Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 11:30

La voiture roule depuis un moment, les filles ne parlent pas, ce n'est qu'à cet instant qu'Aline se manifeste.

- On s'arrête, nous allons faire le plein, nous avons encore une heure de route avant d'arriver au chalet.

Je comprends alors que nous sommes partis pour la montagne et la destination est le chalet d'Aline... Elle a donc prévue d'y passer le week-end avec Mireille et moi. La voiture arrêtée, les filles descendent, j'entends Mireille dire à quelqu'un :

- Faites le plein, nous allons faire quelques courses en attendant.

Heureusement que les vitres de sa voiture sont teintées, car sinon le pompiste me verrait dans ma drôle de position!!! Un moment plus tard, le hayon arrière est ouvert, des paquets sont chargés. Nous repartons pour un trajet encore long. Enfin la voiture s'arrête, l'ouverture du garage est enclenchée et quelques secondes plus tard le moteur est coupé, nous sommes arrivés.
Le déchargement commence et ce n'est que plus tard que je suis extrait à mon tour. Bien que nous soyons en juin, je sens la fraicheur, ma tenue plus que légère n'est pas adaptée à la montagne, je suis libéré des liens des bras et des jambes et conduit au chalet.

- Je t'autorise à profiter de la salle de bains, ensuite tu nous rejoindra au salon. Je vais t'enlever le bâillon et le bandeau, je vais chercher les clés, commence à te déshabiller en attendant.

Je me déchausse, commence à retirer le corset, dans le noir, ce n'est pas facile, je finis par me déshabiller entièrement. C'est à ce moment là qu'Aline revient.

- Baisse-toi, je vais t'enlever les cadenas.

Elle m'ôte le bâillon, puis le bandeau, puis essaye d'enlever le cadenas du collier. Elle s'y reprend plusieurs fois et finit par me dire:

- Je n'ai pas la bonne clé, elle est restée à la maison, Tu vas devoir garder la cagoule en permanence. Tant pis pour toi, de toute façon tu n'as pas le choix.

Elle pose des affaires sur la chaise et repart. Nu, je passe directement sous la douche. J'apprécie longuement celle-ci, d'autant plus que je ne sais pas ce que je vais devenir entre ses mains, cela commence bien avec la cagoule !!!
Je sors et m'essuie, puis regarde sur la chaise, il y a mes chaussures, une paire de bas à couture, un porte-jarretelles et un string noir. C'est tout ce que j'ai à me mettre. J'entends la voix d'Aline qui m'interpelle.

- Alors tu te dépêches ?

Je n'ai pas le choix, enfile mes affaires et descend les rejoindre. Aline est sur un fauteuil devant la cheminée, en train de lire, Mireille est debout à ses cotés, elle porte un catsuit et une mini robe rouge, ses poignets et chevilles sont dotés de bracelets de cuir fermés de cadenas, une cagoule comme la mienne couvre sa tête et un collier assorti orne son cou. Un jeu de chainettes relie tous les bracelets. Seuls ses yeux et sa bouche sont visibles. Un maquillage rouge assorti à sa tenue les mets en valeur. Elle est immobile, comme une statue, ses mains tiennent une lampe permettant à Aline de lire. Je me présente devant elles, et attends. Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'Aline lève les yeux sur moi.

- Tournes-toi. Les coutures ne sont pas droites, prends le reste de ta tenue sur la chaise et va te préparer.

J'obéis aussitôt, prends les affaires et regagne la chambre. Après avoir repositionné mes bas ,j'enfile ma tenue, robe courte en latex et tablier de devant. J'ajuste l'ensemble en faisant attention à ce que tout soit parfait et redescend me présenter devant Aline. Comme tout à l'heure je dois attendre plusieurs minutes avant qu'elle ne me regarde. Mireille n'a pas bougé, toujours immobile à ses cotés. Elle se lève alors et m'équipe de bracelets et d'un collier, le tout relié par des chainettes, comme Mireille

- C'est mieux, tu vas préparer la table, et faire le service du repas, mais auparavant tu vas me servir l'apéritif.

Je me dirige alors vers le bar et commence alors mon service de soirée. Je porte le plateau avec verre et le nécessaire, le pose sur la table de salon. Aline trouve alors que le plateau est trop loin d'elle et me fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, puis prend le plateau et le pose sur mon dos.

- Ne bouges plus, c'est parfait.

Elle se sert alors et reprend sa lecture, prenant de temps en temps un toast. Je reste immobile, en face de moi se trouve la pendule de salon, l'apéritif va durer une demi heure, temps que je vais passer transformé en table de salon. Aline décide alors de passer à table, elle fait changer Mireille de position, et la fait éclairer la table. Je fais le service du repas, me tenant parfaitement immobile entre chaque plat, enfin quand elle a terminé, elle dit

- A vous de manger maintenant, allez à la cuisine, mais avant débarrassez et rangez tout. Fais-lui comprendre à Mireille, car elle a des bouchons dans les oreilles, et n'entend presque rien !!!

Une fois terminé, nous nous y rendons, pendant qu'Aline allume la télévision. Elle nous rejoint, et nous fait asseoir sur les chaises. Elle passe derrière nous à tour de rôle et nous attache rapidement par la taille, avec des sangles, et dit:

- Je vous laisse demi heure, profitez-en, ne buvez pas trop...

Tant bien que mal, les gestes réduits par les chainettes, nous commençons à manger. Pour atteindre les choses, il me faut parfois me lever, entrainant la chaise avec moi, surtout pour ranger la cuisine et faire la vaisselle.
Aline nous regarde en souriant.

- Bien, vous avez fini, je vais vous détacher des chaises.

Elle nous reconduit ensuite au salon, nous fait mettre à quatre pattes devant le fauteuil, face à face.

- Approchez-vous l'un de l'autre et levez la tête.

Elle fait des signes à Mireille pour qu'elle comprenne, nous avançons l'un vers l'autre et arrivons presque à nous toucher, c'est alors qu'elle attrape les deux chainettes pendant des colliers, les rejoint et y fixe un cadenas, faisant par la même occasion toucher nos visages.

- Bien, ne bougez plus maintenant, je vais regarder mon film.

Elle s'installe alors sur le fauteuil, allonge ses jambes, les posant sur nos dos, nous transformant en pouf de salon, puis déroule une couverture qu'elle jette sur ses jambes, couvrant par la même occasion nos têtes. Elle monte le son du poste et bien installée, se concentre sur le film.
Quant à nous deux, nous ne bougeons pas pendant un moment, nos respirations sont confondues. Cependant imperceptiblement, je sens Mireille bouger sa tête, et l'incliner pour se mettre bien face à moi. Sa bouche se rapproche alors de la mienne, et malgré les cagoules, se colle contre mes lèvres, sa langue pénètre en moi et s'active en un baiser interminable. Je sens monter en moi une douce chaleur et dans le bas de mon corps une turgescence envahit le string !!!
C'est à ce moment là qu'Alice retire ses jambes, et se lève sans toutefois ôter la couverture. Nous restons immobiles, ou va-t-elle ? Quelques secondes plus tard, j'entends ses pas dans l'escalier, Mireille en profite pour reprendre son activité, m'embrassant de plus belle.
Des pas à nouveau nous font cesser rapidement, Aline redescend et se réinstalle à nouveau jusqu'à la fin du film. Elle se lève alors, retire la couverture et nous sépare l'un de l'autre. Elle me repose le bâillon anneau bien ajusté.

- Bon, ce n'est pas tout, il est tard, je vais vous installer pour la nuit.

Prenant les chainettes comme des laisses, elle nous fait monter à l'étage et entrer au fond du couloir dans une petite chambre. Celle-ci est dotée d'un lit ancien avec un cadre de bois, les montants sont équipés d'anneaux métalliques à différentes hauteurs. Elle nous fait mettre de chaque coté du lit elle revient vers moi, ôte mes bracelets, puis mes vêtements, me laissant uniquement le string. C'est ensuite au tour de Mireille, elle fait de même et la laisse aussi avec son string. Prenant un bandeau, elle la prive alors de la vue en plus de l'ouïe, puis prend un catsuit noir en latex, lui fait enfiler, le ferme entièrement, et repose ses bracelets aux chevilles puis aux poignets qu'elle relie dans son dos avec un cadenas. Elle est entièrement recouverte de latex hormis sa bouche qui ne tarde pas à être emplie du bâillon anneau. Satisfaite, elle la fait coucher sur le lit, puis l'attache, les pieds reliés au fond du lit et le collier à la tête de celui-ci l'empêchant de bouger. Satisfaite, elle vient vers moi.

- Elle est parée, à toi maintenant.

Elle prend un catsuit noir, entièrement opaque. D'un geste elle m'ôte le string, passe ses mains sur mon corps nu, ce qui ne tarde pas à me mettre en érection. Elle commence alors à m'enfiler le catsuit, repose mes bracelets aux chevilles, les reliant de suite avec un cadenas, elle reprend un instant son massage et s'arrête brusquement alors que j'étais sur le point d'exploser. Elle est diabolique !!!
Le catsuit fermé, elle ajuste les bracelets aux poignets, je suis immobilisé comme Mireille, les mains liées dans le dos. A nouveau Aline pose ses mains sur mon corps, insistant cette fois sur les tétons qu'elle pince fortement. Elle me fait coucher sur le lit et m'immobilise à mon tour. Elle me pousse contre Mireille, puis commence à nous relier l'un à l'autre avec des cordes, d'abord au niveau des genoux, puis de la taille et du torse. Elle s'active ensuite autour de mes poignets, elle y fixe une corde, puis passe l'extrémité libre entre mes cuisses et celles de Mireille. Un instant plus tard, j'ai compris qu'elle avait fixé l'autre extrémité aux poignets de Mireille, ce qui colle nos ventres l'un contre l'autre. Aline rit.

- Comme ça, vous serez proche l'un de l'autre, mais attention, s'il y a des débordements je le verrai et vous serez punis, alors à vous de choisir. Je vous laisse, passez une bonne nuit...

Aline est partie, Mireille ne bouge pas pendant un long moment, puis tout à coup esquisse un mouvement qui la plaque encore plus contre moi, des épaules aux genoux. Ma verge reprend forme et s'en apercevant, Mireille bouge son bassin et me bloque. C'est terriblement excitant, j'essaye de me contrôler, elle ne bouge plus. Quant à moi, ma raideur ne faiblit pas et nous restons longuement ainsi. Mireille doit craindre aussi les paroles d'Aline... Finalement, nous nous endormons.

Samedi matin...

Ce qui me réveille c'est l'impression de sentir quelque chose dans mon dos, Aline est là, silencieusement, elle entreprend d'ouvrir mon catsuit, descend le zip sous mes fesses, ses mains gantées de latex entreprennent alors une série de massages qui me conduisent rapidement à une érection maximale, ce qui réveille Mireille. Celle-ci colle son ventre contre moi, profitant de mon état. Aline qui se rend compte de la situation passe ses mains entre nos torses et me pince les tétons. Ce qui devait arriver se produit, j'explose tout d'un coup.
Mireille rit, et dit:

- Ce n'est pas bien du tout ce que tu viens de faire, tu seras puni pour cela...

Je ne peux répliquer et clamer mon innocence, c'est elle qui est responsables de la situation.

- Bon, c'est l'heure de se lever, je vais vous détacher, et vous rendre la vue.

Elle me détache du lit, me fait lever, remplace les bracelets des poignets par des menottes et m'enlève les bracelets des chevilles. Mon bas ventre est humide, mon bandeau enlevé je suis devant la glace et ce que je vois confirme ce que je pensais, le plug vibre à nouveau. Elle s'occupe de Mireille et la détache à son tour, la libère des différents bracelets, ôte son bandeau ainsi que son bâillon. Sous la cagoule elle a toujours ses bouchons d'oreille aussi elle s'approche tout près d'elle, lui demandant de me laver entièrement à la salle de bains, et que nous disposons d'une demi-heure. Elle nous pousse dans la salle de bains et nous laisse.

Mireille s'occupe d'elle en premier, prend son bandeau, elle me le pose m'aveuglant à nouveau, je l'entend quelques secondes plus tard prendre sa douche. Un moment plus tard, elle ouvre la fermeture de mon catsuit, ne pouvant éviter de voir mon état entretenu par le gode qui vibre toujours en moi.
Mes mains menottées dans le dos l'empêchent de me libérer complètement du catsuit. Elle me fait asseoir sur le tabouret, le fait glisser de mes épaules, et repliant mes jambes, me le fait quitter, celui-ci n'étant plus retenu que par mes bras menottés. Elle le roule en boule et me le coince dans les mains. Elle commence mon lavage complet, le dos et ensuite le devant, prenant de toute évidence plaisir devant cette situation particulière. Elle m'essuie ensuite.

- Je vais dire à Aline que j'ai terminé.

De toute façon, je ne peux bouger seul. Quelques instants plus tard, Aline entre dans la salle de bains, détache les menottes, m'ôte le catsuit, me rattache aussitôt les mains dans le dos et après avoir vérifié le serrage du bandeau replace un cadenas, interdisant son enlèvement. Elle accroche une chaine à l'anneau de mon collier et me tire nu hors de la salle de bains, on descend l'escalier, arrivés au pied de celui-ci, elle attache l'extrémité de la chaine à la rampe et me laisse. Elle revient me chercher quelques minutes plus tard, je comprends qu'elle m'entraine à la cuisine, me fait asseoir sur une chaise, glisse une corde autour de ma taille me lie à celle-ci, mes poignets dans le dos sont eux aussi pris par la corde. Elle m'enlève alors le bâillon.

- Mireille, fais-le déjeuner, tu as dix minutes, je vais prendre ma douche.

La porte de la cuisine se ferme, Mireille me dit alors

- Je vais te faire déjeuner, tiens, commence par un croissant chaud...

Je sens le croissant devant mes lèvres et croque dedans, c'est alors que les mains de Mireille se posent sur mes épaules et lentement elle vient s'asseoir sur moi. Je réalise alors qu'elle a mis l'autre extrémité du croissant dans sa bouche !!! Je la sens contre moi, sa poitrine est nue, et le contact de ses cuisses gainées de nylon m'électrise. Elle soulève son ventre et d'un seul coup s'empale sur moi. Quel petit déjeuner !!! En quelques secondes, j'explose en elle. Elle se lève alors.

- Il ne faut pas qu'Aline voit ce que l'on vient de faire, je vais faire disparaître les traces...

Je sens alors la bouche de Mireille m'avaler littéralement, ce qui bien entendu n'a pas pour effet de calmer mon émoi. Mireille imperturbable finit alors de me faire déjeuner, laissant sur mon ventre une serviette. C'est ainsi qu'Aline nous trouve quelques instants plus tard. Elle dit à Mireille :

- Vas te préparer dans ta chambre, nous partirons dans une demi-heure, je t'appellerai.

J'entends Mireille monter l'escalier, Aline est toujours dans la cuisine, tout à coup, ses mains se posent sur mes épaules, elle est derrière moi, ses mains descendent lentement sur ma poitrine et saisissent mes tétons, les pince fortement ce qui me fait pousser un petit cri. La serviette qui reposait sur mon ventre est alors transformée en bâillon.

- Comme ça, tu ne pourras pas crier...

Elle reprend son jeu, se concentrant sur ma poitrine, puis sa main droite descend et me saisit fermement, le jeu consiste alors à alterner pincements et va et vient sur ma verge, m'amenant à une érection totale.
Elle me détache de la chaise, me fait lever, me tire par la verge et m'entraine dans la maison.

- Que vais-je faire de toi, Mireille et moi allons profiter de ce beau temps pour aller en excursion, mais la femme de ménage doit venir, accompagner de son mari qui est plombier pour réparer la fuite d'eau, il ne faut pas qu'ils te voient.

On remonte à l'étage et elle me conduit à la salle de bains.

- Débrouilles-toi, car tu n'y retourneras pas avant ce soir...

Elle me laisse quelques minutes, puis revient me chercher, nous parcourrons le couloir, et me fait entrer dans la chambre.

- Je vais t'attacher sur le lit, Mireille a sorti les cordes, mets toi bien droit, jambes serrées et bras le long du corps et ne bouges plus. Avant enfiles ça.

Elle me tend une culotte de plastique que j'enfile et elle commence alors son ligotage par les épaules et descend méthodiquement jusqu'aux chevilles. Je ne peux plus bouger, les cordes font des anneaux espacés d'une dizaine de centimètres, elle reprend alors d'autres cordes et relie verticalement les anneaux, des pieds aux épaules, devant et derrière, passant une fois à gauche et une fois à droite de ma tête. Enfin deux dernières cordes relient chaque anneau, au niveau des bras, passant entre mes bras et mon corps empêchant toute tentative de ma part de faire glisser ceux-ci. Le bondage est total !!! C'est alors qu'elle appelle Mireille et à elles deux me font basculer sur le lit.

- Toute la journée, il risque d'avoir froid, on va l'enrouler dans la couverture, aides-moi.

Elles me roulent alors dans celle-ci.

- Passe-moi le sac des sangles, Mireille, il restera bien dedans comme ça et cela nous aidera à le fixer au lit pour qu'il ne tombe pas.

Quelques instants plus tard, je suis attaché sur le lit et l'une d'elle me glisse un oreiller sous la tête.

- Bon c'est parfait dit Aline, bonne journée, on pensera à toi, ne t'ennuie pas et ne t'inquiète pas si tu entends du bruit, ce seront les employés qui travaillent, je ne te mets pas de bâillon, comme on n'est pas là, ne fait pas de bruit.

Elle ferme la porte et j'entends la clé tourner dans la serrure. Je les entend dans le chalet un long moment, puis le bruit de la voiture me fait comprendre qu'elles sont parties. Me voilà seul, j'essaye de bouger, en vain, le bondage est parfait et l'enveloppement plus les sangles qui me lient au lit me collent à celui-ci.

Je pense que je me suis endormi, ce sont des bruits dans le chalet qui me réveillent, surement la femme de ménage et son mari. Ils proviennent de la cuisine. Tout à coup une voix féminine se fait entendre.

- Tu vas en avoir pour longtemps ?

- Je ne sais pas, mais je vais devoir changer un partie du tuyau, une grosse heure environ.

- Quelle heure est-il ?

- Dix heure trente.

- Je vais faire le ménage, puisque c'est comme ça.

Quelques minutes plus tard, l'aspirateur fonctionne dans le séjour, le bruit des chaises et fauteuils que l'on bouge, montre que le travail est bien fait. Cela dure un long moment, puis la voix de la femme se fait à nouveau entendre.

- Je vais aller faire les chambres, puisque j'ai le temps, je monte.

A ce moment là, je réalise qu'elle va venir, mais je me souviens aussi qu'Aline a fermé la porte à clé avant de partir. A nouveau l'aspirateur fonctionne à l'étage, elle fait le couloir, puis les deux chambres d'Aline et de Mireille. Tout à coup, la poignée de ma chambre est tournée, puis une deuxième fois en vain. C'est à ce moment là que la femme de ménage parle à nouveau, elle réfléchit à haute voix.

- Mais pourquoi ont-elles fermé cette chambre, elles sont agitées ces filles, tant pis, je ne vais pas la nettoyer.

Elle repart, puis quelques minutes plus tard, une clé tourne dans la serrure...

- Je savais bien que la clé du placard ouvrait toutes les chambres, voilà.

La porte s'ouvre tout à coup, le clic de l'interrupteur, puis sa voix, mais cette fois très peu forte.

- Qu'est-ce c'est que ça ? Elles ont encore recommencé, un nouveau colis, et bien emballé. Elles sont folles ces deux.

Tout à coup, une main se pose sur moi, et commence à travers la couverture à me palper, d'abord au niveau de la poitrine, puis plus bas.

- Pas mal le paquet, et bien ficelé à ce que je vois. Bon cela ne va pas m'empêcher de faire le ménage.

Elle active l'aspirateur et se met à le passer dans la chambre. C'est à ce moment la que la voix du plombier se fait entendre.

- J'ai fini, tu veux que je monte chercher ton matériel ?

La voix de la femme de ménage dit aussitôt :

- Non, non j'ai terminé, je vais descendre, charge la voiture en attendant.

Elle replie son matériel et soudain j'entends près de mon oreille :

- Je vais revenir en début d'après-midi, mais seule... A tout à l'heure beau prisonnier.

