Le blog de laquaisdomestiquebricoleur42
récit1
Une FEMME ET SON MARI SOUMIS
"Chéri, tu veux bien nous faire du thé ?"
Je venais d'arriver à la maison, ma femme et une de ses amies, Christine, étaient confortablement installées dans la canapé du living.
"Bien sûr," répondis-je en me dirigeant dans la pièce pour leur dire bonjour, "je me débarrasse de mes affaires et je m'en occupe."
"C'est bien d'avoir un petit mari qui s'occupe de tout !" dit Christine en riant, pendant que je m'approchai d'elle pour lui tendre la main.
"Oh, ça ne le dérange pas ! Tu feras bien ça pour nous, n'est-ce pas mon chéri ?" répliqua ma femme en ajoutant : "nous sommes crevées, nous avons couru les magasins toute la journée..."
C'étaient les premiers beaux jours et elles étaient toutes les deux en chemisier, jupe courte de toile et sandales. Ma femme était déjà bronzée car elle adorait s'exposer dès les premiers rayons;
Christine était quant à elle, une jolie brune piquante à la peau mate, toujours souriante.
Je filai dans la cuisine où je m'empressai de leur préparer le thé ; j'installai tasses et soucoupes sur un plateau, sans oublier deux petites serviettes, une coupelle avec des tranches de citron
et une assiette de gâteaux secs. De retour dans le salon, je m'approchai de la table basse et m'agenouillai pour poser le plateau sans risquer de le renverser.
"Eh bien dis donc," s'exclama Christine en se tournant vers ma femme, "ton mari est une vraie petite fée du logis... tu en as de la chance. Comment fais-tu ?"
"Oh, je crois que ça lui plaît..." répondit-ma femme et se tournant vers moi en me regardant dans les yeux: "En plus, il peut avoir sa récompense quand il a bien travaillé."
Je rougis sous l'effet de son regard en imaginant très bien ce à quoi elle pensait et en espérant qu'elle n'oserait le dévoiler devant son amie.
"Ah, bon ?" insista Christine, "et il a droit à quoi comme récompense ?"
J'étais toujours à genoux et m'apprêtai à servir le thé dans les tasses. Ma femme était assise sur ma droite, les jambes croisées, les pieds nus dans ses jolies sandales de cuir rouge, à peu près
à hauteur de la table basse.
"Approche !" me dit-elle.
Toujours à genoux, je me rapprochai d'elle jusqu'à ce que son pied frôle ma poitrine. Elle le souleva légèrement pour qu'il vienne à hauteur de mes lèvres. Je baissai les yeux et contemplai son
pied adoré, ses jolis orteils, vernis de la même couleur vermillon que ses sandales; je ne vis pas l'étonnement qui se lisait sur le visage de Christine mais j'entendis l'ordre de ma femme :
"Tiens, voilà ta récompense: sens l'odeur de mon pied !"
Je sentis le sang affluer à mon visage et bourdonner dans mes oreilles; je me penchai et humai à grandes inspirations l'arôme que dégageait son pied. Elle avait marché toute la journée et l'odeur
de son pied était forte, mélange de cuir et de sueur, mais c'était pour moi un merveilleux parfum que je respirai le plus profondément possible et qui déclenchait chez moi, comme à l'accoutumée,
une impressionnante érection.
Tout en me laissant respirer son odeur, ma femme se retourna vers son amie qui n'en croyait pas ses yeux :
"Tu vois, ce n'est pas si difficile ! C'est comme une drogue pour lui," et s'adressant à moi, elle ajouta "N'est-ce pas mon chéri que c'est une drogue pour toi ? Tu en voudrais plus, hein ? Tu
voudrais bien les lécher !"
"Oh! s'exclama Christine, "il fait ça aussi !"
"Bien sûr. Tiens, installe toi bien et prends ta tasse de thé ; pendant ce temps il va te masser les pieds, tu vas voir, c'est divin..." Elle me donna une petite tape sur la joue avec la semelle
de sa sandale et me dit :
"Tu entends, occupes toi de masser les pieds de ma copine et fais le bien, ne me fais pas mentir !"
