges-toi un peu, pour te mettre bien droit.

Je m'efforce de suivre ses mouvement, puis elle m'attache les poignets dans le dos.

- Encore quelques photos, vous êtes bien tous les deux, ainsi cote à cote, mais il ne faut pas que vous tombiez, je vais y remédier.

Je sens Aline attacher une corde à l'anneau du dessus de ma cagoule, apparemment, elle l'attache au dessus de ma tête, sûrement à la structure du canapé, quelques instants plus tard, ce sont mes pieds qui sont concernés, attachés de la même façon. Aline tire ensuite sur chaque corde en riant.

- Essayez de vous soulever un peu pour voir, toi d'abord Marc.

Je ne peux bouger beaucoup, mais je sens les cordes ayant une certaine élasticité.

- A toi, Mireille essaye de bouger aussi.

A ce moment là, je ressent les mouvements des cordes, je comprends alors qu'Alice nous a reliés l'un à l'autre, nos cagoules ensemble ainsi que nos pieds.

- Vous avez compris que vous êtes attachés l'un à l'autre, mais les cordes passent entre les ferrures du lit, vous ne pouvez donc pas vous toucher vu la largeur du lit. Bon, eh bien, je vais me coucher moi aussi.

J'entends Aline monter à l'étage, puis faire couler l'eau dans la salle de bains. Un moment plus tard près de nous.

- Finalement le canapé est large, je vais me coucher entre vous deux, ce sera très bien.

Elle m'enjambe, s'appuyant sur ma poitrine et se couche. Je la sens contre moi, effectivement, il y a de la place pour trois !
Je n'arrive pas à m'endormir, à coté de moi, rien ne bouge, dorment-elles ? A cet instant, je sens la main d'Alice se poser sur moi, elle caresse ma jambe, ses doigts glissant sur le satin de ma robe, puis remonte sur ma verge. Celle-ci se tend aussitôt, prise en main par ma voisine. Aline ne bouge pas, sa main seule s'active. Si Mireille est réveillée, elle ne peut se douter de ce qui se passe à coté d'elle !!! A moins que connaissant la malice d'Aline son autre main soit partie en exploration de l'autre côté ? Il m'est impossible de le savoir.
Aline serait-elle endormie dans cette position ? Elle ne bouge plus, et moi par contre le fait d'être dans cette situation m'empêche de dormir, la main qui me tient a des contractions par moment, me conforte dans l'idée qu'Aline dort !!!
Je ne la rejoint dans son sommeil que longtemps après.

Vendredi matin...

Ce qui me réveille est un traction sur la corde de ma cagoule, cela veut dire que Mireille est réveillée, et cherche à bouger. La voix d'Aline se fait entendre.

- Alors vous êtes réveillés tous les deux, il est 7h et il faut aller au travail, Mireille, je te détache, tu te prépares.

Je sens Aline s'activer et Mireille, se lever du lit, mais elle ne me détache pas, je bouge un peu sur le lit, les cordes liant ma cagoule et mes pieds sont libres. Aline est près de moi, sa mains m'attrape, me caresse à nouveau.

- Mon petit Marc, toujours en forme à ce que je vois, tu es en congés, j'ai bien envie de te laisser comme ça encore quelques heures... Qu'en penses-tu? Tu ne dis rien? Le problème est que ta femme de ménage va venir, j'ai une idée.

Mon bâillon anneau occulte toute manifestation de ma part, cela l'amuse semble-t-il. J'entends des pas dans le salon, Mireille doit être revenue.

- Mireille, Marc est puni, on va le laisser attaché, mais il faut le sortir de là, on va le mettre au placard, il va en profiter comme ça un maximum. Tu aimes être attaché, tu vas être servi.

Le placard occupe un pan de mur, il y a des étagères d'un coté, mais de l'autre, c'est vide, le fond est équipé de barres verticales métalliques.

- Aides-moi on va le faire se lever et l'amener jusqu'au placard.

Ainsi fut fait, quelques instants plus tard, je suis installé dans le placard, les filles m'ont attaché aux barres, je suis doublement immobilisé.

- Très bien dit Aline, on va fermer la porte à clé, sa femme de ménage arrive vers 9h00. Tu as compris, Marc ce que cela veut dire, profites bien de la situation...

Sans autre mot, elles me laissent la et ferment la porte à clé. Me voilà prisonnier, impossible de bouger, même la cagoule a été attachée, par son anneau en haut !!!