Elle sort de la chambre et referme à clé aussitôt.

- Voilà, j'ai terminé, viens prendre l'aspirateur sur le palier si tu veux.

Quelques minutes plus tard la voiture s'éloigne du chalet. Je suis surpris par la tournure des évènements, apparemment, ce n'est pas la première fois qu'Aline amène quelqu'un dans le chalet, mais quelles sont les intentions de la femme de ménage ?

Une voiture s'arrête devant le chalet, serait-ce le retour de la femme de ménage ? Je ne vais pas tarder à le savoir. Quelques minutes plus tard, la clé tourne dans la serrure, quelqu'un entre dans la chambre.

- Me voilà, j'ai toute l'après-midi devant moi, elles rentreront tard, je les ai eues au téléphone, je leur ai dit qu'il y avait une soirée dansante au Club, et que ce serait dommage qu'elles la loupent, et que je passerai fermer les volets pour qu'elles soient tranquilles. Elles ne savent pas que je connais leurs manies, mais que j'adore pratiquer aussi. Voyons voir, je vais te déballer un peu, mais avant tout, te mettre un bâillon, ce sera mieux.

Elle me pose le bâillon anneau et entreprend de défaire les sangles, la couverture est tirée, me laissant nu, avec ma culotte de plastique sur le lit, entièrement saucissonné.

- Bon, pas mal protégé et bien attaché, je ne vais rien enlever, les possibilités sont nombreuses à exploiter.

Je sens qu'elle monte sur le bord du lit et soudain, me retourne comme une crêpe.

- C'est pas mal de ce coté non plus, je vais te chauffer un peu les fesses, elles ne verront rien, je doute qu'elles te déballent au retour, il sera trop tard.

Un martinet s'abat soudainement sur mes cuisses, puis remonte sur mes fesses à travers la culotte et le bas de mon dos, cela dure un long moment, j'essaye de me soustraire aux coups en vain, une chaleur monte en moi, je dois être cramoisi.

- Les lanières sont larges et ne laissent pas de trace, sauf que tout devient rouge, bien sur !!!

Elle reprend son action, poursuit sur l'ensemble de mon corps, l'impression de chaleur ne me quitte plus. Je l'entends à nouveau près de moi, ses mains se posent sur moi et me mettent sur le coté, puis je sens contre mon ventre et le haut de mes cuisses comme un gros coussin, elle me fait basculer sur le ventre et je me retrouve cette fois les fesses en l'air.

- C'est parfait, allez encore quelques coups pour bien rougir ton fessier.

Elle baisse la culotte et le martinet entre à nouveau en action pour plusieurs minutes, puis je sens ses mains contre mes fesses, elle a mis des gants de caoutchouc, elle écarte celles-ci. Que vas-t-elle faire ? Je commence à paniquer.

- Ne bouges pas, je vais combler ce trou devant moi.

Je sens alors le contact d'un objet, un plug ! Lentement, mais fermement, elle l'introduit en moi jusqu'à ce que je sente le contact de la partie large contre mes fesses et remonte la culotte.

- Tu vois, cela rentre bien avec un bon lubrifiant.

Elle me retourne alors d'un seul coup sur le dos, bloquant en même temps l'objet en moi. Je ne suis pas insensible à son action et cela se voit.

- Oh, mais tu as l'air d'aimer ça dis-moi.

Ses mains gantées s'emparent de mes tétons et les triture fortement.

- Bon quelques pinces à linge en bois maintenant, rien de mieux pour entretenir ton état.

Elle commence par mes seins, puis mes bourses, suivent les cuisses, le ventre. Je pense qu'elle ne s'arrête que lorsque toutes ont été placées. Je sens alors le martinet se promener sur moi, faisant bouger les pinces, c'est diabolique. Je pense que mon érection est maximale à ce moment là.

- Mais cela t'excite mon salaud, tu aimes ça, eh bien, tu vas en profiter, je vais te laisser un bon moment avec.

Pendant quelques secondes, sa main gantée glisse sous la culotte, s'empare de ma verge et me lâche au moment ou la pression monte.

- Gardes tes forces pour tout à l'heure. Je reviendrai plus tard, je vais voir ma copine. Qui sait, peut-être je lui parlerai de ce que j'ai fait de toi...

Elle s'en va, et la voiture s'éloigne du chalet, me voilà seul et sous la torture des pinces qui se font sentir partout sur mon corps. Combien de temps cette situation a durée ? Le fait est que les pinces agissent et j'aimerai bien qu'on me les enlève.
Enfin une voiture s'approche, quelques instants plus tard, la porte de la chambre s'ouvre.

- Alors comment as-tu passé cette heure qui vient de s'écouler ?

C'est bien la femme de ménage, elle a remis les gants de caoutchouc et se promène à nouveau sur mon corps, quelques pinces tombent, à chaque fois je sens l'afflux de sang et cela provoque un grognement de ma part.

- Je vais t'en enlever quelques unes de plus, mais avec le martinet, tu vas voir, tu vas apprécier...

Effectivement, elle se met au travail et de nombreuses pinces sautent, me faisant sursauter à chaque fois. Cela produit aussi un autre effet dont-elle ne peut pas ne pas voir.

- Mais tu aimes ça, tu es vraiment maso.

Ses mains, nues cette fois, baissent ma culotte, s'emparent de ma verge et lentement font des va-et-vient. C'est à ce moment là que je reçois de nouveaux coups de martinet. Elle n'a pas trois mains !!! Il y a donc quelqu'un avec elle, une personne qui ne parle pas, mais qui m'a pris en main !!!
Cette personne s'allonge sur moi tête bêche, elle est nue de toute évidence et je sens des sangles se serrer et nous lier ainsi l'un à l'autre. De toute évidence, nous sommes collés l'un à l'autre, je ne sens pas ses bras ni ses mains, ce qui laisse supposer qu'elle les a maintenant liées dans son dos. Sa bouche est contre ma verge et tout à coup m'avale littéralement.

- Mais c'est bien comme ça, je vais vous laisser une petite heure, vous pourrez profiter de ce contact. Allez, vides-le pour voir si tu peux et pas de saletés donc débrouilles-toi.

Ma " partenaire " se remet à l'œuvre et en quelques secondes arrive à ses fins.

- Bien, je vous laisse, tu peux recommencer si tu veux dans quelques minutes, tiens prend ça dans tes mains,cela pourra te servir.

Elle s'en va et à nouveau repart du chalet.

Ma partenaire d'infortune a reposé sa tête sur mon bas ventre, mais quelques minutes plus tard ,sa langue commence à se mettre en action et me redonne de la vigueur. Se soulevant légèrement; je suis à nouveau avalé et ne peux résister à ses attentes. La scène va se reproduire, elle est vraiment insatiable, et jouit plusieurs fois. Quant à moi, je m'épuise à ce jeu et ai du mal à répondre à ses attentes. Une vibration se fait en moi, mon plug vibre, elle lui a mis la télécommande dans les mains, et elle essaye ainsi de me réactiver.

C'est ainsi que va nous trouver la femme de ménage à son retour.

- Vous avez l'air ramolli complètement, il est bientôt dix neuf heures, il faut partir, on va tout remettre en place.

Elle détache alors ma partenaire et remet la culotte en place et la couverture sur moi, puis les sangles comme elle m'a trouvé.

- Je vais t'enlever le bâillon, surtout pas un mot à qui que ce soit de notre passage, bien compris ?

Je fais oui de la tête et elle m'ôte le bâillon. Quelques instants plus tard, elles sont prêtes à partir.

- Allez, fais-lui un petit câlin avant de partir, tu en as bien profité, non ?

Ma compagne d'après-midi posant une main sur ma verge à travers la couverture, m'embrasse alors longuement, jusqu'à ce que j'ai montré par une nouvelle raideur que j'avais apprécié la situation.

- On s'en va, la maison est fermée, elles ne rentreront pas avant plusieurs heures encore, mais tu aimes-ça n'est-ce-pas ? Bonne soirée et qui sait, à une autre fois ?

Elles repartent me laissant dans ma méditation avec toujours le plug enfoncé en moi. Je finis par m'endormir et c'est le bruit de la voiture d'Aline qui me réveille.

Elle ouvre et entre dans la chambre.

- Alors, tu es toujours là ? Mais tu n'as pas bougé du tout, c'est bien. Il est très tard, je n'ai pas le courage de te changer de position, on verra demain matin, bonne nuit.

Elle sort de la chambre et me laisse ainsi. L'activité de la journée ,malgré mon immobilité a été intense et finalement je m'endors moi aussi.

Dimanche matin...

Des bruits dans la maison me font comprendre qu'elles sont levées, personne ne vient me voir, et je me demande si elles vont me laisser ici encore longtemps. Enfin la voix d'Aline se fait entendre.

- Il est 8 heures, tu as bien dormi, tu es reposé, couché depuis hier, mais peut-être tu as envie de passer à la salle de bains, je vais te détacher.

Elle me libère, et sans me faire prier file directement à la salle de bains, réussissant à lui cacher le plug qui est en moi. J'ouvre la douche et m'y glisse dessous, appréciant vivement cet instant. Les marques des cordes sont encore présentes, Aline tout à coup m'appelle et m'ordonne de descendre nu. Je m'empresse de m'essuyer et descend à la cuisine. Elles sont la toutes deux, Aline en survêtement et Mireille avec un body et une cagoule de latex rouge, des bracelets de cuir aux poignets et chevilles.

- Allez, tu déjeunes et ensuite on va décider de la journée, il fait beau nous allons en profiter pleinement avec Mireille.

J'en conclus que pour moi, cela va être encore une journée de privations. Sur la table de la cuisine, deux sacs à dos sont prêts, n'attendant que les filles pour une promenade, pour la journée semble-t-il. A peine le déjeuner terminé, je suis rejoint par Mireille qui porte un carton. Elle pose celui-ci sur la table et commence à en sortir plusieurs choses, en premier une culotte de plastique, un collant noir opaque et un body raz-le-cou à manches longues qu'elle me tend.

- enfiles-les le temps que je vide le carton, Aline arrive.

Je les prends et pendant que je les enfile, elle sort des bracelets, diverses chaines, une boite de cadenas et une autre contenant des maillons rapides à vis (attache rapide). Elle passe derrière moi et remonte la fermeture dans mon dos jusqu'au cou. Un " clic " me fait comprendre qu'elle a fixé l'anneau de la fermeture du body à un anneau du collier avec un petit cadenas. Puis le bâillon anneau vient prendre sa place et Mireille le fixe solidement.

- Comme ça, tu ne pourras pas l'enlever, si tu étais libre de tes mouvements, mais cela ne sera pas le cas.

Mireille repart et monte à l'étage, Aline arrive alors, elle est en tenue de montagnarde, elle entreprend de me poser les bracelets aux poignets et chevilles, les condamnant avec des cadenas.
Elle prend une longue chaine et fixe une extrémité à l'anneau du collier devant mon cou avec un maillon, fait descendre la chaine jusqu'à ma poitrine, l'entoure et à l'aide d'un nouveau maillon la fixe sans laisser de jeu, puis recommence autour de la taille. Elle passe l'extrémité de la chaine entre mes cuisses et la remonte en la tendant. Trois nouveaux maillons lui permettent de la fixer à la taille, sous la poitrine et à un anneau du collier derrière mon cou, ce qui constitue un début de réseau de chaines.
Elle tire sur la chaine, s'assure qu'elle est bien tendue, ensuite à l'aide d'une petite clé à molette, elle serre les dispositifs de vissage de chaque anneau les rendant impossibles à ouvrir sans un outil.
Elle passe aux jambes, et recommence un maillage serré en partant des pieds, chevilles. mi-tibias, sous et au-dessus des genoux, puis à mi-cuisses, et une dernière au niveau du bas-ventre. Ces chaines sont reliées entre elles par une autre chaine attachée devant à celle de la taille et par son équivalent à l'arrière. Les maillons servent pour les liaisons, bloqués méthodiquement l'un après l'autre.
Seuls mes bras sont encore libres, mais pas pour longtemps, deux maillons passés dans les anneaux des bracelets sont fixés à la chaine du bas-ventre au niveau des cuisses, puis des chaines plus courtes bloquent les bras le long du corps. Aline prend une nouvelle chaine, elle attache une extrémité à la cheville droite, puis la fait remonter le long de ma jambe jusqu'à l'épaule, un maillon la fixe, puis à l'aide d'autres maillons, elle relie tous les anneaux transversaux à cette chaine. Elle fait une boucle large autour de mon cou, bloquée avec un maillon et redescend sur le coté opposé en faisant les mêmes opérations, terminant en passant l'extrémité sous mes pieds et l'attache à l'autre extrémité de la même chaine près de ma cheville droite.. Cette fois, je suis comme dans une cage métallique souple.

- Te voilà bien enchainé, encore deux chaines verticales au niveau de tes tétons et ce sera parfait.

Un quart d'heure plus tard, je suis entièrement pris dans une cage métallique qui colle parfaitement à mon corps, Aline vérifie le serrage de tous les maillons avec sa clé, en les bloquant un à un de toutes ses forces.

- Bon, que vas-t-on faire de toi maintenant ?

Aline se tourne et voyant une poutre transversale, près de l'escalier, pas loin de moi, semble avoir fait son choix.

- Je te soutiens, sautille jusque sous la poutre, allez avance.

Lentement je sautille et me déplace de quelques mètres.

- Parfait, ne bouges plus.

Aline va chercher deux nouvelles chaines et les passe sur la poutre, les pans tombent sur moi.

- C'est bon, je vais te relier maintenant, avant je vais te faire mettre sur ce dictionnaire.

Approchant un tabouret du bar contre moi, elle me fait poser mes fesses dessus et glisse alors sous mes pieds le dictionnaire qui me surhausse de quelques centimètres. Aline me fait mettre debout dessus et revient près des chaines, ayant pris au passage quatre cadenas.

- Allez, mets-toi sur la pointe des pieds.

J'obéis, bien que l'équilibre soit précaire, elle fixe les deux pans de la première chaine latéralement aux chaines verticales en la tendant au maximum, puis fixe les deux pans de l'autre chaine à l'anneau horizontal qui se trouve au niveau de ma poitrine.
Aline vérifie la tension des chaines et s'appuyant contre moi, me déstabilise et d'un coup de pied fait glisser le dictionnaire. Je me retrouve pendu, les pieds à quelques centimètres du sol.

- Eh bien voilà, c'est parfait, tu ne peux plus rien faire, si il reste encore quelque chose, mais tout à l'heure.

Elle appelle alors Mireille, lui disant qu'il est 9h30 et qu'elles vont partir. Celle-ci descend, vêtue comme Aline, avec la différence que ses poignets sont toujours équipés des bracelets et son cou porte un lourd collier de cuir avec plusieurs anneaux.

- Nous allons prendre le chemin derrière la maison et suivre le GR, si tout va bien, nous rentrerons vers 16h00, viens ici, mets ton sac sur le dos, mais avant ramasse tout ce qui est sur la table et va le porter dans la benne à ordures.

Mireille s'exécute et un quart d'heure plus tard revient et s'équipe de son sac. Aline vient et me fixe le bandeau m'isolant totalement, suspendu dans l'air.

- Jusqu'à ce soir, j'ai peur que tu prennes froid, je vais y remédier, nous avons le gros rouleau de film plastique, je serai plus tranquille.

Je sens tout à coup qu'elle déroule autour de moi le film plastique, en quelques minutes je suis entièrement enveloppé par dessus les chaines, cela m'immobilise encore plus, des pieds au cou, seule ma tête est épargnée.

- Bon, c'est parfait, allons-y partons.

J'entends la porte claquer et la clé tourner dans la serrure, me voilà seul pour plusieurs heures, la position n'est pas trop dure, les chaines sont bien équilibrées et me soutiennent totalement. Seule la notion du temps qui passe va m'occuper, pour l'instant le chant des oiseaux en ce début de matinée est présent. Aucun autre bruit ne parvient au chalet isolé des autres habitations de plusieurs centaines de mètres.
J'entends le clocher du village sonner les heures, 10 puis 11 et maintenant midi j'ai l'impression d'être prisonnier depuis longtemps, et ce n'est pas fini.
Un bruit me fait sursauter, la clé dans la serrure, quelqu'un rentre dans la maison, les filles ont sans doute décidé d'écourter leur promenade. Ce qui me paraît bizarre, c'est qu'elles ne font aucun bruit, pensent-elles que je dors ?

Tout à coup, je sens des mains me toucher, mes tétons sont pincés à travers le plastique, puis les mains se portent sur mes fesses et parfois sur mon sexe. Qui-est-ce, Aline ou Mireille, je ne le sais pas, ce qui est sur c'est qu'elle a décidé de me mettre en émoi. Tout à coup, je sens qu'elle découpe le plastique autour de mon ventre, écarte le body, baisse le collant et la culotte, libère ma verge qui est aussitôt prise en main. En quelques secondes, je suis en érection. Les mains abandonnent leur action pour se reporter sur mes tétons et mes fesses, ce qui me maintient en émoi.
Puis plus rien, est-elle allé faire quelque chose dans la maison ? Toujours aucun bruit ne me parvient. C'est à ce moment-là que je suis littéralement avalé, la bouche qui m'enveloppe est active et vorace, s'écarte lorsqu'elle sent que je risque de me lâcher. L'expérience va durer un très long moment, jusque à mon éjaculation. Elle reprend son action et me nettoie minutieusement, puis je sens qu'elle découpe le plastique me libérant de celui-ci. Aussitôt, j'entends le rouleau de film plastique et son contact sur moi, elle m'enveloppe à nouveau entièrement, tout en tendant le plastique au maximum, et en posant plusieurs couches, des pieds aux épaules.
Me voilà encore plus emballé, puis plus rien, si ce n'est le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Je suis seul à nouveau semble-t-il dans la maison. Qui est venue me traiter de la sorte ? J'avoue que cela m'intrigue, la seule autre personne disposant de la clé est à ma connaissance la femme de ménage. Serait-elle venue en douce ?

17h ont sonné quand j'entends cette fois Aline et Mireille revenir de leur promenade. Sans se préoccuper de moi, elles vont et viennent dans le chalet. Aline fait remarquer qu'elles sont en retard et qu'elles doivent se dépêcher de partir, Mireille est chargée de préparer les affaires et de les mettre dans la voiture, Aline demande à Mireille :

- Je ne trouves plus la clé pour défaire les anneaux des chaines, tu l'as prise ?

Non réponds Mireille. Aline reprends :

- Mais elle était sur la table dans le plastique.

C'est à ce moment que Mireille dit:

- Le plastique, mais il y avait des saletés, je l'ai jeté avec le reste des ordures dans le container métallique.

Aline dit alors:

- Il est impossible de récupérer le sac, on ne peut pas ouvrir la trappe du container, et il n'y a pas d'outils ici, il ne nous reste plus qu'à le ramener attaché, on le libèrera à la maison. Viens m'aider à le mettre dans la voiture.

Elles viennent près de moi, me mettent le dictionnaire sous les pieds et détachent les chaines qui me suspendent, puis me soutenant chacune d'un coté, elles me font sautiller et lentement je suis conduit à la voiture au garage, et installé sur le siège arrière. Elles me mettent la ceinture qui me maintient droit sur le siège. Aline dit :

- Eh bien, tu vas être satisfait, tu es attaché encore pour un certain temps.

Elles s'affairent encore un moment et nous voilà partis pour rejoindre la maison. Le trajet de retour se passe sans problème. Enfin la voiture s'arrête, je ne sais pas ou nous somme, Aline se manifeste alors.

- Il est tard, on va te faire rentrer chez toi, on verra pour la suite.

Je n'en sais pas plus, Aline et Mireille comme au chalet, me font sautiller pour entrer dans la maison, elles me guident chacune d'un coté et me font coucher sur le canapé. C'est à ce moment la que le portable d'Aline sonne, elle est dans la cuisine vraisemblablement. Elle parle quelques secondes, puis revient dans le séjour en disant.

- Je dois partir, on m'attend, Mireille, tu viens avec moi, Marc ne risque rien, on va le laisser, on reviendra le détacher plus tard.