Je fis le tour de la table basse, toujours à genoux et prit délicatement entre mes mains le pied gauche de Christine; il était un peu plus court et carré que celui de ma femme, plus potelé aussi.
Ses ongles étaient également peints en rouge carmin. Je défis lentement les attaches qui enserraient la cheville et commençai à masser avec ferveur le pied qui s'abandonnait à mes caresses. Je
pressai la plante, j'étirai lentement les orteils, un par un, pour revenir vers la plante, puis la cheville. Après une dizaine de minutes de ce régime, Christine qui entre temps avait fini sa
tasse de thé et l'avait reposée sur la table, rejeta la tête en arrière en soupirant :
"L'autre maintenant, il est jaloux !" et elle tendit impérieusement son pied droit, tout cambré vers moi. "Tu as raison," dit elle en s'adressant à ma femme, "c'est absolument divin."
Je m'occupai de la même façon de son pied droit, le gauche reposant sur ma cuisse. Pendant que je massais son adorable pied, je sentis le mouvement imperceptible du pied gauche de Christine qui
s'insinuait vers mon sexe toujours aussi tendu pour en apprécier la raideur. le manège n'avait pas échappé à ma femme qui se mit à rire :
"Tu vérifies si ça marche ! Tu sais, je crois qu'il n'y a rien qui le fasses mieux marcher que ça !"
Elles éclatèrent de rire toutes les deux en me regardant toujours absorbé dans le massage des pieds de Christine.
"Tu veux qu'il te les lèches ? Je suis sûre que tu ne sais pas à quoi ça ressemble ?" demanda soudain ma femme à son amie.
"Tu crois qu'il va vouloir ?" répliqua Christine en parlant de moi, "en plus mes pieds ne sont pas très propres, nous n'avons pas arrêté de marcher toute la journée !"
"Ca n'est pas grave !" répondit aussitôt ma femme et s'adressant à moi: "Dis à Christine que ses pieds sales sont adorables et que tu vas les lécher !"
"Oui", répondis-je, toujours à genoux devant elles, "ils sont adorables et j'adorerais les lécher !"
Tiens, j'ai une idée, tu vas t'allonger sur le dos devant le canapé, comme ça, tu pourras me lécher les miens aussi. Christine va me faire une petite place à côté d'elle." Elle m'ordonna :
"Enlèves moi mes sandales et allonges-toi !"
Je m'exécutai et je vis qu'elles approchaient lentement leurs merveilleuses plantes de pieds, c'est vrai, un peu sales d'avoir trop marché, de mon visage et de mes lèvres avides. Ma langue
servile commença son travail et je me pris en fermant les yeux de plaisir, à essayer de reconnaître l'odeur et le goût différent des pieds de ma femme et de son amie. Je les entendais se raconter
leur journée et rire tout en frottant leurs adorables pieds sur mon visage. Ma queue était tendue à faire craquer mon slip !
récit 2
le cercle privé de Dames dominatrice.
Vendredi matin, 8h 30. Une grosse Porsche arrive en vrombissant devant le portail discret d'un hôtel particulier parisien et s'arrête un instant. Le moteur monte
dans les tours à trois reprises, comme pour traduire de l'impatience et le portail s'ouvre enfin. L'impressionnante voiture pénètre alors dans une vaste cour et s'y immobilise. Un homme en livrée
vient en ouvrir la portière et salue respectueusement la conductrice. Celle-ci, fine, élégante, chaussée de sandales à talons particulièrement sexy ne répond pas, se contentant de montrer sa
voiture d'un geste vague de la main « Je la veux nickel, du toit aux jantes, intérieur et extérieur ». Puis d'un pas pressé, elle se dirige vers les marches de pierre menant au bâtiment.