Elles sont parties depuis longtemps, lorsque j'entends la porte d'entrée s'ouvrir, c'est la femme de ménage, elle commence son travail, je l'entends aller et venir dans la maison, elle a mis la radio, ce qui me permet d'avoir un repère dans le temps.
Alors que la radio diffuse les informations de midi, la femme de ménage s'arrête, je présume qu'elle va faire sa pause repas. Je l'entends s'activer dans la cuisine, puis elle revient vers le séjour, j'en déduit qu'elle va manger ici. Elle allume la télé. Anna, ma femme de ménage à environ trente-cinq ans, c'est une belle fille, lorsque je l'ai engagée, après avoir passé une petite annonce il y a trois mois, j'avoue avoir fait mon choix sur elle car c'était une brune typée, mince et que ce jour là elle portait un ensemble noir. Elle dégageait une personnalité affirmée, ce qui m'a plu aussitôt.
Mais les choses en étaient restées la jusqu'à ce jour, il est vrai qu'elle s'occupe de ma maison pendant mes absences en fait, je ne l'ai rencontrée que deux fois depuis qu'elle vient ici. Il me vient tout à coup une pensée : comment Aline a-t-elle pu la contacter pour différer sa venue hier alors qu'elle ne la connaît pas ?

Anna qui a fini son repas, reprend son activité, elle est proche du placard, heureusement qu'il est fermé, elle ne se doute pas de ce qu'il contient.

Elle continue un moment, je sursaute tout à coup, le placard près du mien est ouvert, que cherches-t-elle ? Elle fouille à l'intérieur quelques instants, je retiens ma respiration, même si ma réaction est idiote, la cloison fait écran entre les deux parties. Tout à coup, la clé est mise dans la serrure du placard, puis la porte s'ouvre en grand, je panique, Anna est la, soudain devant moi...

- Bonjour monsieur Marc, vous êtes bien attaché à ce que je vois, madame Aline m'a laissé un mot vous concernant, je dois m'occuper de vous cet après-midi. Voyons, par quoi dois-je commencer.

Comment Anna est-elle arrivée ici ? Qu'a fait Aline pour cela, je suis dans une drôle de situation, complètement abasourdi par ce qui se passe. Anna parle à nouveau.

- D'après le mot de madame Aline, vous êtes ici depuis ce matin... Vous devez avoir une sacrée envie de vous soulager... Je vais mettre mes gants et m'occuper de ça.

Ses mains viennent au contact de mon ventre, soulèvent ma robe, et s'infiltrent, m'extrayant totalement.

- Oui, effectivement, il y a urgence semble-t-il.

Je sens le contact d'un objet dans lequel elle introduit ma verge.

- Allez, soulagez-vous dans ce récipient. Cela ira mieux après.

Je me laisse aller, effectivement depuis un moment je commençais à penser sans arrêt à cela, craignant me soulager sans pouvoir me retenir. Je sens un linge froid sur mes parties et le contact des gants de plastique, Anna minutieusement me nettoie, agissant lentement, ce qui me redonne une certaine vigueur qui a l'air de la satisfaire.

- Mais c'est bien joli tout ça, je ne savais pas que mon patron avait des goûts pour ces jeux, je comprends pourquoi madame Aline m'a fait postuler pour votre petite annonce sur le journal maintenant.

Elle me laisse, puis le bruit de l'aspirateur se fait entendre, elle a repris ses activités. Elle revient un moment plus tard.

- Vous devez avoir soif peut-être, je n'ai pas la clé du cadenas du bâillon, je vais trouver une solution.

Cinq minutes environ plus tard :

- Allez, on y va, j'ai trouvé un entonnoir, je vais l'enfiler dans l'anneau du bâillon, rassurez-vous je l'ai bien lavé avant.

Le tube entre dans ma bouche doucement. Elle verse l'eau.

- Buvez doucement, vous n'allez pas vous étouffer! J'ai l'habitude des vilains garnements comme vous, cela faisait longtemps que je n'en avais pas rencontré, le hasard m'a fait croiser Madame Aline, finalement je ne suis pas déçue.

Elle me redonne à boire, puis s'exprime à nouveau.

- Voyons la suite de ses ordres, je vais devoir vous changer de place et vous mettre ailleurs. Ce sont ses directives, il faut que vous soyez en place pour son arrivée.

Elle commence par me détacher, me fait sortir du placard et avancer de quelques pas, puis, après m'avoir enlevé ma robe, me prend par le bras et m'entraîne. Elle me tire à nouveau, cette fois au bruit je comprends qu'elle ouvre la porte fenêtre donnant sur la terrasse, me demandant ce qu'elle va faire de moi.
Nous continuons sur la terrasse, puis elle me fait descendre l'escalier du jardin, enfin elle me lâche.

- Ne bougez pas.

Me prenant les poignets ,elle ramène les bras sur le devant. Un "clic" et mes poignets sont attachés à une chaîne. C'est alors que le palan électrique se met en action et mes bras sont petit à petit tirés vers le haut, celui-ci s'arrête lorsque mes bras sont bien au dessus de ma tête. Nous sommes donc dans le garage, ou se trouve le palan.
Elle me déchausse alors ce qui a pour effet de ne plus me laisser de marge, mes bras sont bien tendus.