Je les entends encore quelques instants et la porte se ferme, elles m'ont laissé sans rien me dire de plus que ce que j'ai entendu. Le temps passe, rien ne se passe et je finis par m'endormir ainsi sur le canapé.
Je me réveille enfin, quelle heure peut-il être ? Je n'en ai aucune idée, je suis toujours aveuglé et rien ne filtre à travers le bandeau. Tout à coup le téléphone sonne, bascule sur le répondeur, je reconnais aussitôt la voix d'Aline :

Lundi matin...

Bonjour Marc, tu as bien dormi, il est neuf heures, on n'a pas eu le courage de revenir hier au soir, nous sommes au travail et avons de nombreux rendez-vous, aussi j'ai demandé à Anna de venir te libérer, elle m'a dit qu'elle viendrai dès que possible. Ne t'impatientes pas trop ! Je t'embrasse.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 11:28

  3 - La semaine d'Anna


La porte s'ouvre enfin, c'est Anna qui entre dans la maison.

- Monsieur Marc ? C'est moi, je viens vous délivrer, ou êtes vous ?

Les pas d'Anna dans le salon résonnent et tout à coup ses mains se posent sur moi.

- Elles vous ont bien emballé, vous êtes comme ça depuis hier au soir ?

Je ne peux lui répondre immédiatement, elle m'ôte le bâillon, ce qui me permet de faire bouger ma mâchoire, et elle commence à enlever le plastique qui m'entoure.

- Eh bien ,vous êtes bien attaché encore aujourd'hui, et cette cage de chaines est bien étroite elle aussi. Comment vais-je vous libérer de cela ? Je vais aller chercher des outils au garage.

Quelques minutes plus tard, Anna commence à ôter les maillons, ma libération se fait lentement. Je suis enfin libre, Anna ouvre la cagoule et me l'enlève, me rendant par la même occasion la vue. Mes yeux s'accommodent à la lumière et je la vois dans son ensemble de cuir, qui sourit devant moi.

- Racontez-moi votre soirée, cela a été hard semble-t-il ?

Quand je lui dis qu'en fait je suis attaché depuis vendredi soir, ses yeux expriment leur surprise.

- Vous avez été attaché tout le temps ?

Je lui réponds que oui et que la cagoule a été en permanence sur ma tête, Anna ayant omis de prendre la clé du cadenas. Je lui fait part de mon désir d'aller rapidement à la salle de bains, pour satisfaire mes besoins et prendre une douche après cette longue séance.

- Allez-y, je vais ranger un peu vos affaires, vous avez une serviette pour vous essuyer.

Un quart d'heure plus tard, je suis lavé et essuyé, n'ayant pas de vêtements sur place, je sors la serviette autour de la taille. Anna est la, devant moi, elle me tend la main dit :

- Donnez moi la serviette, je vais la mettre à sécher, je présume que vous avez faim, je vous ai préparé un bon petit déjeuner à la cuisine, allez-y vite.

Je n'ose rien dire et c'est nu que je me dirige vers la cuisine. Anna me rejoint rapidement et s'installe sur l'angle de la table, laissant apparaître le haut de ses bas sans se soucier de moi alors que je prends place à la table et commence à manger.

- Depuis que je viens m'occuper de votre maison, nous ne nous sommes pas vus beaucoup, mais vous devez vous poser maintenant quelques questions à mon sujet n'est-ce pas ?

Je lui réponds que oui, surtout depuis que j'ai constaté qu'Anna la connaissait, la semaine dernière. Elle me réponds aussitôt.

- En fait je suis une amie d'Anna, je suis infirmière libérale et dispose de temps libre selon mes rendez-vous. Quand elle m'a dit que vous cherchiez quelqu'un pour venir de temps en temps, je lui ai suggéré que je pourrais être candidate, surtout depuis qu'elle m'a dit quels sont vos petits jeux et vos envies. Ce qui m'intéresse, c'est de participer moi aussi.

Je réponds que cela me touche beaucoup et que je suis enchanté de la tournure que prend notre relation. A ce moment là, Anna se lève, passe derrière moi et rapidement de ses mains saisit mes tétons par derrière et les pince fortement. Je ne peux m'empêcher de sursauter, mais elle ne lâche pas prise.

- Je vais donc à mon tour pouvoir faire de vous ce que j'ai envie, serez-vous ma chose, entièrement disponible en dehors des heures de votre travail ?

Je réponds " oui Maitresse, je suis à votre entière disposition ".

- Je vais dorénavant te tutoyer, quant à toi tu continues à me vouvoyer et à m'appeler dorénavant " Maitresse Anna ".

- Oui Maitresse Anna.

Anna vient se mettre face à moi et s'installe pour se servir un café. Ses jambes bottées, viennent sous la table à la rencontre des miennes et ses pieds se positionnent en haut de mes cuisses, pressant mon sexe alors que les talons se glissent dessous.

- Tu es en vacances cette semaine, as-tu prévu des activités ?

Je réponds que non, que je souhaitais simplement me reposer sans but précis.

- C'est parfait, donc tu es totalement disponible.

Cela semble ravir Anna, elle se lève, me disant:

- Restes ici, je vais revenir dans quelques minutes, finis de déjeuner tranquillement.

Elle se dirige vers les chambres, je l'entend ouvrir et fermer les portes. Elle revient enfin au bout d'un moment avec une clé à la main.

- J'ai mis tous tes habits dans la penderie, et j'ai fermé la porte à clé, je la garde avec moi, comme cela tu seras dépendant de moi entièrement. Maintenant viens avec moi.

Je me lève et la suis au salon. Elle a posée plusieurs choses sur la table. Des dessous noirs et une robe noire longue qui se trouvait dans ma penderie.

- Habilles-toi que je regarde à quoi tu ressembles.

J'enfile le string, suivi du porte jarretelles et des bas, un caraco accompagne l'ensemble, puis les chaussures à talons dont je ferme les brides et enfin la robe. Anna passe derrière moi et ferme celle-ci.

- Pas mal, mais un peu austère ta robe, et surtout pas sexy. Je vais y remédier.

Elle part à la cuisine et revient avec un ciseau.

- Voyons mets toi bien droit devant moi.

Elle prend le ciseau et coupe le bas de la robe sous les genoux.

- C'est mieux, marche un peu pour voir.

Je fais quelques pas et reviens vers elle. Elle me fait recommencer et semble satisfaite.

- Pour l'ourlet, on verra plus tard. Bien, tu vas m'attendre dehors, sors et dirige toi vers le portail lentement, mais avant viens ici.

Je me dirige vers elle alors qu'elle fouille dans un sac et en sort une perruque brune.

- Avec ça, tu seras plus dans le ton, mets toi à genoux devant moi.

Je m'exécute aussitôt, et elle pose sur ma tête la perruque, l'ajuste et la coiffe.

- C'est beaucoup mieux, maintenant tu peux sortir et va m'attendre à coté de ma voiture, je vais faire quelques visites et tu vas m'accompagner.

Je n'ai pas le choix et m'exécute, bien que la route soit assez loin de mon portail, je crains surtout que quelqu'un vienne vers la maison. Arrivé à la voiture d'Anna, je me tiens entre la voiture et ma maison, essayant de me cacher un peu de la vue. Anna arrive 5 minutes plus tard, me fait asseoir à l'arrière et me mets la ceinture. Les vitres de sa voiture sont teintées, on ne voit rien de l'extérieur.

- Je ne veux pas entendre un seul mot sortir de ta bouche sinon je me verrai dans l'obligation de te bâillonner, c'est compris ?

Je réponds " oui maitresse " et nous partons en direction de la ville. Anna ne dit rien, agissant comme si je n'étais pas là. Arrivés en ville, elle cherche à se garer et trouve une place près du marché. Il est 11 heures, beaucoup de monde circule à cette heure et passe près de la voiture. Elle va chercher un ticket à l'horodateur et le place sur le tableau de bord. Se retournant vers moi elle dit:

- Tu vas m'attendre ici, j'en ai pour un moment. Ne te fais pas trop remarquer.

Elle sort et ferme la voiture. Me voilà seul au milieu d'un flux de personnes circulant sans arrêt. Cela doit faire environ une demi-heure que je suis là quand un personne de la police municipale arrive, elle contrôle les tickets de stationnement. Tout à coup je me demande si Anna a bien mis suffisamment de temps. Je sens une bouffée de chaleur m'envahir, comment vais-je faire si je suis sollicité ? Elle avance lentement et arrive à la voiture. Elle se penche et regarde le ticket. J'ai des sueurs d'autant plus qu'en se penchant sur le pare-brise, elle peut me voir à l'arrière de la voiture. Le temps me paraît long, et finalement après un dernier regard, elle passe à la voiture suivante.
Midi vient de sonner et toujours pas d'Anna, je ne sais pas ou elle est et je commence à trouver le temps long. Anna revient à 12h30, s'installe au volant et démarre.

- Nous allons passer chez la couturière, c'est à la sortie de la ville.

Je présume que nous allons chercher une livraison. La voiture s'arrête devant un petit magasin, Anne descend, et ouvre la porte de mon coté.

- Allez, sors dépêches-toi.

Effrayé, j'hésite un moment.

- Tu seras puni pour cette hésitation, dehors et vite.

Je quitte la voiture, Anna ouvre la porte du magasin et me dit d'entrer. Une femme, la cinquantaine viens vers Anna et l'embrasse.

- Alors, c'est cette robe que je dois arranger ?

- Oui Amanda dit Anna, tu peux le faire.

- Bien sûr, il y en a pour un quart d'heure, attends, je ferme la porte et tire le rideau.

Nous voilà isolés dans le magasin, Amanda, la couturière revient vers moi, me prends par le bras et me fait monter sur une petite estrade. Prenant ses épingles, elle marque l'ourlet en quelques minutes.

- Bon, maintenant, il faut me donner la robe, allez, enlèves-là.

Anna passe derrière moi et la dégrafe, la faisant glisser en même temps. Je me retrouve en caraco avec mes dessous. Elle la tend à Amanda, celle-ci lui dit:

- Tu restes déjeuner avec moi ? On aura le temps de parler un peu. Si tu veux passe à la garde-robe, tu pourras lui trouver quelque chose à se mettre en attendant.

Anna me laisse et va fouiller dans la pièce. Elle revient un moment plus tard avec des vêtements sur un cintre. Se tournant vers Amanda, elle dit :

- C'est sympa cette tenue de bonne, tu l'avais faite pour une pièce de théâtre ? Elle à l'air à sa taille.

- C'est d'accord, je reste pour déjeuner, il fera le service comme ça.

Amanda me regarde et dit à Anna:

- Regardes dans le tiroir ici, tu vas trouver des collants intégraux opaques de danseuses, prends-en un totalement fermé, avec les gants incorporés et fais-lui mettre sous sa tenue, ils sont bien noirs.

Anna revient avec l'un d'entre eux, m'enlève le caraco et me le fait enfiler, puis me fait mettre la robe et la ferme dans le dos. Le collant est épais, je vois légèrement à travers. Elle me remet la perruque par dessus.

- C'est parfait, comme ça, on ne le voit plus et lui nous devine à peine, il y voit cependant suffisamment pour se déplacer. Je n'arrive pas à fermer complètement sa robe.

- Attends, je vais faire un point de couture en prenant le fermoir, elle ne s'ouvrira pas.

Amanda passe derrière moi et bloque la glissière de la fermeture dans mon cou.

- Comme ça, cela ne glissera plus, il faudra couper le fil, mais on verra cela plus tard.

- Va mettre le couvert à la cuisine et laisse-nous discuter tranquillement.

Je me dirige vers la cuisine et installe la table pour les deux amies, bien entendu, j'ai compris que dans ma situation, je n'aurai seulement qu'à faire le service. Elles arrivent un quart d'heure plus tard, apparemment ma robe a été raccourcie. Elles s'installent à table et je fais le service. Une fois qu'elles ont terminé, je leur sert le café, Amanda se lève, ouvre un placard et en sort une paire de gants de latex.

- Allez, enfile cela, tu vas faire la vaisselle, puisque tu es là.

Il ne me reste plus qu'à m'exécuter alors qu'elles repartent pour le magasin. Une fois terminé, je range la vaisselle et attends leur retour.
Anna revient avec Amanda et dit :

- Je vais en rendez-vous, Amanda n'a pas sa femme de ménage aussi tu vas rester et la remplacer.

Anna prends ses affaires et part, me laissant avec Amanda. Celle-ci me conduit à l'étage et m'indique ou se trouve la buanderie.

- Tu vas passer l'aspirateur partout et faire les vitres, je pense que cela devrait t'occuper un bon moment, surtout dans ta tenue. Interdiction de parler, je reçois des clientes dans le magasin tout l'après-midi. Il est 14h30, je dois aller ouvrir, s'il reste des traces sur les vitres, je le dirai à Anna bien entendu.

Je décide de commencer par passer l'aspirateur, l'étage est grand, il y a quatre chambres et deux salles de bain en plus de la buanderie. Celle-ci est très grande et sert à ranger les vêtements du magasin. Il y a des tringles fixes et des portants. Je commence mon travail, bien que ma vision soit diminuée par la cagoule. La radio marche dans la boutique, cela me permet d'avoir une notion du temps qui passe. A 16h30, j'ai enfin terminé de passer l'aspirateur partout, Amanda est montée plusieurs fois chercher des vêtements, mais a fait comme si je n'existait pas. Je vais commencer les vitres et je me rends compte que la tache ne sera pas facile, car j'ai du mal à voir s'il reste des traces avec ma cagoule !!!
Alors que j'ai commencé les vitres depuis quelques minutes, j'entends Amanda monter, et venir vers moi.

-Alors, ça avance ? Tu dois faire toutes les vitres, je vais te compliquer un peu la tache.

Amanda ouvre un tiroir et en sort une courte chaine et deux cadenas, se baissant devant moi, elle m'attache les chevilles, en laissant qu'une quinzaine de centimètres environ entre elles, puis sort une ceinture de cuir, équipée de deux chainettes reliées à un anneau, les chainettes ont à l'autre extrémité des bracelets de cuir. Elle m'attache la ceinture (qui se ferme dans le dos) et me pose les bracelets qui se verrouillent avec de petits cadenas. Elle vérifie l'ensemble, je n'ai plus qu'une trentaine de centimètres de marge de manœuvre.

- C'est parfait, tu vas devoir faire preuve d'imagination pour atteindre le haut des vitres. Débrouilles-toi et ne te montres pas trop lorsque tu feras l'extérieur des vitres.

Elle repart en rigolant, de nouveaux clients sont entrés au magasin. La tache qui m'attend prend une nouvelle dimension. Comment atteindre le haut des vitres, alors qu'avec les chaines, je n'arrive qu'à environ 1,60m du sol !!! Je commence par la buanderie, ou je n'arrive pas à atteindre le haut des fenêtres, je cherche dans la pièce et finit par trouver un escabeau avec quatre marches. Je l'installe et essaye de monter, mais avec les chevilles entravées et mes chaussures à talons, je n'y arrive pas. Finalement, je trouve la solution en m'asseyant sur la marche la plus haute, je pose mes pieds sur la troisième et je me redresse lentement. Cela me prends beaucoup de temps à chaque fois.
A 18h30, j'ai terminé les chambre, je me dirige vers la buanderie, il y a deux grandes fenêtres, alors que je vais commencer, Amanda monte et me dit:

- Tu n'as pas encore fini ? Je vais devoir faire monter quelqu'un pour choisir des tenues, elle ne doit pas te voir, tu vas entrer ici.

Elle ouvre une porte, c'est un petit placard peu profond, c'est très étroit, je vas être coincé.

- Avances là-dedans.

Allant vers un portant, elle revient avec plusieurs foulards. Un premier lui sert à me bâillonner, un deuxième immobilise mes mains et après m'avoir poussé dans le placard, elle se sert du troisième pour me plaquer face au mur, se servant de deux gros anneaux fixés au fond, enfin un quatrième placé au niveau de mes genoux finit de m'immobiliser.

- Et voilà, tu vois que tu rentres, et tu en plus tu ne bougeras pas ainsi attaché.

Elle ferme aussitôt la porte, me mettant dans le noir absolu. Cinq minutes plus tard, j'entends des voix. C'est alors que le téléphone sonne, je comprends que c'est Anna qui l'appelle.
Lorsque Anna arrive, elles sont encore à s'activer dans la pièce. Anna s'étonne de rencontrer la personne, qui se prénomme Isabelle, les trois filles entrent alors dans une longue discussion, et finalement Isabelle propose à Amanda et Anna d'aller diner ensemble. Elle se veut insistante, Amanda et Anna acceptent, Anna dit :

- Tu as rangé le matériel de nettoyage ? Il te convient ?

- Oui, répond Amanda, dans le placard.

- C'est très bien.

Elles descendent toutes trois et je les entends fermer le magasin et sortir. Me voilà dans une situation qui risque de durer une bonne partie de la soirée. J'essaye de bouger, mais suis bloqué de tous cotés, comme dans une caisse verticale.

Combien de temps s'est-il écoulé depuis leur départ, je n'en ai aucune idée. J'entends du bruit, elles reviennent, je vais être libéré. Ce qui est étrange, c'est que personne ne vient me voir, quelques instants plus tard ,j'entends couler l'eau, quelqu'un se douche, puis après plusieurs va-et-vient le calme s'installe. Amanda est revenue seule ? Au bout d'un moment je comprends que oui, et elle est allée se coucher, me laissant ainsi.

Mardi

Du bruit, celui-ci me réveille, quelqu'un entre dans la pièce. J'entends aussitôt la voix d'Amanda.

- Alors la bonne, on flemmarde, on ne m'a pas préparé le petit déjeuner, ce n'est pas bien, cela va se payer dit-elle en riant.

Amanda ouvre le placard et me détache du mur, elle me fait reculer dans la pièce, je suis courbaturé d'avoir passé beaucoup de temps enfermé.

- Je suis rentrée tard ,et n'ai pas eu envie de te délivrer hier au soir, ou plutôt ce matin...on a fait la java !!! Il est 07h, tu vas aller aux toilettes et ensuite on verra. Anna travaille toute la journée, aussi je vais m'occuper de toi.

Elle détache mes mains, m'enlève le bâillon et libère la fermeture de la robe.

- Allez déshabilles-toi entièrement, tu vas passer sous la douche d'abord.

Je m'exécute, je suis maintenant nu devant elle, elle me pousse vers la salle de bains.

- Allez, sous la douche et laves-toi entièrement.

J'ouvre l'eau, celle-ci est froide, j'hésite à entrer dessous;

- Cela va te faire du bien, l'eau froide n'a jamais tué personne, allez vas-y.

Elle saisit la douchette et m'arrose copieusement.

- Termines tout seul, essuies-toi et descends à la cuisine déjeuner, tu as ce qu'il faut sur la table. Profites-en prends des forces pour la journée. Je vais chercher ce qu'il faut pour t'habiller.

Alors que je termine mon déjeuner, Amanda redescend, portant une caisse en plastique contenant des vêtements. Elle commence à les disposer sur une chaise pendant que je range la table.

- Viens ici, mets toi devant moi de dos.

Elle prend quelque chose sur la chaise et la place sur mon torse, après m'avoir fait passer les bras dans des bretelles. C'est un corset ancien rigide, elle le plaque sur moi et rabat les pans dans mon dos. Plusieurs crochets lui permettent de le faire tenir, il me couvre le torse du dessous des bras au haut des cuisses. Plusieurs petits anneaux métalliques sont fixés au niveau de la taille ainsi que sur le bas. Les bonnets de la poitrine sont remplis de mousse en totalité.

- Je vais le lacer, cela va l'ajuster sur toi.

Commence alors un long exercice qui me met à rude épreuve, lentement mais surement, il me serre comme un carcan rigide, cela va durer un bon quart d'heure !!!

- Bon, ce n'est pas mal, je vais t'enfiler les bas, cela évitera qu'il ne remonte.

Elle prend une paire de bas gris, assez épais et me les enfile, puis attache les jarretelles, constituées de larges rubans élastiques, il y en a trois de chaque coté. Effectivement une fois en place, je ressent une tension forte qui colle encore plus le corset sur mes fesses. Amanda s'affaire alors sur les réglages jusqu'à ce que l'ensemble soit parfaitement tendu. Prenant ensuite dans un carton une paire de chaussures montantes, elle me les enfile, les attache et ferme les brides avec de petits cadenas.