Diane de Noblecour avait toujours été habituée à vivre dans le luxe au milieu de nuées de serviteurs. Très jeune, elle avait pris goût au pouvoir et à l'autorité, suivant en cela l'exemple d'une
mère autoritaire traitant sans ménagement aussi bien son personnel qu'un mari dressé par ses soins et tenu depuis à sa botte. Adolescente, Diane jouait de son pouvoir de séduction pour mener ses
camarades masculins par le bout du nez. Un peu plus tard, elle avait développé un goût militant pour la domination et prônait la suprématie de la femme sur l'homme. Après de brillantes études,
elle avait créé sa propre société informatique, dans un créneau qui devait se révéler aussi porteur que lucratif. Son entreprise ne comptait guère qu'une quinzaine de salariés, mais son
organisation traduisait la conception des rapports entre les sexes de sa créatrice : les femmes, majoritaires, occupaient les postes de responsabilité, les hommes étaient cantonnés aux postes
subalternes...
Passionnée d'informatique, elle avait été une pionnière sur Internet, créant son propre site consacré à la supériorité de la Femme sur l'homme et à l'adoration des pieds féminins. Outre diverses
pages destinées à présenter ses pieds à l'admiration du monde, elle avait rapidement eu l'idée d'exhiber ses conquêtes masculines en mâles vaincus, tenus en laisse à ses pieds comme des chiens.
Sous chaque photo, des liens renvoyaient à la photo de la ou des paires de chaussures dont chaque esclave avait fait l'offrande à sa maîtresse. C'est peu de temps après que l'idée avait germé,
avec quelques amies fidèles partageant ses goûts, de fonder un club privé.
Ainsi était né le club des princesses, abrité dans un premier temps au domicile de chacune des fondatrices. Mais Diane avait de plus hautes ambitions et bientôt, le club devint une association en
bonne et due forme sous le nom de « Cercle Artemis », dont l'objet social visait sobrement à « promouvoir l'image de la femme et offrir aux femmes une place de choix dans la société ». Le coup de
maître avait été l'acquisition d'un siège luxueux, par rachat de l'hôtel particulier d'un homme d'affaires en déconfiture.
Le cercle avait d'abord recruté ses premières adhérentes par bouche à oreille, puis le succès aidant, les conditions d'accès en étaient devenues draconiennes, faisant de la carte de membre
l'objet de bien des convoitises. Car derrière un objet social somme toute assez vague, le « Cercle Artemis » offrait à ses adhérentes un privilège peu commun : celui d'être servie et vénérée
comme une déesse par une meute d'hommes asservis et dociles. Recruté dans les connaissances proches puis par Internet, le personnel servile était composé à 90% d'hommes (certaines adhérentes
avaient toutefois formé le souhait de pouvoir disposer également d'esclaves femelles). Tous les serviteurs étaient triés sur le volet : outre un aspect physique agréable, un haut niveau
d'instruction et une soumission sans faille étaient exigés.
Diane venait à peine de gravir les marches menant au perron qu'elle entendit une voiture pénétrer dans la cour. Elle se tourna et vit un cabriolet Mercedes bleu métallisé roulant lentement pour
venir se ranger près de sa Porsche. Une jeune femme à la chevelure bouclée tirant sur le roux sortit du véhicule, saluée par le valet qui avait accueilli Diane quelques instants auparavant.
Avec un sourire, Diane tendit la main à la nouvelle venue qui venait de la rejoindre en haut des marches. « Cristina De Angelis, je présume ? Je suis Diane de Noblecour. Ravie d'accueillir une
nouvelle universitaire parmi nous... Vous êtes très ponctuelle, veuillez me suivre, je vais vous présenter nos installations... »
Les deux jeunes femmes pénétrèrent dans un vaste hall. Parvenue au centre de la pièce, Diane marqua un temps d'arrêt. Comme s'il guettait cet instant, un homme en livrée s'avança vers cette
dernière et posa un genou au sol devant elle, baisant la main qu'elle lui présentait négligemment. Puis il se prosterna pour lui baiser les pieds, sous le regard étonné puis amusé de la nouvelle
venue.