- Je vais maintenant vous préparer comme le souhaite Madame Aline.

Anna commence alors à m'enlever le combiné et mes bas, me mettant nu, puis elle me met autour du corps ce que je perçois comme un corset de cuir, elle le positionne, puis commence le laçage. Celui-ci dure un long moment, Anna prend le temps de tendre chaque lacet, puis de s'assurer qu'il ne se détend pas. Celui-ci m'enveloppe du dessous les bras au bassin.

- Voila qui est bien, enfilons les bas maintenant.

Soulevant ma jambe, elle m'enfile un premier bas, celui-ci remonte presque jusqu'à l'aine. Elle attache alors les jarretelles, puis la deuxième est parée à son tour. Anna me renfile alors les escarpins qu'elle attache avec les brides.

- Vous voila bien paré, cachons ce qui dépasse maintenant.

Elle m'enfile ce que je crois être un slip de cuir, équipé de lacets latéraux qui permettent de l'ajuster. Ma verge est prise et comprimée dans la gangue de cuir. Je ressens la pression d'autant plus que cela m'excite et contraint ma verge. Anna m'ajuste alors les bracelets aux chevilles et nouveau cadenas relie ceux-ci, m'obligeant à rester bien droit..

- Bien, c'est ce que souhaite Madame Aline, je vais vous laisser, c'est l'heure de partir pour moi. Elle s'occupera de vous quand elle rentrera du travail, je vais lui envoyer un sms, comme elle me l'a demandé lorsque j'aurai fini de vous installer.

Anna me laisse, je l'entends encore un moment dans la maison, puis elle revient au garage.

- Voilà, j'ai terminé ma journée, il est 16h, madame Aline m'a dit de bien fermer, au revoir monsieur.

Le bruit de la voiture me confirme son départ, me voilà dans une nouvelle situation, dépendante de ma maîtresse.

Une voiture s'arrête, je commence à avoir des crampes aux bras, j'ai l'impression que cela fait longtemps qu'Anna est partie. Des pas, sur le gravillon de l'allée, me font comprendre que quelqu'un arrive, un moment plus tard ,la porte du garage s'ouvre, tout à coup une main se pose sur moi, fais le tour de ma taille, tire sur mes jarretelles.

- Anna a bien travaillé dit Aline, il es beau comme ça, n'est-ce pas Mireille ? Constates par toi même, vérifie tous les laçages.

Les mains de Mireille entreprennent alors de tirer sur les lacets, le corset étant chaud sur moi, elle retend celui-ci, puis elle se concentre sur les liens du slip.

- Je vais t'aider, dit Aline, tu pourras mieux le serrer.

Elle pose alors ses mains sur moi et plaque le cuir fortement. Mireille refait alors les nœuds de part et d'autre me contraignant au maximum.

- Tu vois dit Aline, c'est beaucoup mieux comme ça, agaces-le un peu, il verra comme ça qu'il est bien ajusté.

Mireille se colle alors contre moi, dans mon dos, ses mains entrent en action et s'efforcent de m'exciter. Je sens ma verge gonfler à la limite de ses possibilités.

- Ne bouges pas, Mireille, aides-moi.

Mes chevilles sont libérées du cadenas, le palan est manœuvré, mes poignets sont détachés du crochet, mais toujours reliés par un cadenas.

- Mireille, attaches lui les poignets contre les cuisses.

Mes poignets sont détachés, je laisse mes bras retomber le long du corps, aussitôt un lien, placé par Mireille, fixe les bracelets contre les cuisses. Elle passe la corde plusieurs fois entre mes cuisses, ce qui m'excite, ramené à la réalité rapidement par la gaine de cuir qui me contraint.

- Attaches-lui aussi les bras, ce sera mieux.

Aussitôt dit, aussitôt fait, mes bras sont maintenant parfaitement collés au corps.

- Bon et maintenant allons prendre les affaires, nous allons partir rapidement.

J'entends alors la porte du garage coulisser, puis le bruit de la voiture qui s'approche. Aline dit :

- Allez, tu vas monter dans la voiture, Mireille va t'aider.

Qu'a-t-elle décidé, ou veux-t-elle me conduire ? Je n'en sais rien, une main me prend par le bras et me fait avancer, je dois ensuite monter dans la voiture, ce qui n'est pas facile, je m'assied, je la sens contre moi, elle m'attache la ceinture, puis s'occupe de mes jambes, le cadenas reprends sa place entre les bracelets des chevilles et ensuite, avec une corde m'attache les genoux bien serrés.

- Comme ça, dit Aline, il ne bougera pas pendant le trajet, je vais avancer la voiture, tu fermeras le garage, nous partons.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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