- Marche un peu, pour voir, va jusqu'à la fenêtre, et reviens.

J'avoue que cela m'a excité et Amanda s'en aperçoit.

- Ben mon cochon, cela t'excite, je vais cacher tout ça.

Elle me tend une culotte ancienne, je l'enfile, elle arrive au dessus des genoux et comporte différents rubans qui permettent de l'ajuster. Amanda s'en charge rapidement. Suit ensuite la perruque, puis une robe paysanne couvre l'ensemble. Elle l'attache et l'ajuste à son tour.

- Voilà une belle fille du siècle passé, bon maintenant quelques contraintes, c'est évident.

Elle prend quatre bracelets de cuir, m'en place un à chaque poignet, puis soulevant ma jupe, elle en fixe un sur chaque jambe, juste au dessus du genou, coincé sous la jambe de la culotte. Les cadenas sont fermés sur leurs attaches. Un autre cadenas est positionné reliant les anneaux des bracelets des genoux, me laissant aucune marge. Elle rabat la robe, cachant l'ensemble.
Mes mains sont à leur tour liées l'une à l'autre dans mon dos.

- Pour le silence, cela devrait aller avec ça.

Amanda prend une balle fixée sur une courroie de cuir, me l'enfonce dans la bouche, celle-ci n'entre pas totalement, la courroie fixée derrière mon cou la maintient fermement.

- Eh bien te voilà équipé, je vais aller ouvrir la boutique maintenant, passe dans le couloir.

Elle me fait avancer jusqu'à la boutique et me pousse dans une cabine d'essayage. Elle tire le rideau devant moi, il y a une chaise de bois, elle me fait asseoir dessus, les bras passés derrière le dossier, ensuite elle prend un gros rouleau d'adhésif et en quelques secondes, me lie à la chaise. Elle termine en me mettant un bandeau me masquant totalement la vue.

- Bon, maintenant je t'oublie jusqu'à la fermeture du magasin, ce sera ta punition.

C'est ainsi que je vais passer la deuxième journée de mes vacances !!! La radio annonce 12h30, plusieurs personnes sont venues à la boutique, certaines sont entrées dans la cabine voisine faire des essayages, sans soupçonner ma présence à coté. Amanda ferme le rideau et ouvre ma cabine.

- Alors tu ne t'es pas trop ennuyé ? Finalement, je vais te libérer, pour le déjeuner, bien que tu supportes bien cet état semble-t-il.

Elle coupe l'adhésif, me libère du bandeau et du bâillon, puis détache mes poignets.

- Lèves-toi, tu vas garder les genoux entravés, quand même. Allons à la cuisine.

Je me dirige vers la cuisine, Amanda m'autorise à passer par les toilettes, et je la retrouve dans la cuisine. Une salade complète est sur la table et j'avoue prendre un certain plaisir à la partager avec Amanda. Celle-ci en profite pour me faire parler et évoquer les différentes situations dans lesquelles j'ai été confrontées.

- Tu adores vraiment être attaché, dans toutes les situations !

Nous terminons le repas, je fais la vaisselle et range la cuisine. Amanda pendant ce temps est retournée au magasin. Elle m'appelle me demandant de la rejoindre. Je la retrouve au magasin.

- Mets-toi là devant, je vais prendre quelques mesures de toi.

Prenant un carnet et un mètre de couturière, la voilà qui me mesure de haut en bas. Me faisant coller mes bras le long des cuisses, elle mesure le tour de mon corps tous les vingt centimètres environ, puis mon tour de cou et même mon visage est ainsi traité.

- Bon, ce n'est pas tout, tu vas reprendre ta place comme ce matin.

Quelques minutes plus tard, je suis attaché à nouveau, bâillonné et les yeux bandés. Elle n'a pas regretté l'adhésif, cette fois, je ne peux rien bouger, la chaise étant poussée contre le mur, elle m'attache la tête bien raide aux porte manteaux situés au dessus de moi.

- J'espère que tu aimes cette petite attention supplémentaire ? Non ?

Elle referme la cabine et va ouvrir son magasin. Deux clientes sont devant la porte. L'après-midi se passe sans qu'elle vienne me voir, les infos de 19h sont commencées lorsque j'entends dans la boutique la voix d'Anna, elle est revenue et converse avec Amanda.

- Tu n'as pas eu de problème avec lui ?

- Non, je l'ai rangé toute la journée dans la cabine.

J'entends Anna ouvrir celle-ci et rire en me voyant.

- Il est chou habillé comme ça, je le détache pour le voir debout.

Quelques instants plus tard, je suis au milieu de la boutique, toujours menotté et bâillonné, mais sans le bandeau sur les yeux. Elles tournent autour de moi, et défroissent un peu ma tenue. Anna soulève la robe et s'extasie sur mes dessous.

- C'est très original, je peux le garder comme ça pour la soirée ?

Oui, pas de problème dit Amanda, je vais te préparer quelque chose pour demain, tu verras, cela devrait te convenir. Je te l'apporterai demain soir, en venant diner.

- Oui bien sur, nous serons chez Marc, il y a de l'espace chez lui. Allez, nous partons.

Amanda a mis les affaires que j'avais lorsque nous sommes arrivés dans un sac plastique et le donne à Anna. Celle-ci me pousse dehors, sans regarder si quelqu'un est dans la rue
et me fait m'installer dans la voiture. Nous partons et rentrons directement chez moi.

- Alors ça t'a plu cette journée ?

Ne pouvant parler, j'opine de la tête. Anna me fait entrer dans la maison et me pousse sur le canapé.

- Restes là pour le moment, je m'installe chez toi pour les deux jours à venir, comme ça, je vais bien m'occuper de toi...Au fait, j'ai eu Mireille au téléphone et je lui ai dit que tu étais reparti pour ton travail jusqu'à vendredi après-midi, on va être tranquille elle n'a aucune raison de venir ici !!!

Elle revient et me fait lever, puis me conduit à la cuisine. Prenant les clés des cadenas, elle détache mes poignets et m'enlève le bâillon, mais s'aperçoit qu'il lui manque la clé du cadenas qui relie mes jambes au niveau des genoux.

- Tant pis, je ne vais pas retourner chez Amanda, tu resteras comme cela jusqu'à demain matin.

Je suis chargé du repas et de la vaisselle, Anna s'est installée au salon et regarde un film à la télé. La vaisselle terminée, je reste à la cuisine attendant ses directives. Elles ne tardent pas, Anna me demande de lui apporter une tisane, je m'empresse de la préparer et porte le plateau au séjour. Je m'approche d'elle, elle fait comme si je n'étais pas là. Je reste près du fauteuil, debout, tenant le plateau devant moi, parfaitement immobile. Je vais rester ainsi un long moment, avant qu'elle ne m'autorise à le poser, puis faire le service.
A la fin du film, elle se manifeste.

- Que vais-je faire de toi cette nuit ? Vas à la salle de bains, je te laisse un quart d'heure de liberté.

Je me dirige vers l'escalier, avec les genoux entravés, il va me falloir cinq minutes pour accéder à l'étage. J'entends la voix d'Anna tout à coup :

- Enlèves ta robe et lance la moi

Je m'exécute, et me retrouve uniquement avec mes dessous.

- Montres-toi en haut de l'escalier.

J'obéis et me place en haut des marches.

- Tournes toi un peu que je te vois bien. Bien, vas à la salle de bains maintenant, et ensuite tu iras à la grande chambre du fond.

Je m'empresse d'aller à la salle de bains, et cinq minutes plus tard, je suis à la chambre au pied d'un des lits, attendant ma maitresse. Anna vient un moment plus tard.

- Donnes moi tes poignets.

Anna repose les bracelets et les cadenas et fait de même aux chevilles, ensuite elle m'enfile une cagoule ouverte aux narines et à la bouche. Je suis entièrement aveuglé, une fois lacée, elle boucle le collier et pose aussi un cadenas.

- Allonges toi sur le lit.

A tâtons, je m'allonge sur le lit, elle me guide pour me mettre au milieu, c'est un lit métallique de 0,90 m de large. Les cordes entrent en action et quelques instants plus tard ,je suis entièrement entravé y compris ma tête par l'anneau supérieur de la cagoule. Un bâillon anneau vient compléter l'ensemble.

- Bon, c'est bien comme ça, à demain.

J'entends Anna refermer la porte et m'abandonner pour la nuit.

Mercredi

Enfin du bruit, je suis réveillé depuis un moment et attends le bon vouloir de ma maitresse. Elle ouvre la porte, monte sur le lit, venant s'asseoir sur moi. Elle me caresse autant que faire se peut, autour de mon corset, s'attarde sur mes cuisses et mon bas ventre. Je réagis et elle s'en aperçoit, faisant glisser lentement ma vaste culotte vers le bas. Mon sexe dégagé, elle s'en empare, je deviens l'espace de quelques instants un objet dont elle joue à son gré.
Sans un mot elle me laisse un moment plus tard, je l'entends dans la salle de bains. Elle ne reviendra me détacher que longtemps après, me permettant à mon tour de faire mes ablutions partielles car toujours entravé. Je la rejoins dans la cuisine, après m'avoir permis de déjeuner, elle me passe un tablier et me confie les taches ménagères pendant qu'elle sort de son coté.

Elle ne reviendra qu'en fin d'après-midi, me libérant cette fois de mes entraves aux genoux, mais me laissant toujours avec mon corset et mes bas. J'ai droit à quelques minutes de répit, elle m'annonce la visite d'Amanda vers 19h00.

Vers 18h, elle décide de me préparer, elle me fait enfiler de longs gants de latex, puis, sur mes dessous une robe de latex noire, très courte, à manches longues. Elle la ferme, c'est ensuite les escarpins à hauts talons et pour terminer la cagoule assortie. Celle-ci n'a d'ouverture que les yeux et les narines, un petit gode incorporé me bâillonne et elle se ferme par un collier de caoutchouc bloqué par un cadenas. Une large ceinture de cuir dotée d'anneaux complète l'ensemble.

Ainsi équipé, elle me conduit sur le perron de la maison, me faisant m'arrêter sur la terrasse. Deux paires de menottes m'immobilisent, une corde lui sert à m'attacher par la ceinture contre l'un des piliers de l'entrée.

-Tu verras, Amanda sera satisfaite de te voir de loin.

Anna repart à l'intérieur, et ferme la porte. Je vais rester ainsi une demi-heure avant d'apercevoir la voiture d'Amanda s'arrêter devant le portail. Elle descend, vêtue d'un ensemble moulant noir. Anna qui l'a entendue sort sur le perron. Elles s'embrassent toutes les deux, et entrent refermant la porte. Amanda n'a jeté qu'un coup d'œil en passant sur moi, comme si je n'étais qu'un objet sur le perron.

La nuit est tombée, elles sortent de la maison, Anna s'est habillée de noir comme Amanda, sans un mot, après avoir fermé la porte à clé et tout éteint, elles se dirigent vers la voiture, montent et démarrent, me laissant dans ma situation. Ou sont-elles parties ? Vraisemblablement manger au restaurant.

Contrairement à mes hypothèses, elles reviennent environ une demi heure plus tard, riant toutes les deux. Elles sortent de la voiture un grand sac plastique. Que contient-il ? Mystère, elles le portent à l'intérieur de la maison. Anna vient sur la terrasse et me détache. Elles décident de s'occuper de moi, elles m'ôtent tout mon équipement, puis me mettent nu.

- Allez, tu as cinq minutes à la salle de bains.

Je m'exécute sachant que les cinq minutes allaient passer vite.
Je sors dans le couloir, Anna me prend par le bras, et m'entraine vers la chambre du fond.
Je suis conduit près du petit lit. Se mettant une de chaque coté de moi, elles sortent du sac quelque chose qu'elles déplient. Cela ressemble à un sac de forte toile gris foncé. Elles le positionnent devant moi et me font entrer dedans, une jambe après l'autre. Elles le déploient, il s'ajuste parfaitement à mon corps, l'épousant en totalité. Avant de me couvrir le tête, Anna me mets un bandeau sur les yeux qui m'aveugle.
Il n'y a qu'une ouverture au niveau de la bouche. L'ouverture du dos, par laquelle je suis entré, permet l'ajustement et la fermeture, des brides avec des anneaux sont réparties sur les cotés, ainsi qu'au niveau de la tête. Une fois bien positionné dans le sac, les bras le long du corps, des sangles intérieures leurs permettent de m'attacher dans le sac. Un quart d'heure plus tard, je suis prisonnier de celui-ci. Commence alors le laçage qui est effectué minutieusement, collant le sac totalement sur mon corps. Au passage, elles m'ont peloté plusieurs fois les fesses. J'entends Anna dire:

- C'est super, tu as merveilleusement travaillé pour faire quelque chose d'aussi ajusté.

Amanda lui réponds :

- Je suis d'autant plus satisfaite que cette toile est épaisse et opaque, on va d'abord le mettre sur le lit.

Je sens qu'elles me font me tourner et d'un coup basculer sur le lit, me tirant ensuite pour me mettre à plat ventre.

- Les anneaux de chaque coté, vont servir à le suspendre. Passe de l'autre coté et prends des cordes. Regardes, il y a une petite ouverture possible ici avec la fermeture éclair.

Je sens qu'elles s'activent, je comprends à ce moment là qu'elles m'attachent à la poutre se trouvant juste au dessus du lit, la chambre étant mansardée. Les cordes se tendent, reliant les anneaux à la poutre.

- Voilà c'est parfait dit Amanda, on va maintenant faire glisser le lit pour le dégager.

Je sens le lit partir d'un coup sur ses roulettes, et me retrouve suspendu dans le vide attaché à la poutre. Mon corps balance quelques instants.

- On va le laisser comme ça dit Anna, allons au restaurant

J'ai tout à coup l'impression d'entendre du bruit, quelle heure est-il ? Je me suis endormi, je n'en ai aucune idée, un nouveau bruit me fait comprendre qu'Anna est entrée dans la chambre, elle tire sur les cordes, ses mains caressent le sac, puis s'activent par dessous sur mon ventre, je comprends qu'elle ouvre la fermeture et sort mon sexe. En quelques instants, je suis bien réveillé et tendu au maximum. Des pincements, elle vient de mettre deux pinces sur mes bourses, d'autres suivent aussitôt. En quelques instants, elle en pose une bonne dizaine, je ne peux retenir un cri ce qui me vaut immédiatement la pose du bâillon anneau.

- On est un petit douillet, tu vas les garder cette nuit, puisque c'est comme ça.

J'entends Anna partir, la porte se ferme, je suis seul, complètement isolé dans mon carcan. Je finis par m'endormir.

Jeudi

Ce qui me réveille c'est de sentir le retrait des pinces, une à une, à chaque retrait je grimace, mes plaintes sont étouffées par le bâillon.

- Alors, on a bien dormi ?

Anna s'active sur ma verge encore endolorie. Ses mains sont gantées de caoutchouc, à chaque fois qu'elle sent que je ne vais plus résister, elle arrête son action, et la reprend un peu plus tard, c'est diabolique et frustrant. Elle finit par s'arrêter.

- Bon assez joué, il est 7h30, je vais être en retard pour les visites, mais avant, je vais te purger, tu dois en avoir besoin !

Je sens ses mains gantées qui introduisent ma verge dans un récipient.

- Allez vides-toi, cela évitera des problèmes.

Je me libère dans son récipient longuement, cela faisait un moment que j'avais envie, me demandant si j'allais me retenir longtemps. Une fois terminé, elle referme l'ouverture du sac.

- Je m'en vais, à plus tard.

La porte se referme, elle n'a donc pas l'intention de me détacher, et cela peut durer un certain temps !!!

Effectivement, le clocher a sonné midi lorsque j'entends la porte s'ouvrir. Le lit roule et me touche, Anna essaye de le remettre sous moi, une poussée plus forte et je me retrouve à nouveau à plat ventre sur le lit.

- Je vais te libérer progressivement.

Elle commence par défaire le laçage de ma tête jusqu'au milieu du dos, cela lui permet d'écarter les bords du sac et de dégager ma tête de celui-ci après m'avoir ôté le bâillon. Elle me laisse quelques secondes ainsi, puis m'ôte le bandeau. Répit de quelques instants car elle m'enfile à nouveau une cagoule de cuir qu'elle ajuste et entreprend de fermer. Une fois lacée elle y place deux petits cadenas qui la condamnent. Anna continue alors de me libérer du sac et m'en fait sortir entièrement, me prenant par la main, elle m'aide à me lever et me pousse hors de la chambre.

- Je te laisse un quart d'heure.

Un sandwich est posé sur le bord du lavabo ainsi qu'une serviette, je me précipite et mange de bon appétit. Je comprends aussi que j'aurais droit à un autre traitement à la sortie.
Je finis de m'essuyer lorsque la porte s'ouvre, Anna s'empare de la serviette et me dit:

- Allez, sors de là, retourne dans la chambre.

J'obéis et retourne dans la chambre, Anna me suit, elle m'équipe les poignets avec les bracelets de cuir, puis prend une corde la passe au-dessus d'une poutre et dans l'anneau du poignet gauche, tire montant mon bras au niveau de la tête, elle attache l'autre extrémité à ma cheville gauche. Avec une autre corde, elle fait pareil du coté droit.
Quelques instants plus tard, je suis entièrement écartelé , Anna replace alors le bandeau sur mes yeux et le bâillon anneau. Une dernière corde relie l'anneau supérieur de la cagoule aussi à la poutre.

- Bon, cela devrait aller.

J'entends Anna aller et venir pendant quelques instants, puis tout à coup le bruit d'un vaporisateur et je sens sur ma poitrine quelque chose de froid, je comprends aussitôt que c'est de la mousse, la main gantée d'Anna l'étale méthodiquement, puis le glissement du rasoir se fait sentir, elle a entrepris de me raser le corps.

- Les poils ne sont pas beaux sous tes dessous, aussi je vais arranger ça.

Elle agit méthodiquement, après le torse, c'est au tour des bras, puis des jambes, aucun endroit n'est épargné, elle a gardé mon ventre pour la fin. Le rasoir glisse partout, ne négligeant aucun endroit. Je suis en érection, elle rit.

- Je vais te rincer et calmer le feu du rasoir.

Elle me lave entièrement, usant d'un gant de toilette et m'essuie, puis me passe sur tout le corps une crème rafraichissante, terminant par le sexe, ce qui me laisse très tendu.

- Tu es parfaitement lisse maintenant.

Ses mains toujours gantées parcourent mon corps, évitant mon sexe toujours vertical.

- Je vais te rhabiller, cela devrait être plus sexy.

Elle me détache les bras, puis me remet le corset et le lace minutieusement. Je suis toujours relié à la poutre par ma cagoule ce qui m'oblige à ne pas bouger. Anna m'enfile alors un string de cuir, noué sur chaque cuisse, puis des bas aussitôt reliés par les jarretelles au corset, enfin les chaussures à talons qu'elle boucle à leur tour. Une robe complète ma tenue, c'est une sorte de fourreau fermé de haut en bas par un laçage dans le dos qui le colle au corps et le maintien sur moi. Pour terminer, les bracelets de mes poignets sont liés ensemble dans mon dos par un cadenas.

- Tu es beaucoup mieux, dit-elle en passant ses mains sur mes jambes, je te détache et tu vas me suivre.

Elle me fait descendre au rez de chaussée, et libère alors ma tête. Je me vois devant la glace ainsi habillé. La robe noire m'arrive à mi-mollets. Anna revient alors avec une cagoule de latex, celle-ci n'a que deux trous au niveau des narines, elle a aussi un masque complet en latex représentant un visage de femme, une perruque et un bâillon gode.

- Comme ça, tu ressembleras vraiment à une fille manga.

Elle me pose des écouteurs intra-auriculaires dans les oreilles, reliés à un petit boitier plat qu'elle coince, dans mon dos, sous le corset. Une musique relaxante est diffusée par ceux-ci me coupant du monde extérieur. Anna me pose le bâillon qu'elle attache fermement, m'enfile la cagoule qui colle à ma peau et m'aveugle totalement, puis je sens la pose du masque et de la perruque. Elle ajuste l'ensemble et me pose un large collier.