Devançant la question, Diane expliqua à son compagne que ce cérémonial était facultatif. Si elle ne tendait pas sa main, le majordome se contenterait de baiser les pieds de l'arrivante. Et si
celle-ci le désirait, elle pouvait ne pas marquer de pause en entrant et n'être saluée que verbalement. Diane repoussa du pied le domestique et se dirigea vers le bureau d'accueil. Sous les yeux
de Cristina, elle consulta attentivement un écran d'ordinateur affichant des listes de noms et des symboles de couleur. « David et Xavier » annonça-t-elle au majordome, qui avait discrètement
repris sa place. Quelques instants plus tard, deux hommes portant pour seuls vêtements un pagne blanc et un collier de chien se présentèrent à l'accueil, le regard baissé. Diane saisit une laisse
sur une petite table basse et la fixa au collier du premier homme. Elle tendit le bout de la laisse à sa compagne, puis mit en laisse le second pour son usage personnel.
Elle conduisit ensuite son invitée dans une petite pièce calme, chacune des deux femmes tirant son homme en laisse à sa suite. Diane s'assit dans un canapé confortable et fit s'allonger son
esclave à ses pieds. Cristina De Angelis suivit son exemple. Puis Diane posa le plus naturellement du monde sa sandale au milieu du dos de l'homme-tapis et croisa les jambes, balançant
gracieusement son pied droit. Un peu intimidée peut-être, Cristina De Angelis se contenta dans un premier temps de poser ses pieds chaussés d'escarpins à bout ouvert bien à plat sur le dos qui
s'offrait à elle. Diane lui sourit et prit la parole : « Je vais à présent vous présenter les modalités de fonctionnement du Cercle de manière plus approfondie... »
Après une bonne heure de discussion, les deux jeunes femmes sortirent de la pièce d'humeur enjouée. Elle se tutoyaient désormais. Diane congédia les deux hommes-tapis, dont les dos étaient
copieusement couverts des traces rouges laissées par les talons de leurs maîtresses.
« Maintenant, je vais te faire visiter les locaux, suis-moi »
Les locaux s'organisaient en diverses pièces et salons luxueusement aménagés. Diane et Cristina traversèrent le grand salon d'honneur, désert à cette heure. Dans les petits salons adjacents en
revanche, Diane put remarquer la présence matinale de certaines de ses amies et de personnalités.
Les deux jeunes femmes saluèrent ainsi une jeune sportive de renom, qui lisait nonchalamment un magazine, vautrée dans un profond fauteuil de cuir les pieds croisés sur le dos nu d'un homme tapi
devant elle. En s'éloignant, Diane donna plus de précisions à sa compagne sur la scène à laquelle elle venait d'assister
« Cet homme, là, c'est un ancien financier. Il était plutôt influent jusqu'à ce qu'un retournement boursier lui coûte sa place et sa réputation. Après, ca a été la déchéance, sa femme l'a quitté,
il avait des dettes, tu vois le tableau. Je l'ai recruté par Internet. Contrairement aux esclaves « volontaires » qui payent une cotisation pour avoir l'honneur de nous servir, il fait partie des
salariés du Cercle. Il gagne le SMIC et son grade « officiel » est agent d'accueil. En fait, il s'occupe essentiellement de ménage et d'entretien et n'a pas son pareil pour faire briller une
paire d'escarpins ou de bottes poussièreuses. Avec sa langue. Je suis très friande de ce genre de recrue : n'est-ce pas magnifique de voir un homme jadis puissant et respecté, utilisé comme
repose-pieds par une gamine qui pourrait être sa fille ? Mais il y a quand même une morale heureuse pour ce vil esclave, ajouta Diane en riant, c'est que son fétichisme l'a sauvé d'une misère
bien plus grande... »
Un peu plus loin, Diane présenta Cristina à deux femmes d'une quarantaine d'années qui conversaient gaiement tandis que deux esclaves, un homme et une très jeune femme prodiguaient à leurs pieds
massages et soins de beauté. « Deux femmes influentes dans le monde du spectacle : elles font et défont des carrières » expliqua Diane. « La blonde a fait don au Cercle de son ancien esclave
personnel, un homme fou amoureux d'elle qui avait tout sacrifié pour elle. Je dois dire qu'il est impeccablement dressé et supporte les piétinements les plus intensifs avec une rare endurance...