Nous sortons, quelques instant plus tard je suis installé dans la voiture; elle boucle la ceinture autour de moi. Ou allons-nous ? Anna démarre et roule un long moment. Je sens que la voiture s'arrête, j'essaye de me concentrer mais la musique est efficace et il m'est absolument impossible de me repérer. Je sens qu'on me prend par le bras, je descends craignant de tomber. Je me laisse guider, et fais quelques pas. Je manque de trébucher, mais on me retient. Nous entrons me semble-t-il dans un bâtiment. On me lâche, je n'ose bouger, attendant la suite. Rien ne se passe pendant un moment, la musique diffusée dans mes oreilles m'empêche de capter tout autre bruit.

A nouveau, une main prend mon bras et m'entraine, je sens que l'on place des bracelets autour de mes poignets, les menottes sont enlevées mais aussitôt mes bras sont tirés vers le haut et écartés. C'est ensuite au tour de mes chevilles, elles sont elles aussi équipées de bracelets et maintenues écartées par une barre rigide. J'essaye de bouger, mais impossible de faire quoi que ce soit, je suis écartelé maintenu au plafond et au sol. Quelques minutes plus tard, on m'enlève la robe, et on resserre mon corset. Deux mains parcourent mon corps minutieusement, ma verge me fait mal bloquée par le string, je sursaute, mes tétons sont tordus. Ou suis-je donc et qui se trouve autour de moi ?
Les mains continuent leurs actions, le string m'est enlevé et ma verge prise en main, c'est au tour de mes fesses d'être palpées, une main se positionne près de mon orifice anal et tout à coup un objet est présenté. Lentement mais fermement, il est introduit en moi. Après quelques mouvements, il est entièrement enfoncé, le plug butte contre mes fesses. Aussitôt, je sens qu'on le fixe profondément en moi, il est pourvu de lanières qui sont reliées aux anneaux du corset de part et d'autre de ma verge et dans le dos. Tout à coup une vibration me fait sursauter, le plug est activé, une main place le boitier de commande dans mon dos à coté de celui de mes écouteurs.
Des mains s'intéressent alors à mes bourses, après être tirées vers le bas, je sens un lien s'enrouler à leur base. Plusieurs tours sont ainsi faits, les faisant gonfler. Je sens alors qu'elles sont tirées vers le bas, le lien a, me semble-t-il, été attaché à la barre qui relie mes deux chevilles. Enfin la robe m'est remise et rattachée.

Plus personne n'a l'air de s'occuper de moi, je reste longtemps ainsi, le plug se manifestant de temps en temps avec plus ou moins d'activité.

Enfin un contact sur mes fesses, quelqu'un est là, on détache la barre qui relie mes chevilles et on la désolidarise de mes bourses. Ensuite ce sont mes poignets qui sont détachés mais aussitôt ramenés dans mon dos et menottés.
On me soutient par les bras de chaque coté, il y a au moins deux personnes dans la pièce. Je dois marcher quelques instants, seules mes chaussures me permettent de comprendre que nous sommes sortis du bâtiment, le sol est irrégulier, puis on me fait me pencher, je comprends alors que je suis près d'un véhicule dans lequel je suis installé et sanglé.

Quelques instants plus tard, ce dernier est en mouvement. Nous roulons un long moment avant que celui-ci ne s'arrête, je dois descendre guidé seulement cette fois par une seule personne. A nouveau je pénètre quelque part. Des mains dans mon dos arrêtent alors la musique me permettant de retrouver l'ouïe. La voix d'Anna me parvient alors.

- Alors as-tu apprécié ce petit séjour ? Nous sommes rentrés chez toi, il est 19h. Je vais te laisser quelques instants, essayes de savoir ou tu étais cet après-midi. J'ai quelques coups de téléphone à donner.

Il m'est impossible de savoir ou j'étais, aucun repère ne m'a permis de me repérer. Anna revient quelques instants plus tard.

- Je vais te laisser un moment pour aller à la salle de bains et je vais te donner à manger ensuite je te préparerai pour la soirée.

Elle me conduit à la salle de bains et me détache.

- Enlèves tout, et prends ta douche, je t'ai laissé de quoi manger sur la tablette. Je reviens dans une demi heure. Alors, sais-tu ou je t'ai amené ?

- Non maitresse dois-je avouer.

- Je t'ai amené à mon cabinet, mon associée a particulièrement apprécié, puisque c'est comme ça, je vais te soumettre à de nouvelles contraintes. A partir de cet instant il t'es interdit de dire le moindre mot sous peine de punition.

Nu et essuyé, elle me conduit à la chambre. Elle pose sur le lit un gros rouleau de film étirable et plusieurs rouleaux d'adhésif. Après m'avoir remis les bracelets de cuir, elle relie avec de courtes chaines les anneaux, une chaine passant devant moi et l'autre dans mon dos, ce qui fait que je ne peux rapprocher mes bras l'un vers l'autre.

- Mets toi près du lit et enfiles cette culotte de plastique.

Elle s'affaire alors autour de mon sexe, découpe le plastique, prends ma verge et la glisse dans quelque chose, une sorte de tube souple, puis elle referme le tout avec de l'adhésif bien hermétiquement.
Aussitôt elle commence à m'envelopper des épaules aux pieds, faisant plusieurs tours en superposant le film. Elle me fait asseoir sur le bord du lit et termine l'enveloppement de mes pieds. Prenant ensuite un premier rouleau d'adhésif, elle commence à lier mes pieds, puis les chevilles et remonte ainsi en faisant des anneaux espacés de cinq centimètres environ l'un de l'autre. Une fois terminé, elle repart et revient portant de grands sacs que l'on utilise pour mettre les déchets de jardin. Je dois mettre mes jambes dans l'un d'entre eux, elle le remonte et le fixe au niveau de ma taille, puis elle prend un deuxième, fait une ouverture dans le fond et me l'enfile sur le corps, faisant passer ma tête dans l'ouverture. Elle le relie au premier avec de l'adhésif. Anna reprend alors les rouleaux d'adhésif et cette fois m'emballe entièrement en commençant par les pieds, s'assurant bien que les bandes se recouvrent entièrement.
Un moment plus tard, je suis immobilisé, seule ma tête est encore libre. Elle va chercher une cagoule de latex percée seulement au niveau du nez et de la bouche, et dont le bas peut se cadenasser autour du cou. Elle me l'enfile, la ferme soigneusement et pose un petit cadenas. Je sens qu'elle termine l'enveloppement avec l'adhésif. Elle me bascule alors sur le lit, me positionne et serre autour de moi des sangles.

- Comme ça tu ne tomberas pas. Je te laisse, on m'attends pour la soirée. Au fait, je ne reviendrai que demain, je fais un remplacement à l'hôpital. J'ai branché ton sexe dans un tuyau, tu pourras uriner facilement. Mais pourquoi te donnerais-je des explications, tu n'es qu'un objet à ma disposition après tout.

C'est ainsi que commence un long abandon. Je ne mesure pas à cet instant qu'il va être même très long !!! Je finis par m'endormir.

Vendredi

Lorsque je me réveille, il m'est impossible de me repérer, quelle heure peut-il être ? Je n'entends aucun bruit, Anna est-elle là ? La seule certitude que j'ai est d'avoir bien dormi. J'attends le bon vouloir de ma maitresse. A plusieurs reprises, le téléphone sonne dans la maison. Je pense que plusieurs heures s'écoulent ainsi, je me soulage à deux reprises, je comprends pourquoi elle m'a " branché " un tuyau.
Enfin du bruit, est-ce Anna qui revient ? J'ai faim depuis longtemps quelle heure est-il ?

- Alors tu es toujours là ? J'ai failli t'oublier, ma collègue souhaite que je parte en week end avec elle. J'ai hésité, mais finalement j'ai accepté. Au fait, il est 18 heures, je vais te faire manger un peu, ou plutôt boire, ce sera plus simple ensuite j'irai la rejoindre, elle m'attend. J'appellerai Aline demain pour lui dire que tu es rentré.

Anna libère simplement le bas de mon visage et s'occupe de me nourrir. Elle me fait boire un bouillon lentement.

- Bon, tu pourras tenir comme ça jusqu'à demain

Je l'entend s'activer autour de moi, elle referme la cagoule et un bruit métallique me fait comprendre qu'elle a ressorti le carton contenant les chaines.

- Finalement, je vais reconstituer la cage de chaines dans laquelle je t'ai trouvé... Ce sera plus rigolo pour Aline.

Elle commence par m'enchainer des pieds à la tête, elle s'active, veillant à ce que les chaines m'enveloppent bien et soient bien tendues. Les nombreux " clics " des cadenas me font comprendre que les chaines sont reliées minutieusement les unes aux autres.

- J'ai ramené de nouveaux cadenas, comme cela, je n'ai pas eu à utiliser les maillons. Bon te voilà bien prisonnier, cela comblera tes fantasmes, deux jours et deux nuits entièrement attaché, c'est le top. Je vais partir, j'appellerai Aline demain, et lui dirai ou tu es. Cela lui laissera le plaisir de venir te libérer. Je laisse la clé de la cagoule bien en évidence, j'espère qu'elle la verra !!!

Anna s'en va en riant, qu'a-t-elle fait pour rire ainsi ? Je n'en ai aucune idée. Me voilà seul, pour au moins 24 heures, Aline travaille jusqu'à 18h le samedi, dans le meilleur des cas elle n'arrivera pas avant 19h.

Samedi

Dire comment j'ai passé la nuit qui suit et toutes ces heures de la journée du samedi est compliqué, j'ai dormi souvent et aussi essayé de bouger, mais en vain. Pourvu qu'Aline vienne !!!
Enfin du bruit, quelqu'un entre dans la maison.

- Ou es-tu ? Je viens te voir, Anna m'a appelée vers 17h me disant que tu étais rentré hier et que j'aurais une surprise.

Aline finit par entrer dans la chambre et je l'entend aussitôt s'exclamer.

- Mais c'est super, tu es emballé parfaitement, vraisemblablement depuis hier d'après ce que j'ai compris ? Ah oui, tu ne dois pas parler, c'est interdit.

Aline vient s'asseoir près de moi et commence à me toucher, tirant sur les chaines, s'assurant de leur efficacité. Elle passe ensuite ses mains sur mon visage, bloquant par moments ma respiration. Je l'entends rire tout à coup.

- Je viens de prendre connaissance de la lettre laissée par Anna, me racontant ta semaine. Elle est surprenante, jamais je me serais doutée de ce qu'elle a fait de toi. Elle est plus forte que moi dans ce domaine. J'ai deux nouvelles à t'annoncer, j'espère que tu vas apprécier... La première est que je n'ai pas les clés des cadenas, elles sont chez Anna, donc je devrais aller les chercher pour te libérer. La deuxième c'est que je suis, moi aussi, invitée, donc je vais te donner à manger comme elle l'a fait hier et que je reviendrai demain pour te libérer.

Mireille me nourrit et me fait boire, heureusement tout est liquide ou presque ce qui m'ôte toute envie de me soulager. Je l'entend s'activer, elle retire les sangles me maintenant sur le lit et entreprend de me retourner face au sommier. Quelques instants plus tard , utilisant des cordes, elle relie mes chaines du cou aux chevilles à la poutre dominant le lit. Tendant les cordes les unes après les autres, je suis soulevé et suspendu à quelques centimètres du sommier. Seule ma tête est libre et penche en avant. Cela ne dure pas, quelques tours de cordes et elle est fixée à l'horizontale. Elle déplace ensuite le lit sur le bord de la chambre.

- Te voilà mieux ainsi, tu peux te balancer si tu veux.

Elle me pousse sur le coté et me voilà en mouvement. Je sens qu'elle positionne le tuyau relié à ma verge.

- Comme ça cela va directement dans le récipient. Encore deux petites choses.

Que va-t-elle faire encore ? Tout à coup, elle pousse dans ma bouche le bâillon anneau et le fixe solidement derrière ma tête avant de refermer le bas de la cagoule.

Je sais que tu vas aimer, Anna a été gentille avec toi en ne te le mettant pas, mais moi, il faut bien que j'apporte un petit plus. Maintenant il reste un trou à boucher.

Aline s'appuie sur mes fesses, perce le plastique et m'enfonce un plug de bonne taille au plus profond de moi. Quelques tours d'adhésif et celui-ci est fixé fermement, me remplissant entièrement.

- Bon, assez joué, ce n'est pas tout, je dois y aller, sinon je vais être en retard et je ne voudrais pas me faire punir à mon tour... Passes une bonne soirée, une bonne nuit, et à demain.

Je l'entend rire, et partir.
Me voici reparti pour une longue, très longue séance.

Dimanche

Enfin du bruit, je réalise à ce moment là tout ce que j'ai enduré depuis vendredi soir.

- Alors tu es toujours là ?

La voix d'Aline résonne dans mes oreilles, ses mains me poussent et me font me balancer.

- Je vais te libérer de ta position, tu risques d'être un peu ankylosé. Enfin on verra bien, c'est toi qui l'a cherché non ? Depuis jeudi soir, ce n'est pas mal. Tu deviens patient.

Commence alors ma libération, progressivement je retrouve l'usage de mes membres. J'ai toujours la cagoule fermée sur la tête. Aline me fais me lever. Mes jambes tremblent un peu avant que je ne me stabilise. Je suis nu, seule ma verge est branchée et mon anus occupé par le plug.

Bon ce n'est pas mal dit Aline, je vais te laisser finir tout seul, la clé de la cagoule est à la salle de bains, tu la trouveras tout seul, ce sera là ta dernière punition de la semaine. Bonne soirée et à un de ces prochains jours.

J'entends Aline partir, lentement j'essaye de me repérer et gagne la salle de bains. Trouver la clé de la cagoule va me demander encore des efforts. Finalement je la trouve, à tâtons, cachée derrière la cuvette des WC. Cette dernière recherche m'aura demandé au moins une heure d'efforts.

Libre de tout, je passe sous la douche. Demain le travail reprend et va me conduire à Rome pendant quinze jours.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits bdsm divers
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 11:07

Part I : La prise de contrôle

 


 

 

 

Je me nomme Nathalie, 19 ans depuis peu, plutôt jolie et bien roulée, assez menue, et je travaille à cet emploi depuis environ un an. Depuis un peu plus de deux mois j’ai une nouvelle supérieure qui se nomme Chloé qui a 26 ans. Elle est plutôt ferme et dictatrice au travail mais semble une très bonne personne, assez que nous avons développé une bonne communication et une certaine amitié, prenant souvent le café ensemble et partageant le resto assez souvent le midi, allant même ensemble au 5 à 7 après le boulot certains jours.

 

Ce vendredi en fin de journée, elle m’invita à passé la journée du lendemain avec elle, un samedi de congé, me disant que nous passerions une journée entre filles tout en s’amusant. Je me levai donc ce samedi matin et me rendit chez elle. En arrivant elle me fit prendre place au salon sur un confortable fauteuil. Elle me dit que si jamais nous fêtons trop fort ce soir, elle a une chambre d’amie où je serai confortable pour la nuit.

 

Nous avons discuter un long moment de choses et d’autres, puis elle me demande avec un sourire si cela me tenterais de passé une journée dans de petits jeux de perversions, de petits jeux cochons et excitants. Je fut très surprise par cette question et un long silence interrompit notre discussion. Elle reprit la parole pour me dire allez ne me fais pas croire que tu n‘aime pas l’excitation.

 

Je répondis donc ok on peut mettre un peu de piquant dans notre journée, mais que propose tu?

 

Un peu de shopping pour commencer me répondit-elle en souriant, mais pas vêtue ainsi. Je la regardais avec pleins de questions dans les yeux et un air surpris sans dire un mot. Elle me dis alors déshabille toi et nous allons nous préparer pour allé marcher au centre commercial. Je te prêterai des vêtements plus appropriés ce n’est pas un problème comme nous portons la même taille à ce qu’il me semble.

 

En effet nous avons une silhouette similaire malgré qu’elle me dépasse d’environ 5 cm. Je me sentais hésitante à me dévêtir et elle semblais le ressentir. Sans dire un mot elle enleva la robe de chambre qu’elle portais à mon arrivée et me fais un signe de tête me proposant d’en faire autant. Elle ne portais absolument rien sous sa robe de chambre et donc elle étais maintenant entièrement nue. Elle étais habituée a me commander au travail alors elle me répète d’un ton plus autoritaire d’enlever mes vêtements à mon tour.

 

Je me levai et enlevai mon chandail et mon jeans, et je m’arrêtai là en croyant avoir terminé. Elle me regarda et me dit de tout enlever au complet, car pour ce premier petit jeu nous ne porterons aucun sous-vêtements. Je la regardai encore étonnée et hésitante, elle ne cessais de me regardé avec un air dans le regard qui me laissais comprendre qu’elle attendais que je m’exécute. Je repris donc où j’en étais rendu et j‘enlevai mon soutien gorge et ma culotte, non pas sans souffrir d’une gène atroce.

 

Elle me regarda et me dis allez viens suis moi maintenant, nous allons nous maquiller pour être bien présentable. Elle se dirigea vers sa chambre et je la suivi jusqu’à une commode de maquillage bien garnie. Elle me dit assied toi je vais te maquiller. J’étais encore très gênée d’être nue devant elle mais je commençais à m’y faire comme elle l’étais elle-même.

 

Le maquillage qu’elle m’a fait étais certes très féminin et efficace, mais à la fois je le trouvais osé et provocateur, même un brin trop, à presque avoir l’air d’une pute. Elle en fit autant sur elle-même et je dois dire qu’elle étais très jolie voir provocante avec ce maquillage audacieux. Elle se leva ensuite pour aller vers la garde robe et me sorti une courte jupe en satin d’un rose pâle et un chemisier assorti ressemblant un peu à un petit veston court et décolleté qu’elle déposa sur son lit. Elle sorti pour elle-même une courte jupe volante noir et une camisole de soie blanche à bretelles spaghetti. Elle me regarda alors d’un air vicieux et me dit « veux tu rendre notre marche plus agréable? » en souriant. Devant mon air ahurie elle repris en disant si tu n’a jamais essayer auparavant, la marche avec boules chinoises va te ravir tu verra, et pour en facilité l’insertion, nous allons nous faire une petite masturbation clitoridienne, pas trop, juste assez pour bien lubrifier.

 

J’ai faillit m’évanouir, je ne suis ni lesbienne ni exhibitionniste, et de surcroît, très pudique de nature. Devant mon évidente hésitation elle me dis viens t’asseoir en indienne avec moi sur le lit et laisse tes inhibitions, nous sommes déjà nue l’une devant l’autre depuis un bon moment, laisse ta gène derrière et active toi.

 

Malgré toute mon hésitation et mon grand étonnement, je m’exécutai. J‘avoue que tout cela commençais à m’exciter tant la perversion étais à mon sens intense, et je mouillai en très peu de temps. Elle me dit alors n’en fais pas trop arrête toi maintenant, et me tendant une paire de boules chinoises tout droit sorties de son tiroir, elle me dis insères les maintenant, et elle inséraient les siennes devant moi comme pour me montrer la marche à suivre.

 

Nous nous sommes habillées après, bien qu’habillée fusse un grand mot, car cette petite jupe si légère et si courte ne me procurais pas vraiment la sensation d’être vêtue, même que je la trouvais presque trop légère, ce qu’elle sembla deviner et me dit ne t’en fais pas elle n’est pas transparente regarde dans le miroir. Ce que je fis et rien ne semblais paraître.

 

Ce que je n’avais pas observé mais que d’autres ont dû faire, c‘est qu’à la lumière du soleil ce petit ensemble devenais plutôt translucide, mais elle se garda bien d’en faire mention. Nous avons donc été nous balader au centre commercial durant près de deux heures, marchant ici et là afin d’être vues et regardées. Les boules n’ont pas misent longtemps à m’excitée, je mouillais tout le long de notre marche et je le sentais très bien, mon corps devenais fébrile et pris d’excitation mêlé à la gène que cette situation me procurais.

 

De retour à son appartement, à peine entrée qu’elle me demande de lui rendre ses vêtements. Dans cet état et croyant qu’elle étais pressée de les rangés, je retirai les vêtements et lui rendis. Elle se déshabilla également sans perdre de temps. Elle me fixa avec un malin sourire et me dit tu en a envie n’es-ce pas?

 

Je laissai tombé mes inhibitions et répondis oui, comprenant qu’elle parlais de l’orgasme. Elle me dit installe toi à genou sur le divan, ouvre bien les cuisses, et attends moi un instant. Je me suis placée sur le divan et elle revint aussitôt avec un foulard à la main. Elle s’approcha de moi et me dit je vais te bander les yeux pour augmenté ton excitation et je veut que tu commence par bien te caressé les seins, puis le corps de plus en plus, jusqu’à te laissé allé totalement à te masturber le clito à fond, et finir par un intense orgasme libérateur, pendant que je te regarde. Je fut très surprise de la proposition, mais mon corps désirais cet orgasme et peu importe si elle me regardais après tout, nous sommes dans le même état d’esprit en ce moment me dis-je.

 

Je m’exécutai, et ma foi, je crois que je devenais salope dans mes gestes et j’en oubliais presque qu’elle me regardais. Je me caressais à fond, laissant mes mains parcourir tout mon corps, le faisant frissonné de partout, je me tortillais le bassin et les hanches sans retenu, et abouti sur mon clito qui étais au point d’ébulition comme rarement je l’avais été auparavant. Je finit par explosé dans un orgasme qui m’amenais au septième ciel.

 

Elle coupa son silence après mon orgasme et me dit prend ma main je te guide et je t’amène sur une chaise que j’ai placé devant toi. Portant encore le bandeau sur les yeux je ne savais pas trop a quoi m’attendre mais je me laissai guidée par elle et je m’assied sur la chaise. Elle me dit alors passe tes mains derrière toi en les passant au travers les barreaux de la chaise. Ma surprise fut énorme, elle me menotta les mains dans le dos derrière la chaise. Elle pris ensuite un de mes pieds et me fis écarté les jambes pour attaché ma cheville gauche à la patte de derrière de la chaise, et fis pareil à ma cheville droite.

 

Elle m’enleva ensuite le bandeau, et me posa une séries de questions. Tu a aimé ta marche n’es-ce pas? Avoue que tu a été très excitée ?

Tu n’a jamais été aussi excitée?

 

Elle me dit ensuite qu’as tu fais quand je t’ai dit de te dévêtir? Qu’a tu fais lorsque je t’ai dis de te masturber?

 

Elle me dit tu a écouter bien que rien ne te forçais petite, et tu sais, ce comportement est digne d’une petite esclave qui s’ignore le sais tu?

 

Je ne savais plus quoi dire j’étais rouge et confuse. Elle repris en me disant tu vois petite je te surveille depuis un bon moment au bureau, et à partir d’aujourd’hui, tu fera ma petite esclave et tu fera tout ce que je t’ordonnerai, et tu me remerciera pour les punitions que je t’infligerai lorsque tu hésitera avant d’obéir.

 

Là je dis non nous arrêtons tout de suite ce petit jeu et libère moi sur le champ. Elle me dis pour commencer je vais punir cette insolence petite. Elle sorti trois pinces à linges d’un tiroir de commode du salon et la voyant faire, je remarquai une caméra posée sur ce meuble que je n’avais pas remarqué plus tôt. Elle me pinça les bouts de seins avec chacun une pince. Je ne put retenir un cri de douleur et elle mit aussitôt sa main sur ma bouche en me disant tais toi tu me remerciera tout à l’heure pour ca. Pour le moment j’ai quelque chose à te montrer petite, et prenant la caméra pour la placé devant mes yeux, elle la démarra en me disant voici ce qui pourrais apparaître en dvd au bureau et distribuer sur le net. Regarde bien. Elle avais tout enregistré de ma prestation sur le divan. J’étais aux larmes, j’ai dis non s.v.p. ne fais jamais ça je t’en pris.

 

Elle me dis alors réponds correctement à la prochaine question ou sinon il me reste une troisième pince qui est destinée à ton joli clitoris encore sensible. Sera tu tout à fait soumise en tout et esclave de Mlle Chloé?

 

Mes mots ne sortaient plus de ma bouche j’étais bouche bée devant tout ça. Devant mon hésitation elle ne fit ni un ni deux et accrocha la pince à mon clitoris. Sa main m’empêcha de hurler. Elle me dit je vais te laissé mijotée quinze minutes et je reviens pour entendre ta réponse. J’espère que tu te souviendra des mots et que tu formulera très poliment ta réponse. Et elle alla vers la salle de bain où au bruit je compris qu’elle prit un bain.

 

Je me sentais prise au piège, moi qui n’avais jamais eu d’attirance pour les femmes, sexuellement parlant, j’avais cru tout ça qu’un petit jeu pervers sans plus, mais là je me retrouvais dans une fâcheuse condition, et mon corps en mauvais traitement. J’avais peur de devoir lui répondre cette phrase lourde de sens et lourde de conséquence, mais je ne voulais pas non plus que ce vidéo soit vu par personne.

 

À son retour elle ne dit aucun mot, mais me fixa droit dans les yeux, en attente d’une réponse. J’avais eu le temps de bien réfléchir et je m’avoua vaincue. Je lui dis les mots, je serai tout à fait soumise en tout et esclave de Mlle Chloé.

 

Elle me dit c’est très bien tu a fais le bon choix petite. Elle me dit comment sont tes bouts de seins maintenant petite esclave de Chloé? Je dis que c’est moins pire maintenant. Elle me dit Mlle Chloé, tu réponds c’est moins pire Mlle Chloé et tu me vouvoie maintenant et à l’avenir. Je dis bien Mlle Chloé, c’est moins pire maintenant Mlle Chloé. Elle me dit tu mens petite salope, c’est pas moins pire maintenant, c’est que ça t’excite maintenant.

Je dis alors oui Mlle Chloé cela m’excite maintenant. Elle dit alors et ton clito petite? Je dis cela excite également mon clito Mlle Chloé. Elle dit alors tu vois salope, tu a du plaisir grâce à ces pinces, alors remercie moi pour cette délicieuse et enivrante punition.

 

Je dis merci Mlle Chloé pour cette délicieuse et enivrante punition. Elle dit alors tu est dès maintenant ma petite pute et mon esclave ma chérie? Je dit oui Mlle Chloé je le suis. Elle me dit alors si je te détache maintenant tu ne t’enfuira pas et tu obéira?

Oui Mlle Chloé je jure de vous obéir attachée ou non, je suis votre petite pute et esclave Mlle Chloé.

 

Elle me testa alors et me détacha en me donnant l’ordre de marché à quatre pattes jusqu’à sa table de chevet et d’ouvrir le tiroir du haut et lui rapporter un large collier de cuir noir en le portant dans ma bouche. Je m’exécutai et rapportai le collier. Elle le pris de ma bouche et me dit de me dressée sur mes genoux. Elle me mis ce collier au cou et le serra fortement, pour ensuite lui ajouté un cadenas qui empêchais de désserré et détaché le collier. Elle me dit porte fièrement ce collier petite il est maintenant un signe apparant de ta soumission à mon endroit. Je répondis oui Mlle Chloé et merci. Elle me dis aussitôt lève toi maintenant et sort sur le balcon pour montré fièrement ton collier.

 

Je dis mais Mlle Chloé je suis nue et j’ai toutes ces pinces sur moi s.v.p. Mlle Chloé des gens peuvent me voir ainsi. Elle me dit alors sourit leurs et fais un gentil signe de main pour saluer, et tu reste dehors au bord de la rampe jusqu’à ce que je te rappelle. Compris ? oui Mlle Chloé compris. Je sorti honteuse et docile, et je me fis voir d’abord par le voisin de palier de Mlle Chloé assis sur son balcon, puis par un couple sur la rue. Le voisin engagea la conversation mais je ne répondis qu’un sourire et un signe de main comme me l’avais dis Mlle Chloé. Elle me laissa deux ou trois minutes à la vue de son voisin et des passants avant de venir elle-même sur le balcon me rejoindre, mais vêtue de sa robe de chambre. Elle regarda son voisin qui tentais encore de me faire discuter pour que je me place face à lui afin de bien me voir, et elle lui dit excuse la c’est ma nouvelle esclave et elle n’est pas encore bien dressée. Puis elle se tourna vers moi et me dit de dire à Monsieur que j’étais la nouvelle esclave de Mlle Chloé et que je suis encore mal dressée.

 

Je m’exécutai et ensuite nous avons rentrés toutes les deux. Elle me dis et les boules ça va petite? Oui Mlle Chloé elles sont encore bien en place. Elle me dis maintenant je vais mettre un peu de musique et tu va danser devant moi et bien faire bouger ton joli corps d’esclave. Je dansai selon ses ordres et elle m’encourageais et me disais soit plus salope allé tu a 19 ans et un très joli corps tu doit bien savoir danser.

 

Après quelques pièces elle me dis d’approché d’elle au divan. Elle étais assise et me voulais debout entre ses jambes, mains dans le dos et bien droite, jambes bien ouvertes. Elle m’enleva enfin les pinces des seins et se mit à les caressés, puis en rouler les bouts entre ses doigts en pinçant par moment. Elle dit oh oui tu adore ça petite, ça t’allume toi aussi les seins n’es-ce pas? Je dis oui Mlle Chloé j’adore. Elle continuais en glissant ses mains de haut en bas sur mon corps, allant de mes seins à mes cuisses, en passant par mon ventre, remontant ses mains entre mes cuisses pour frôler mon sexe en feu, en prenant bien soin de ne pas y toucher, et remontant rouler mes bouts encore un moment avant de refaire le manège.

 

Elle regarda ma fente et me dis oh oui tu est très juteuse petite salope tu adore le traitement. Tu en coule sur tes cuisses salope te rend tu compte? Je dis Mlle Chloé…je..m’excuse…cela m’excite en effet je ne peut le nier. Elle me dis tu sais que maintenant tout ton corps m’appartiens en entier. Oui Mlle Chloé tout mon corps vous appartient. Elle ajouta et tes orgasmes également petite salope. À partir d’aujourd’hui tu ne te masturbera plus sans ma permission, tu ne jouira plus sans ma permission, tu ne fera plus rien à ton corps sans que je t’en donne l’ordre. Es-ce clair petite? Oui Mlle Chloé c’est bien clair.

 

Maintenant petite je vais enlevé la pince de ton clito et te le masturber à fond, tu ne devra pas jouir et te laisser faire. Pour bien me montrer que tu a bien tout compris et que tu est consciente des règles, si tu te sent capable d’obéir, demande moi de retirer ta pince du clito et te le masturber à fond. Si tu le demande pas je comprendrai que tu ne te sent pas prête et que tu a peur de jouir sans permission, et cela restera pour cette fois sans conséquence, mais si tu le demande et que tu jouis sans ma permission, tu sera punie petite pute. À toi de voir maintenant.

 

J’hésitais un bon moment, la peur de jouir étais forte, mais le désir de me faire retirer cette pince l’étais tout autant, et de plus j’étais vraiment excitée par toutes ces caresses durant de longues minutes. Les mains bien dans le dos, les bouts durs comme du fer, mes jambes bien ouvertes offrant mon clito, je dis s.v.p. Mlle Chloé pourriez vous retirer la pince de mon clito et me masturber à fond?

 

Elle me sourit, s’approcha la bouche d’un de mes seins et me le suça et le mordilla, puis une main glissa sur mon ventre, et d’un coup sec tira sur la pince de mon clito pour la faire tombée. Je sursautai et lâchai un petit cri, et comme pour se faire pardonnée, Mlle Chloé glissa immédiatement après deux doigts sur mon clito et commença à le frotter dans tout les sens. Elle descendit ces doigts sur ma fente et en remonta du jus sur mon clito et se remis au travail. Elle alternais entre mouvements lents et rapides, en rond en ligne droite en huit, toutes les manières y passaient. Rapidement j’en étais toute haletante, respiration saccadée essoufflée, je me tortillais, faisant mine de vouloir rapproché mes cuisses et les fermés, mais un coup de dent plus agressif sur mon bout de sein me ramena à l’ordre. Elle comprenais que j’étais au bord de l’orgasme et laissant mon bout de sein une seconde, me dit endure encore petite et retiens toi, je sais où m’arrêter. Puis comme pour me laisser une chance de me contenir, elle me dis ah oui un instant j’oubliais, ca peut bien être facile à retenir, un instant je reviens, ne bouge pas d’un poil et garde le silence.

 

Elle me contourna pour ne pas que je bouge et se dirigea vers sa chambre. Elle rapporta un pénis en latex ou plastique je ne sais trop, et me le montra bien devant le visage, elle me dis tu vois je l’ai bien lubrifié pour qu’il glisse doucement en se faufilant dans ton joli derrière. Puis elle vis mon regard étonnée et craintive et elle dit oh est tu vierge du cul petite pute? Oui Mlle Chloé je le jure j’ai toujours eu peur de cela et s.v.p je demande que vous ne mettiez pas ceci en moi s.v.p Mlle Chloééé.

 

Elle eut un sourire malin et ne dit rien, puis se dirigea derrière moi. D’une main elle écarta mes fesses et me dit détend toi et ne bouge pas, laisse entrer le joli jouet et ne dit rien de plus. Elle pointa le bout de l’objet sur mon anus et poussa mon entrée, gardant une pression constante dessus. L’objet ne rentrais pas mais je senti mon anus s’ouvrir légèrement sous la pression. Elle augmenta alors sa pression et mon anus ouvri encore plus. Elle garda sa pression constante et laissa mon anus se dilater et s’ouvrir pour laissé entrer l’objet. L’objet entra, ouff, quelle bizarre de sensation, elle poussa encore un peu et me dis tu vois le gland est entré, puis retira un peu l’objet, pour le repousser encore, elle redit tu sent bien le gland ma chérie? Je dis oui je crois Mlle Chloé. Elle sorti alors l’objet complètement, je fut soulagée pour un bref instant, car elle le repoussa aussitôt à l’intérieur de moi.

 

Elle me dit de lui dire quand le gland serais en dedans. Je lui dit au moment où j’ai cru que c’étais ça, puis elle le retira et recommença, et me dit alors voilà tu reconnais bien le gland, maintenant entrons tout ce joli jouet tout au fond jusqu’à ce que les couilles l’empêche d’allé plus loin. Je cru défaillir. Elle le poussa lentement mais sûrement tout au fond de moi , il devait bien faire un bon 22 cm ou plus. Elle revint s’installer devant moi et me dit de la remercier pour ce cadeau qu’elle me fait. Merci Mlle Chloé pour ce délicieux cadeau que vous me faites. Elle me repris aussitôt un sein de sa bouche et un autre de sa main, et repris également ma masturbation. Le bref repos n’avais pas permis à mon clito de se désensibilisé. Je me tortillais encore plus fort sous ses caresses et elle m’ordonna de bien me tenir et d’avancé un peu plus mon bassin pour bien lui offrir mon clito. Cela me serrais un peu plus les fesses qui tenais encore plus fort ce jouet bien enfoncé en moi, et provoquais des spasmes de mon anus sur ce jouet. Je râlais maintenant comme une pute en chaleur sous les caresses intense et experte de Mlle Chloé sur mon clito excité à fond. Elle sentit que j’allais explosé et elle s’arrêta un instant. Elle me dit tu n’a jamais été autant excitée n’es-ce pas ma pute? Je dis non Mlle Chloé jamais j’ai été excitée aussi intensément. Elle me dit de lui dire que je suis une bonne pute, je dis oui Mlle Chloé je suis une bonne pute à votre service. Et elle repris la masturbation sans perdre de son ardeur, après ce 30 secondes de répis.

 

Elle s’amusa à arrêter et reprendre durant une bonne demi heure, me faisant coulée comme une vraie salope, mes cuisses pleines de jus coulant en bas des genoux, je n’en revenais pas. Puis elle me dit c’est assez pour le moment, nous reprendrons un peu plus tard. Place toi à genou par terre entre mes jambes. Elle ouvrit sa robe de chambre et me dit regarde salope comment tu a excitée ta Maîtresse, je coule presque autant que toi, approche ta bouche et mange moi petite pute, fais moi jouir j’en meurt d’envie, et je crois que ce ne sera pas qu’une seule fois.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits Maitresse Soumise
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 11:07

Part II : La servitude

 


J’étais frustrée, haletante d’excitation, devant resté sur ma faim d’un orgasme, ces boules chinoises encore en moi, ce pénis bien enfoncé dans mon cul, aux ordres de ma toute nouvelle Maîtresse.

 

Je m’agenouilla pour obéir aux ordres, et dans ma tête je voyais ce moment arrivé, moi qui n’a jamais eu d’expérience lesbienne, j’étais là devant la chatte bien ouverte de Mlle Chloé, et j’hésitais à m’approché d’avantage.

 

Mlle Chloé détecta sur le champ cette hésitation et sans rien dire se releva et alla dans sa chambre. Elle reviens avec de nouvelles pinces. Elle me dis petite pute tu doit vraiment comprendre vite que tu existe maintenant pour satisfaire ta Maîtresse et même souffrir pour son plaisir, en commençant par subir le fait que tu n’aura d’orgasme que si je le permet.

 

Tu doit comprendre que ton excitation et ta servitude son pour moi un plaisir et tu doit apprendre même à désirer cette souffrance pour moi et être prête à vivre sans jouir aussi longtemps que ca me fera plaisir de te gardé ainsi.

 

Sur ces mots, elle pinça mon clito avec une pince, laquelle avais une petite chaine de quelques centimètres accrochée après, et une boule en métal faisant office de poid au bout de la chaine. Elle me dis qu’en marchant ou en me tenant de sorte à ce que le poid puisse librement gigoté, cela fera du bien à mon clitoris désireux d’excitation.

 

Puis elle plaça des pinces un peu différentes à mes bouts de seins, lesquelles avaient également des poid mais de forme plus allongés et plus lourd. Elle me dis de m’habituée vite à ca car je devrai dorénavant porté ca très régulièrement.

 

Elle se replaça ensuite sur le divan, chatte bien offerte. Dans ma tête je ressentais la peur de devoir lèché cette chatte, mais avec mon état d’excitation, je regardais cette fente qui luisais de jus, et au fond de moi je commencais à la trouvé belle. En m’approchant c’est son clito prohéminent qui m’a sauté aux yeux, il étais très ressorti et très gonflé.

 

Je passais vite par dessus ma peur de gouté cette femme et je mis ma langue sur cette fente juteuse. Je me surpris à aimer son goût, et j’ai commencé à la lèché au début légèrement, puis plus gouluement. À ce moment, j’ai commencé à ressentir un vrai désir de lui faire plaisir, de servir, de faire de mon mieux.

 

Elle a senti ma maladresse et mon inexpérience en terme de chatte, et elle me disais comment m’y prendre pour lui faire les plus grands plaisirs, elle me guidais pour que j’apprenne à bien l’exciter et la faire jouir. Je me sentais de plus en plus désireuse de bien faire mon travail et j’y prenais goût à ma grande surprise.

 

Mlle Chloé me dis de bougé mon bassin tout en la dévorant pour faire gigoté les poids et me faire du bien. Je m’exécutai sans hésité et j’y prenais du plaisir. Je me sentais de plus en plus esclave et jouet, et je commencais sérieusement à aimer mon nouveau rôle. Par contre dans ma tête je n’arrêtais pas de penser que dorénavant je n’ai plus le droit de jouir et je ne cessais de me demander combien de temps je devrai passé sans orgasme, tout en subissant toutes les perversions et les supplices qu’elle me faisait subir.

 

Je finit par réussir à faire jouir Mlle Chloé, et je me surpris à en être fière et contente. Mlle Chloé mis aussitôt sa main derrière ma tête pour me tenir en place tout en m’indiquant de continué. Elle gémissais de plus en plus et sa douce voix un peu rauque en gémissant m’excitais, j’aimais l’entendre râler de plaisir. Je me sentais devenir de plus en plus salope et je la dévorais comme une vraie gouine pour lui démontré que je désirais son plaisir.

 

Sans qu’elle me le demande, tout en continuant de la dévoré, j’ai monté mes deux mains vers ses seins et j’ai roulé ses bouts de mes doigts. Mlle Chloé me traita de salope en gémissant et me dis c’est ca ma belle, je te veut ultra salope et super soumise, continu tu est en bonne voie.