L'autre femme est une productrice. Elle adore humilier des filles plus jeunes et plus jolie qu'elle. L'un de ses jeux favoris consiste à gifler une fille « pour lui donner des couleurs » puis à
se faire longuement lécher les pieds par sa victime en lui expliquant par le menu à quel point elle la considère comme une petite pute incapable... C'est l'une de nos membres qui a réclamé la
présence de domestiques femelles et elle se charge de les recruter. Je ne sais pas comment elle fait, mais il lui arrive de ramener de vraies filles de rêve qu'elle traite comme des paillassons.
Au sens propre. Honnêtement, ce n'est pas ma conception des choses, mais après avoir essayé, je dois avouer que je ne déteste pas me faire lécher les pieds par une fille de temps en temps...»
Non loin, un peu à l'écart, une femme d'affaires à en juger par sa tenue stricte, téléphonait de son portable tandis qu'un homme en laisse lui léchait humblement les pieds. Diane continuant sa
présentation, informa Cristina De Angelis que des chambres étaient à la disposition des membres, à l'étage, afin qu'elles puissent utiliser leurs esclaves comme bon leur semblait en toute
discrétion. C'est alors que venant d'un salon retiré, elle entendit des éclats de voix qui excitèrent sa curiosité : Pénétrant discrètement dans la pièce avec Cristina, Diane aperçut l'une de ses
meilleures amies, Line Duplessis, co-fondatrice du club des princesses, occupée à morigéner et maltraîter copieusement un infortuné serviteur.
« Regarde mes ongles de pied, espèce de porc, regarde comme ils sont longs, regarde comme ils sont beaux... »
Plutôt petits, les pieds de Line se caractérisaient par des ongles très blancs et légèrement bombés qu'elle aimait laisser pousser de deux à trois millimètres de plus que la normale. Ces ongles
longs étaient sa grande fierté et donnaient à ses mignons orteils un aspect particulièrement impressionnant lorsqu'ils n'étaient pas vernis.
« Tu sais pourquoi mes ongles sont si beaux et si forts ? C'est parce que je me débrouille toujours pour trouver un porc de ton espèce pour les sucer et les nettoyer avec sa langue. Qu'attends-tu
pour lécher mes pieds, allez ! »
Cet ordre fut ponctué par un vigoureux coup de talon dans le dos du serviteur prosterné, qui s'empressa de se mettre à l'ouvrage sur le pied gauche de sa maîtresse...
Diane s'approcha de son amie en souriant et lui présenta la nouvelle adhérente. Line leur adressa un grand sourire, tout en posant confortablement son pied droit sur l'échine de l'esclave prostré
devant elle.
« Tu crois vraiment que la salive de mâle est la recette idéale pour des ongles forts et des pieds de satin ? » demanda Diane en riant. Les trois jeunes femmes plaisantèrent sur ce thème quelques
instants. De temps en temps, Cristina De Angelis jetait un regard à l'esclave au sol, occupé à téter goulûment les doigts de pied de Line. Cette scène déclenchait en elle de délicieux picotements
de désir et d'excitation, tant elle lui paraissait symbolique des rapports femme / homme tels que Diane les lui avait décrit : la Femme désirable, cruelle et hautaine foulant aux pieds l'homme
misérable et vaincu, maltraité, humilié et pourtant éperdu de vénération pour Celle qui le domine. Avec un sourire complice à l'adresse de Diane, Line se mit à griffer le dos de l'homme de
l'ongle du gros orteil. Méthodiquement. Egratignant d'abord l'épiderme en y traçant une ligne blanche, puis rose, puis rouge. Encore et encore. Enfonçant la pointe de l'ongle de plus en plus
fort, toujours au même endroit. Le léchage de son pied gauche devint plus frénétique, comme si l'esclave essayait d'oublier la douleur en léchant plus vite. A moins d'une tentative désespérée
pour implorer l'arrêt du supplice ? Cristina ne quittait plus la scène du regard, regardant avec excitation Line présenter ses orteils devant la bouche de l'esclave avant de le laisser les
absorber profondément, étouffant ses gémissements de douleur, tandis qu'elle continuait à lui déchirer le dos de son ongle cruel.