 

Je l’ai fais jouir trois fois d’affilées et je lui ai fais mon plus beau sourire quand elle m’a relevé la tête pour m’arrêté. Elle s’est redressée pour s’approché de ma bouche et m’a frenché d’un long baiser chaud et langoureux, le genre de baiser que l’on donne quand on veut démontré combien on est amoureux.

 

Mlle Chloé m’a félicité et m’a dis que je commencais à bien rentré dans mon rôle, mais que ce n’étais pas encore assez, que j’avais encore à franchir des étapes et que bientôt je m’abandonnerais beaucoup plus intensément et sincèrement.

 

Mlle Chloé m’a dis que j’en viendrais très vite à désiré vraiment de toute mes forces les supplices qu’elle me fera vivre et que j’en demanderai par moi même tellement je lui serai soumise et adorerai me sentir son esclave, son jouet, sa poupée de sexe.

 

Puis elle me dis de me mettre debout dos à elle et penchée vers l’avant. Elle me dis ton joli cul doit être bien habitué à la présence du jouet maintenant, on va lui faire gouté le plaisir du mouvement un peu n’est-ce pas petite pute? Oui Mlle Chloé dis-je, en ayant peur de ce mouvement, mais en me sentant docile et prête à servir Mlle Chloé de mon mieux.

 

Elle saisi l’engin et me le retira entièrement. Elle le lubrifia de nouveau en étant très généreuse et me l’inséra à nouveau, sans trop prendre de temps pour le remettre au fond. Elle me dis c’est bon de le sentir entrer et sortir en glissant bien n’est-ce pas petite chérie? Oui Mlle Chloé je l’avoue j’ai senti du plaisir encore plus à l’insertion.

 

Puis elle alla voir sur le balcon et revint. Elle me dis il n’y a pas trop de gens sur la rue et le voisin est encore sur son balcon. Elle m’a dis est tu prête à me prouvé ta servitude petite pute? J’ai dis oui Mlle Chloé je désire vous servir et bien vous obéir et surtout vous faire plaisir Mlle Chloé.

 

Elle me dis va sur le balcon, dis bonjour au monsieur avec ton plus beau sourire. Tu lui dira que pour ton dressage Mlle Chloé lui demande si ca le dérange si sa salope viens ramoner son cul sur le balcon bien à la vue de son voisin.

 

Ouff je me sentais hyper gênée et honteuse, mais à la fois prête à servir Mlle Chloé. Puis elle m’a dis tu a jamais jouis de ton cul ca sera peut-être un peu dur à sentir, mais je veut que tu t’arrête si tu sent un orgasme venir c’est compris? Oui Mlle Chloé je vais tenter de bien me sentir et de m’arrêté. Très bien alors tu arrête 30 secondes et tu reprend. Va salope!

 

Je sorti donc sur le balcon et fit ce que j’avais à faire en salope docile. Gênée très intensément, je me placai de sorte à être au plus près possible du voisin, mes fesses bien montrées à lui. Je sentais son regard et j’entendais sa respiration plus forte. Il me lancais aussi quelques commentaires, belle salope, sacré cul d’enfer, jolie chienne. Après quelques instants, je me surpris à me sentir bien malgré tout, et même une certaine excitation au fait que je me donnais en spectacle ainsi.

J’ai senti un orgasme arrivé et j’avais un fort désir de continuer dans mon élan, car j’appréciais de plus en plus ce jouet en moi, mais je me suis résigné à arrêter 30 secondes. Sans même y avoir pensé au préalable et dans un élan de salope, moi pudique et gênée en temps normal, je me tournai face au monsieur durant ce 30 secondes et lui demandai si le spectacle étais agréable avec un sourire narquois.

 

Mlle Chloé qui m’observais depuis le cadre de porte patio du balcon se mis à rire. Tu joue la provocante petite pute, tu entre bien dans ton rôle, je constate avec fierté. Puis je repris ma position et repris le va et viens dans mon cul. Mlle Chloé me regardais avec une grande fierté et me dis avoue que tu te sent déjà super bien dans ton rôle d’esclave et que ca te plais beaucoup plus que tu aurais pensé petite salope.

 

Vous avez raison Mlle Chloé, je ne me suis jamais vu en esclave sexuelle ni même ressenti une attirance face à ca, mais vous me faite découvrir et je sent qu’au fond de moi j’adore ca Mlle Chloé, malgré que je ne sais pas encore tout ce qui va m’arrivé. Elle dis moi je l’ai détecté dans ton comportement et ton attitude petite salope, tu étais soumise sans t’en apercevoir, et je vais te mener loin dans la servitude crois moi.

 

Puis j’ai du cessé encore pour un 30 secondes et là Mlle Chloé me dis tu sais tout se paye, et ta petite provocation de tout à l’heure tu va la payer. Elle me dis demande au monsieur si il n’aurais pas quelques minutes de libre pour venir te ramoner lui même à l’intérieur, et dis lui que si il t’accorde ce plaisir, tu le remerciera par une superbe fellation si il le désire.

 

Oui Mlle Chloé. Et j’ai dis au monsieur, malgré qu’il avais tout bien entendu de la bouche de Mlle Chloé. Le monsieur ne refusa pas et il entra dans l’appart de Mlle Chloé qui l’invita à s’assoir sur le divan. Mlle Chloé me dis demande au monsieur dans quelle position il te veut pour te ramoner et place toi. Elle a dis tu lui demandera gentiment d’arrêter 30 secondes lorsque tu aura trop envie de jouir et tu lui demandera toi même de reprendre après.

 

Il me dis de placé mes genoux sur ses genoux à lui et me tenir avec mes mains par terre. Mlle Chloé s’assis proche de lui, encore nue, et du sol par dessous mon bras, j’ai pu voir Mlle Chloé qui a pris la main du monsieur et la posé sur sa chatte. Elle se faisais masturbé pendant que monsieur me ramonais mon cul.

 

Il y allais non seulement de mouvement de va et viens, mais aussi en torsade et de gauche à droite de bas en haut, tournant le jouet de tous les sens et fouillant toutes mes parois. Je me mordillais les lèvres et me tortillais le bassin tellement c’étais délicieux et jouissif, j’avais du mal à me contenir mais je m’efforcais de tenir le plus longtemps possible avant d’oser demandé un arrêt.

 

Dans cette position, je sentais mon jus me coulé sur le ventre et en venir entre mes seins tellement je coulais comme une pute. J’avais crainte de jouir et j’adorais sa façon de me ramoner le cul. Je me sentais bien et malgré ma gêne, j’étais heureuse de vivre ce moment. Je me sentais de plus en plus chienne, poupée, salope, pute, et je me surprenais à m’en sentir fière. Je me disais dans ma tête mais quelle expérience ouff, moi qui n’avais jamais rien fais avec une femme et j’ai dévoré Maîtresse, moi qui n’a jamais voulu être enculée avant et là je n’ai même plus envie que ca finisse, salope que je suis.

 

J’ai du me résigné à demander plusieurs temps d’arrêt, puisque Mlle Chloé à insisté auprès du monsieur pour qu’il fasse duré le plaisir. Mlle Chloé ne s’est pas privé de jouir encore 2 fois par la masturbation du monsieur, et curieusement, j’étais très contente pour elle, bien que j’en étais jalouse.

 

Puis le temps est venu, Mlle Chloé avais déjà sorti la queue du monsieur et le masturbais doucement. Lorsque j’ai apercu l’engin pour la première fois, ouff ca m’a fais peur. Tout ca dans ma bouche me disais-je. Ca devais faire autant que ce que j’avais dans mon cul, un bon 22 cm, et d’une généreuse circonférence.

 

Cette fois le monsieur m’a demandé de me mettre à 4 pattes sur le divan de côté à lui, et de relevé une patte sur le dossier du divan, et j’ai vite compris pourquoi. Je me suis mise à le sucer en bonne salope, et lui a tiré sur la pince de mon clito pour l’enlevé, et s’est mis à me masturbé mon bijou fragile.

 

Mlle Chloé m’a dis de bien m’appliqué à la tâche et m’a rappelé qu’elle ne m’a encore donné aucune permission de jouir. Nous avons conservé la position durant un bon 5 minutes, puis le monsieur a pris ma patte relevé et l’a attiré vers lui, puis m’a pris l’autre patte jusqu’à me placé complètement à l’envers, ma fente sur sa bouche, mes pattes en l’air au mur, me tenant avec mes mains sur le bord du divan pour continué à le sucer.

Il me dévorais gouluement le clito, me lèchais la fente du cul au clito, me placant à sa guise en me tenant fermement les hanches. Avec sa grande force il me déplacais à sa guise comme il l’aurais fais avec une poupée de chiffon. Je me sentais vraiment une poupée entre ses mains. J’ai du demandé une pause car j’allais jouir, et elle fut très courte, il repris de plus belle après à peine 10 secondes.

 

Puis il a jouis dans ma bouche, je me suis senti innondée, une quantité énorme de sperme a gicler dont le premier jet qui s’est enfoncé au fond de ma bouche et que j’ai avalé sans même en faire l’effort tellement la pression étais forte. J’avais la bouche pleine et j’ai du faire l’effort de bien gardé mes lèvres serrés sur sa queue pour ne rien laissé échappé, et en quelques coups, j’ai tout avalé cette énorme portion de sperme.

 

Il m’a enfin laissé descendre par terre, et Mlle Chloé m’a dis de demandé au monsieur de bien vouloir remettre la pince en place sur mon clito, ce qu’il a fais avec grand plaisir. Mlle Chloé m’a dis de bien remercié le monsieur pour le temps qu’il m’a consacré et lui dire que ca été un honneur de le servir.

 

Puis le monsieur nous a quitter, non parce qu’il ne voulais pas resté, mais parce que Mlle Chloé lui a laissé savoir que ca serais tout pour le moment, mais qu’il n’est pas impossible qu’elle lui demande des services dans le futur.

 

Une fois la porte refermée, j’étais debout après avoir raccompagné notre invité à la porte, et Mlle Chloé vint s’installé devant moi, sur un genou. Elle me dis regarde comment tu est luisante de jus petite salope, tu a bien coulé, puis elle approcha sa bouche de ma fente et la lècha lentement, et remonta jusqu’au milieu de mes seins où le jus s’étais rendu.

 

Puis debout face à moi, elle me dis en fait petite pute tu commence a prendre plaisir a subir de l’intense excitation dans la retenue, tu constate que tu adore être excitée au plus haut point, et que même le fait d’être interdite de jouir t’excite. J’avoue Mlle Chloé que je ressent quelque chose que je n’avais jamais ressenti auparavant, que je trouve cruel de ne pas pouvoir jouir, mais drolement excitant.

 

Elle dis je sais je sais petite, je connais bien les soumises j’en ai eu avant toi. Tu te sent prisonnière et contrôlée, et ce fait t’excite au plus haut point, même si tu n’a jamais aspiré à ca, tu retire du plaisir a ressentir ce sentiment d’être prisonnière et tu constate que tu adore être entièrement contrôlée. Oui Mlle Chloé vous m’enlevez les mots de la bouche, je n’aurais pas su décrire mieux mes sentiments Mlle Chloé.

 

Puis elle dis bon maintenant l’heure du dîner approche, mais nous avons des choses à faire avant. Elle me dis suis moi et m’amena à sa chambre. Elle me dis tu peut retirer les pinces pendant qu’elle fouillais sa garde robe. Elle déposa des vêtements sur son lit et revint vers moi. Elle me retira ce gros collier qu’elle m’avais mis pour m’en mettre un nouveau, moins large, plus décoré, mais tout aussi serré.

 

Elle me dis celui ci sera ton collier permanent petite et tu le portera jour et nuit. Elle a dis je te ferai gravé ta médaille de chienne où sera écris ‘Je suis Nathalie, Chienne de Mlle Chloé, si je me perd veuillez me ramené chez ma Maîtresse’. Et à l’endos dit-elle sera gravé mon adresse. Tu portera cette médaille pour toutes les occasions que je te dirai. Par contre au travail ou chez ta famille je te laisserai porté une médaille vierge, simplement décorative, pour ne pas dévoiler à tous ton statut.

 

Je dis ouff Mlle Chloé cela est sévère. Elle me gifla aussitôt et me dis ose tu me dire insolente que tu ne sera pas fière de porté la marque de ta Maîtresse sur toi? Non non Mlle Chloé, je serai honorée, c’est juste que je ne suis pas habituée et je ressent une gêne à m’affichée ainsi. Elle me dis ca va je sais que ca fais déjà beaucoup en si peu de temps, et que tout ca est nouveau pour toi, mais tu me remerciera plus tard d’avoir été ferme dès ton premier dressage.

 

Elle me dis la journée est encore loin d’être terminée petite et tu a encore beaucoup de leçon à recevoir, je ne t’ai même pas punie une fois encore, mais tu le sera bien assez tôt. Elle me montra une médaille plaquée or, hexagonale et d’environ 7 cm de diamètre, et me dis celle ci est vierge mais pareille à celle qui t’identifiera, et elle me mis cette médaille.

 

Puis elle me dis penche toi et me retira le jouet de mon cul, pour m’inséré un bouchon qui étais moins long que le jouet, mais dont une partie au centre étais beaucoup plus grosse en circonférence. Ce fut plus difficile d’entré cette partie mais après ca redevenais plus petit et plus confortable. Elle me retira ensuite les boules chinoises, qu’elle me fit lèché, et m’inséra dans la chatte un oeuf vibrant, dont elle m’a expliqué qu’il est commander à distance.

 

Elle me fit enfiler des bas résille et un porte jaretelle, puis une courte jupe noir. Cette jupe n’avais pas de côté, entièrement ouverte sur les deux côtés, sur mes hanches que la ceinture et ca se terminais là. La distance ouverte étais d’environ 5 cm à la hauteur des hanches, ce qui laissais très bien voir que je ne portais pas de culotte. Elle me mis la jupe très haut sur les hanches pour qu’elle soit la plus courte possible, et je sentais que ca ne cachais qu’à peine le galbe de mes fesses.

 

Mlle Chloé se pencha ensuite à mes pieds et m’installa une chaine décorative à gros maillons à la cheville gauche, et referma la chaine avec un petit cadenas décoratif, et fit pareil à ma cheville droite. Elle se releva et me regarda, puis dis humm oui c’est très joli et très voyant, ca affiche bien ton statut d’esclave. Puis pour le haut, elle me fit mettre une légère blouse blanche, plutôt transparente, qu’elle noua sous les seins, sans rien attaché de plus.

 

Elle s’éloigna un peu de moi pour avoir du recul et me regarda à nouveau de haut en bas et de bas en haut, puis elle dis oui, c’est parfait, ca te donne l’air joliment pute, tu te fera bien remarquée au resto. Dans ma tête j’ai fait un gros oufff que je n’ai pas oser exprimé par ma bouche. Je me disais mais que va penser le monde de moi, je le sais que je doit avoir l’air d’une pute ainsi vêtue et j’ai peur du moment où je serai en public.

 

Je me disais voilà encore une leçon que je doit apprendre semble t’il, m’habituée à être ainsi affichée pour le plaisir de ma Maîtresse, démontrer clairement que je suis sa pute et son esclave, sa chienne, ouff que ce mot commence a raisonner souvent dans ma tête, chienne, chienne, j’avoue que par moment je me sent devenir de plus en plus chienne, et que le terme commence presque à me plaire.

 

Mlle Chloé fit comme entrer dans mon esprit et mon état d’âme à ce moment précis, comme si elle devinais mes pensées secrètes, et me dis te sent tu une belle petite chienne ainsi vêtue ma chérie? Oui Mlle Chloé c’est exactement ce que j’avais à l’esprit en ce moment même. Puis elle repris en me disant et tu te sent fière de t’affichée en chienne pour ta Maîtresse petite pute? Je sent déjà la gêne de me montré ainsi en public Mlle Chloé, mais à la fois je sais que je vais le faire et que je vous ferai plaisir Maîtresse, et j’apprendrai à surmonter ma gêne et à être dévouée et fière de vous servir Mlle Chloé.

 

Mlle Chloé dis ma foie je suis même surprise de ta dévotion et de la vitesse à laquelle tu progresse et que tu entre dans ton nouveau rôle, ce qui prouve que je t’avais très bien cernée et que tu est une petite chienne qui s’ignorais. Je crois que vous avez bien raison Mlle Chloé, j’étais une petite chienne sans le savoir, et malgré que j’ignore encore toutes les surprises qui m’attendent encore, je vous avoue que ce matin j’aurais vite tourner les talons au début, mais là je ne regrette absolument rien de mon expérience.

 

Elle me souris et m’offra un gros calin, et m’offra aussitôt un énorme french, que je dégustais, comme si je sentais une récompense dans ce french, comme si je le désirais très fort. Moi qui n’étais pas du tout gouine, j’appréciais sa délicieuse façon de me frenché comme aucun homme ne m’avais fais ressentir, j’en devenais à le désirer et avoir hâte au prochain.

Puis elle s’habilla comme elle l’avais fait le matin, en me disant que nous allons d’abord passer chez moi. Elle me dis pour ne rien perdre nous récupérerons le contenu de ton frigo, et nous verrons ce qu’il y a de correct à ramener de ta garde robe, et sinon je te fournirai des vêtements pour la semaine.

 

Je dis la semaine Mlle Chloé? Elle me dis oui bien sûr la semaine chérie, tu passera au minimum la semaine ici avec moi, car il est très important pour ton dressage que tu soit à ma merci 24/24 7/7 au tout début, tu a tant à apprendre petite pute. Elle me dis tu à quelque chose à redire à ca petite pute? Je dis euh..euh...non...non...non Mlle Chloé, ca me va, je serai à votre disposition Mlle Chloé, prête à apprendre Maîtresse.

 

Elle dis excellent, alors nous allons à ton appart, et ensuite en vitesse venir mettre les choses au frigo ici, et après nous irons dans un bon resto chic, et je t’offrirai un bon repas, tu l’a bien mérité ta matinée s’est très bien passé. Et dit-elle, soit sans crainte, tu sera ma chienne oui, mais je t’éviterai la honte de devoir manger dans un bol par terre, sinon qu’à de rares occasions.

 

Elle repris en disant je te veut plus une poupée sexuelle à ma merci qu’une chienne au sens propre. Je ferai donc de toi une accro à l’excitation intense et aux supplices, plus qu’une servante vivant l’humiliation et la douleur. Merci Mlle Chloé, je ressent sincèrement que je serai super bien traitée avec vous, et je jure de vous servir de mon mieux. Elle dis parfait, alors partons maintenant.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits Maitresse Soumise
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Lundi 20 janvier 1 20 /01 /Jan 11:06

Part III : Mes devoirs

 


 

J’habitais un gros complexe de bloc appartements, en plusieurs bâtiments, et il y avais un grand espace central pour le stationnement et du terrain paysagé. Comme c’étais samedi et qu’il faisait un très beau temps, il y avais beaucoup de monde à l’extérieur et sur les balcons. En descendant de voiture je me sentais déjà observée, et je me sentais vraiment légèrement vêtue.

 

Mlle Chloé eu la bonne idée à ce moment précis d’appuyer sur un bouton de la commande à distance ce qui enclancha la vibration dans mon sexe. Un sursaut me pris, et j’ai immédiatement ressenti son contrôle sur moi. La vibration de la route avais déjà excité mon cul assis sur ce bouchon que je sentais bien, et là, c’étais mon sexe qui sentais l’excitation monté.

 

En marchant du stationnement au bloc, les escaliers et les couloirs jusqu’à mon appart, les sensations étaient encore plus intense. Une fois dans mon appart, Mlle Chloé à couper la vibration, ce qui me calma un peu, mais le mal étais fait, je me sentais coulé encore et en excitation. Elle me dis regarde dans ton frigo et congèle tout ce qui peut l’être, et met dans un sac tout ce qui est susceptible de se perdre.

 

Pendant ce temps elle examinais mon appart, et me dis que malgré mon peu de moyen, j’avais joliment décoré mon petit chez moi. Puis elle se rendit à ma chambre et examina ma garde robe. Elle y pris deux robes courtes qu’elle aimais bien, trois de mes jupes les plus courtes, et deux de mes hauts les plus sexy. Elle mis tout ca sur mon lit et sorti aussi deux de mes paires de talons hauts qu’elle à aimer. Elle me dis de prendre mes médicaments s’il y a lieu, mes petits effets personnel, estéthique et autre.

 

Après avoir emballé le tout, Mlle Chloé est venu vérifié l’état de ma fente sous ma jupe, et a cru bon d’augmenté un peu cette excitation en masturbant mon clito quelques minutes, juste assez pour que le jus coule bien sur mes cuisses et descende en bas de ce que ma jupe cachais. Puis nous avons apporté tout ca à son auto et nous sommes repartis chez elle. Mlle Chloé n’a pas oublié de redémarré la vibration au sortir de mon appart.

 

Au sortir de la voiture rendu chez elle, elle n’a pas oublié non plus. Nous avons déposé rapidement les choses chez elle et nous sommes repartis. Mlle Chloé n’a pas eu à redémarrer la vibration, comme elle ne l’avais pas couper chez elle. Elle cru bon de conservé la vibration active pour le trajet vers le resto, qui a pris environ 10 minutes. Il y avais une petite file à la porte, mais ca semblais entrer rapidement, malgré que le resto semblais bondé. On nous fit finalement entrer après 5 à 10 minutes d’attente et on nous assigna une place.

 

Malgré qu’on étais un samedi, le resto semblais beaucoup plus contenir des gens d’affaire, principalement des hommes, que des familles. Les alentours de notre table étaient principalement remplis d’hommes. J’essayais de faire comme si de rien n’étais, mais j’étais ultra gênée et me sentais très observée. Je ressentais une excitation folle et je savais que mon jus coulais sur mes cuisses, et que si un homme observais bien, il verrais mes cuisses reluire et saurais que je suis excitée.

 

Je crois que malgré tout, c’est surtout les fentes de chaque côté de ma jupe et le fait qu’elle soit très courte qui a capté l’attention de ces messieurs. Une fois bien installées à notre table, Mlle Chloé a malencontreusement fait tombé son couteau par terre, et me demanda de me pencher et lui ramasser, question probablement de faire reluquer dans mon décolté.

 

Puis elle me demanda si j’étais confortable, ce à quoi j’ai répondu oui Mlle Chloé. Elle me dis ici je désire que tu m’appel Maîtresse petite chérie, et que tu ne le dise pas à voix basse mais de façon normal, ce à quoi je répondit oui Maîtresse. Je prenais bien conscience que nous n’avions pas besoin de crier pour que les 4 messieurs de la table directement à côté de nous entendent en partie nos discutions.

 

Puis elle repris sa question, avec un ton un peu plus audible, et la précisa. Est tu bien confortable, assise sur ce jouet dans ton cul petite salope? Un gros oufff dans ma tête, en ayant vu du coin de l’oeil quelques têtes se retournés vers nous en entendant ces mots. Puis je dis oui Maîtresse je suis assise confortablement, je vous remercie.

 

Mlle Chloé se tourna vers les messieurs qui nous observais à côté et dis ahh ces jeunes esclaves il faut bien les dresser, mais celle ci débute et se montre très obéissante. Les hommes ont acquiecé d’un léger sourire et un signe de tête poli, mais semblais bouche bée.

 

Je me sentais hyper gênée, honteuse, puis le regard de Maîtresse et son sourire me fit comprendre de sourire également. Je lui fit un sourire et je me sentais un peu apaisée de sa complicité en quelque sorte. Elle me fais un signe des yeux qui semblais dire tourne ton sourire vers les messieurs un peu, ce que je fit, et ma foie, avec je crois un regard très cochon dans les yeux, en me sentant fière de paraître comme Maîtresse le désir et embarqué dans son jeu.

 

Puis Maîtresse coupa la vibration pour le repas et nous avons manger un très délicieux repas que j’ai très apprécié. Nous sommes ensuite rentrer à la maison, avec une délicieuse vibration en moi, que j’en étais rendu à adorer et désirer, presque prête à la quémander. Je me suis surprise à avoir beaucoup aimer cette expérience public, autant chez moi qu’au resto, et je l’avoue, toute cette excitation m’enchante au plus haut point.

 

Une fois à la maison, Mlle Chloé s’empressa de me retirer ma jupe d’abord, puis ensuite ma blouse, ne me laissant que mon porte jaretelle, mes bas et mes sandales à talons hauts, et bien entendu mon collier de chienne. Elle me dis de resté debout bien droite, mains sur la tête et jambes bien ouvertes. Elle me retira le bouchon de mon cul, et ensuite l’oeuf vibrant.

 

Elle alla à sa chambre et revint nue avec deux jouets à la main, dont celui que j’avais dans mon cul en matinée. Elle s’agenouilla devant moi et commenca à lècher ma fente juteuse, puis remonta à mon clito, en le dévorant langoureusement. L’excitation montais en flèche, j’étais de plus en plus fragile à la moindre caresse. Elle prenais bien soin de ne pas trop exagéré dans son ardeur et ne pas trop me maintenir au bord de jouir, mais sans trop souvent laissé respiré mon clito.

 

Puis je senti s’introduire dans ma chatte le jouet que j’avais apprécié dans mon cul le matin. Nul besoin de lubrification il entra aisément, et aussitôt qu’elle a eu entré le tout, elle commenca de doux va et viens, presquement ressortir et insérer de nouveau, qu’elle cessais par moment, quand elle sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Elle me dis je veut apprendre à bien te deviné petite pute, mais averti moi si jamais tu pense explosé, car je tiens mordicus à ce que tu ne jouisse pas salope compris? Compris Mlle Chloé.

 

Elle du s’abreuvé de moi durant un bon 20 minutes, possiblement plus, je perdais la notion du temps dans toute cette excitation. Sa langue savais délicieusement caressé mon clito et le maintenir à un haut niveau d’excitation, sans le laissé explosé de plaisir. Elle me disais souvent ton jus de salope est délicieux, donne s’en encore à Maîtresse, étanche ma soif petite pute.

Puis elle me laissa un instant, et revint avec un sac de couchage qu’elle étendit sur le plancher du salon, question de confort. Elle me fit mettre à 4 pattes, les bras bien tendu pour gardé mon corps parallele au plancher. Elle me laissa le premier jouet bien rentré dans ma chatte, puis lubrifia le second jouet, un long pénis à deux bouts d’une bonne dimension. Elle inséra ce dernier jouet dans mon cul en grande partie.

 

Ensuite elle vint s’installée derrière moi, dos à moi, et se mis en position levrette. Nous étions cul à cul, elle pris l’autre bout du jouet et l’inséra dans sa chatte, puis se recula un peu plus vers moi. Elle me dis allez petite salope c’est toi qui va s’occupé du mouvement, fais bien plaisir à ma chatte et fais moi jouir petite pute. Je du me concentré à faire les mouvements de balancier d’avant en arrière pour faire un va et viens dans la chatte de Mlle Chloé.

 

Je m’aperçu très vite que je devais bien serré les fesses sur le jouet si je voulais qu’il n’entre pas plus en moi mais entre en Mlle Chloé. Les premiers coups, je me l’avais entré encore plus profond dans mon cul, assez loin pour que ca me fasse mal et que je lache un cri, en me surprenant à quel point ca semblais être rendu creux en moi. Mlle Chloé avais laissé échappé un rire, et m’a dis ne garde pas tout pour toi sale petite gourmande.

 

J’entendais ses gémissements et ca m’excitais encore plus. J’ai du demandé quelques temps d’arrêt entre les trois orgasmes que j’ai provoqué à Mlle Chloé, j’avais du mal à contenir mon propre orgasme auquel je n’avais pas droit. Je réalisais à quel point c’étais pénible et cruel de donner l’orgasme à ma Maîtresse avec ma propre excitation, et que le mien m’étais refusé, cruel, mais j’avais maintenant accepté ce fait, j’étais une machine à donner du plaisir, non à en recevoir.

 

Malgré tout, je me sentais très comblée par l’excitation que je recevais avec ces jeux plus pervers les uns que les autres, avec ces supplices excitants et délicieux, j’y avais pris goût royalement, je prenais un malin plaisir à être aussi excitée sans avoir droit à l’orgasme, j’appréciais, je savourais, j’étais très contente de mon sort. J’abandonnais mon propre plaisir au profit de celui de Mlle Chloé, et je me sentais heureuse de cette interdiction de jouir, je dégustais le plaisir nouveau de la retenue et la servitude, je me sentais poupée, contrôlée, abusée, et heureuse de l’être.

 

 

Puis après ces trois orgasmes, Mlle Chloé me dis de me redressée, en lui laissant à elle le jouet dans sa chatte. Elle me dis sort moi ce jouet que tu a dans ta chatte. Elle se coucha sur le dos et pris ses genoux derrière ses bras, de sorte à bien relevé son cul et être toute ouverte. Elle me dis enfonce moi ce jouet dans mon cul petite pute, et fais le de sorte à ce que j’ai du plaisir à l’insertion, soit salope.

 

Puis elle m’a dis tu m’a sucé le clito, maintenant je veut jouir de ta masturbation et te rendre experte à masturber Maîtresse. Montre moi ton talent et si tu n’est pas à la hauteur je t’enseignerai pour cette fois, par la suite ca sera la punition c’est compris? Oui Mlle Chloé, je ferai de mon mieux sinon je serai punie à l’avenir, merci de m’offrir une chance cette fois ci bonne Maîtresse.

 

Dans ma tête j’ai repensé à ce qui me fais capotée moi quand je me masturbe, et j’ai tenté de bien reproduire ca de mes doigts sur le clito ultra gonflé de Mlle Chloé. Dès les premiers instatnts, Mlle Chloé s’est mise à gémir et sa tête roulais de gauche à droite, de droite à gauche sur le sac de couchage, sa respiration étais saccadé, et à ses signes, j’ai compris que je m’acquittais bien de ma tâche, à mon grand soulagement. Aucune remarque de la part de Mlle Chloé, elle semblais savouré et grandement apprécié mes caresses.

 

J’étais toute fière de moi, pour une fois, je n’avais pas de leçon à apprendre, je faisait bien du premier coup, à en croire ses réactions. Elle jouit en à peine 2 ou 3 minutes, et m’enleva aussitôt la main de là, afin que je ne continu pas. Elle me dis merde salope tu masturbe comme une déesse, mon clito est en feu et je doit prendre un souffle avant de te dire de me le refaire une autre fois.

 

Je souriais à Mlle Chloé et je sentais un bonheur intense en moi d’avoir su si bien faire et plaire à Mlle Chloé autant, assez pour en recevoir ce que j’ai qualifié de compliments. Elle m’a dis approche ta bouche salope avant de reprendre et frappe moi de ton plus magnifique french de chienne. Un long french langoureux s’en suivi, et encore une fois, je le prenais comme une grande récompense pour mon bon travail et ma servitude.

 

Puis aussitôt le french terminé, elle me repoussa vers l’arrière pour que je retourne entre ses cuisses et me dis vas y sale pute refait moi ca et ne ménage pas tes efforts pour me surprendre encore par ton efficacité. Elle conclus en disant je t’adore ma pute jamais je n’ai été aussi bien masturbé que par toi, et ca inclus même par moi. Sur ca j’ai repris ma tâche avec un malin plaisir, je me suis efforcé d’être encore plus salope sur elle, encore plus chienne, je me sentais experte et désireuse de faire royalement capotée ma Maîtresse.

 

Mlle Chloé râlais et gémissais à mon grand plaisir, j’étais si contente d’offrir autant de plaisir, de donner généreusement, sans rien attendre en retour, de sentir frémir si intensément ma Maîtresse sous mes caresses, je sentais que c’étais le coup génial de ma journée.

 

Après un autre orgasme super explosif de Mlle Chloé, elle me dis nous allons prendre un peu de repos et discuté sérieusement maintenant. Elle me dis je vais laissé reposé tes trous un moment, tu a bien travaillé jusqu’à présent, je ne vais que te remettre tes pinces au clito et aux seins, question que tu soit belle et que tu sente toujours mon contrôle sur toi.

 

Elle me dis d’ouvrir la bouteille de vin et nous verser chacune une coupe, et qu’elle s’assoiera sur le divan et moi je m’installerai à genou à ses pieds, sur le sac de couchage. Elle retira les jouets qu’elle portais, alla se passé une débarbouillette à la salle de bain, me ramena une débarbouillette pour moi également, et je lui en remercié de son attention.

 

Une fois bien installée, elle me dis je veut connaitre tes sentiments profond jusqu’à présent. Je dis Mlle Chloé il est évident que je n’ai jamais rien vécu d’aussi intense et excitant de ma vie. Je ne sais toujours pas à quoi m’attendre encore, mais j’adore cette expérience, et j’accepte de confier mon corps à vos bons soins Maîtresse. Je capote vraiment de cette journée jusqu’à maintenant, et malgré que je n’aurais jamais penser aimer vivre une telle expérience, je réalise qu’au plus profond de moi, j’adore ce que vous me faite vivre Mlle Chloé.

 

Un moment de silence, elle sourit, elle semblais émerveillée de ma réaction et de mes propos, et vraiment contente que ce qu’elle m’a fais vivre me plaise autant. Puis elle me dis je l’ai bien senti, tu dis vrai, mais les mots que tu a utilisés pour le dire m’épate, ils sont bien choisis et bien sentis, je sent ta sincérité et je suis si heureuse de ne pas m’avoir trompé, j’avais la peur de te faire vivre des choses qui t’aurais traumatisée, ou du moins qui t’aurais déplus, mais je constate que ce n’est pas le cas heureusement pour nous deux.

Maintenant tu doit prendre conscience que tout ca implique des règles, des punitions, et des devoirs. Je dis oui Mlle Chloé, je réalise que vous êtes le guide et que je doit vous suivre. Elle me dis en plus d’être aussi mignonne et salope, tu est très intelligente petite chérie. Il n’est pas obliger d’être conne pour être une esclave, et je sais très bien que tu est une fille très brillante, ce que j’adore entre autre de toi.

 

La première règle est bien sûr que tu doit m’obéir en tout temps et jamais refuser un ordre. La seconde règle est que tu ne doit jamais jouir sans ma permission, sans quoi c’est évidemment la punition.

 

Tu doit en tout temps te sentir ma propriété et mon jouet, ma prisonnière, mon esclave, ma pute, ma poupée. Tu doit en être heureuse et fière. Tu doit toujours n’avoir en tête que le plaisir de ta Maîtresse, rien d’autre.

 

Ton corps est entièrement sous mon contrôle jour et nuit, et ca implique que tu ne te touche plus du tout à moins que je t’en donne l’ordre. Tu prendra ta douche en prenant bien garde de ne pas te faire d’attouchements qui te donneraient du plaisir. Tu te regardera nue dans le miroir en te répetant que ce corps n’est plus à toi mais bien à moi.

 

Même en regardant un film de cul et que ton clito est en feu, en désir de caresse, tu ne te touchera pas sans en avoir l’ordre ou la permission. Très important, si tu commet la moindre faute, par erreur, par réflexe, ou pour n’importe quel raison, tu doit obligatoirement te dénoncer à moi, même en sachant qu’il y aura punition.

 

Tu doit apprendre tout de suite que si tu désire vraiment être mon esclave, tu ne peut te permettre de tricher. Si un jour tu ment, tu triche, tu te sentira très coupable et mauvaise esclave, ce sentiment détruira ton plaisir d’être soumise, tu doit donc passer par dessus ta peur d’être punie et dénoncer chacunes de tes erreurs ou tricheries, même involontaire.

 

Selon le contexte, Maîtresse pourra se montré très compréhensive ou très sévère, à toi de savoir dévoiler au plus vite tes fautes, car le facteur temps comptera également. Je sais pertinement que tu commettra des fautes parfois, même sans le vouloir, mais dénonce toi toujours au plus tôt, et je serai indulgente, selon la gravité de la faute bien sûr.

 

Tu comprend bien jusqu’à présent ma chérie? Oui Mlle Chloé je comprend chacunes des règles et je les acceptent de bonne foi Mlle Chloé. Excellent petite, alors maintenant les devoirs.

 

En tant qu’esclave, un jour il importera que tu prenne l’heure sur ta montre où commencera un supplice, car un jour tu devra endurer un minimum de temps avant d’avoir droit à demander une pause. Par example, quand je te masturberai, un jour tu devra tenir un certain temps, dont je veut une progression, et si tu demande une pause avant ce temps, tu sera punie.

 

Mais je tiendrai compte du contexte, car je sais bien que certain contexte seront beaucoup plus excitant que d’autre et donc plus dur à retenir. Le principal à ce moment, est que tu comprenne que ca sera à ta charge de regarder ta montre.

 

À partir de maintenant, et même lorsque je te permettrai de retourné chez toi, tu a un devoir que je ne répeterai plus jamais, considère le comme un ordre permanent. Chaque soir au coucher, lorsque tu te couche pour dormir dis-je bien, tu devra te masturbé le clito 20 minutes, et le matin au réveil, obligatoirement avant d’aller au pipi, tu fait pareil c’est compris? Oui Mlle Chloé c’est compris, mais est-ce que je vais tenir le coup 20 minutes?

 

Elle me dis pour le moment tu peut prendre les pauses dont tu a de besoin, mais un jour tu n’aura plus droit aux pauses ce sera le temps minimum c’est clair? Oui Mlle Chloé. Et ceci sera valable même lorsque tu couche ici et que je viens tout juste de jouer avec ton corps compris? Compris Mlle Chloé.

 

Profite s’en bien, ce sont les seuls moments où tu aura droit à te toucher, à moins que je te dise autrement. Certaines nuits, je t’obligerai à porté des jouets et tu devra obéir même chez toi loin de moi c’est clair? Oui très clair Mlle Chloé.

 

Avec le temps, nous travaillerons ton endurance aux supplices, à la masturbation et tout, pour le moment nous nous concentrerons sur ton éducation, mais je veut juste que tu sache que ca viendra.

 

Dans tes devoirs, lorsque je te le dirai, tu devra annoncer à toutes tes amies filles, que tu est une esclave, mon esclave sexuelle. Tes parents ne le sauront pas, mais tes amies oui, tu devra être fière de leur avouer et leur dire que tu m’appartient en entier.

 

Tu aura des congés, tu pourra me parler des choses que tes amies veulent organiser et je t’accorderai des sorties, sans aucun supplices, libre comme l’air, mais toujours avec les mêmes règles. Si jamais tu doit coucher un soir chez une amie, même dans le même lit, tu te doit de faire ta période de masturbation, même sous son regard je m’en fou, mais personne ne te touche sans ma permission.

 

Si ca excite tes amies ton statut, dis le moi, et je verrai ce que l’on fera, selon l’ouverture de ton amie, ou tes amies, je n’ai rien contre si un jour l’envie leur prend d’abuser de toi, mais avec ma permission et selon mes règles.

 

Te sent tu prête à obéir à tout ca petite salope? Euhh...c’est sévère...mais oui Mlle Chloé, si c’est pour votre plaisir, j’obéierai en toute bonne foi à toutes ces règles, et je ferai tous mes devoirs Maîtresse.

 

Je t’adore petite pute, je ferai de toi une sacrée bonne esclave, et je ferai en sorte que tu y prenne vraiment goût, mais je crois que c’est déjà en bonne voie ca, je te sent sincèrement soumise et heureuse de l’être, mais demain nous reparlerons de tout ca, après une nuit de repos, car la nuit porte conseil.

 

Je sais aussi que présentement tu est sous l’influence de l’excitation, et qu’une fois bien excitée, toute personne est beaucoup plus ouverte. Je ne dis pas que tu aura toute la nuit de repos, mais une bonne partie, qu’elle dis avec un gros sourire qui en dis long sur ces intentions.

 

Elle ajouta et pour cette semaine, au travail tu ne portera aucun sous-vêtements, tu t’habillera comme je te le dirai, soit robe ou jupe, bas résille et talons hauts, et tu portera les boules chinoises et le même petit jouet dans ton cul que pour le resto. C’est fini le temps où tu t’habillais en jeans et chandail pour le bureau, tu va t’habiller de façon féminine, et mieux laissé voir la jolie fille que tu est, surtout mieux faire paraître ce joli corps qui m’appartiens maintenant, c’est bien clair? Oui Mlle Chloé, je ferai selon vos ordres.

Par laquaisdomestiquebricoleur42 - Publié dans : Récits Maitresse Soumise
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