Line était redoutée de tous les esclaves sur lesquels elle jetait son dévolu. Ses victimes favorites étaient d'ailleurs aisément reconnaissables aux profondes griffures qui zébraient leur corps
et aux traces de coups laissées par ses talons nus...
Avec un soupir, Cristina se résigna à suivre Diane, qui prenait congé de son amie
« Line, je peux compter sur ta présence vendredi soir, pour la soirée d'anniversaire ? »
« Et comment ! » répondit la sadique jeune femme qui venait de tendre son pied droit à lécher à son domestique tout en reprenant ses griffures d'un pied gauche encore luisant de salive...
« Ca se présente très bien, encore quelques coups de fil à donner, quelques soumis à recruter et ca devrait être grandiose, tu verras... »
Diane et Cristina quittèrent le petit salon tandis qu'à coups de talons sourds et répétés, Line châtiait son esclave, coupable de pas lui avoir nettoyé correctement le dessous des ongles.
« Effectivement, précisa Diane, je gardais cette nouvelle pour la fin : il faut absolument que tu soies des nôtres vendredi soir, pour notre soirée anniversaire : cinq ans d'existence, ca se fête
! Et compte tenu de tes goûts, tu ne regretteras pas ! »
Le vendredi qui suivit était une journée spéciale : le cinquième anniversaire de la fondation de ce qui était devenu le Cercle Artemis. Pour l'occasion, Diane avait choisi d'organiser un
réception surprise. Il régnait au club une ambiance d'assemblée plénière, des femmes de tous âges se pressant en tenue de soirée dans les salons adjacents au salon d'honneur.
Les plus perspicaces n'avaient pas manqué de remarquer la présence de plusieurs camionnettes de livraison dans la cour, ainsi que la quasi-disparition du personnel masculin, d'ordinaire à leur
disposition sur un claquement de doigts...
Le champagne coulait généreusement, permettant aux membres du cercle d'attendre agréablement la surprise qui leur avait été annoncée. Après un bref discours rappelant avec fierté à quel point le
Cercle Artemis était un succès, Diane de Noblecour, très en beauté et tenant son esclave favori en laisse, s'avança vers les portes du salon d'honneur et les ouvrit. Un murmure de surprise puis
d'admiration se fit entendre parmi les invitées : Le salon d'honneur avait été entièrement aménagé comme une exposition de chaussures et l'essentiel des mâles asservis tenaient lieu de
présentoirs : certains étaient allongés au sol dans des positions bien définies et pouvait « présenter », posées sur leur dos ou leur ventre, jusqu'à quatre modèles de chaussures différents.
D'autres, spectaculairement enchaînés, présentaient un modèle unique dans leurs mains jointes, comme une offrande. D'autres encore, prosternés face contre sol offraient leur dos à un ou deux
modèles, les sandales ou mules les plus sexy monopolisant un mâle par paire afin d'être encore mieux mises en valeur. Au fond du salon enfin, les adhérentes du Cercle, ébahies, pouvait admirer un
spectaculaire alignement de trente-cinq soumis, allongés et enchaînés côte à côte sur le sol, formant une sorte de podium, mais sur le dos desquels ne reposait aucune chaussure.
Circulant librement dans le salon, les participantes pouvaient constater que pour plus de commodité, chaque modèle de chaussures était identifié par un numéro directement inscrit au feutre sur la
peau du présentoir humain qui le supportait. En effet, tous les modèles, extrêmement exclusifs et luxueux étaient présentés par des chausseurs de renom et disponibles à l'achat. Grande
collectionneuse de mules et de sandales, Diane n'avait guère éprouvé de difficultés à convaincre ses chausseurs favoris de lui laisser organiser cette vente « sur invitation ». Elle s'était juste
contentée de rester discrète sur la manière dont les chaussures seraient présentées. Raison pour laquelle les représentantes des chausseurs et leurs vendeuses avaient été installées dans un salon
secondaire et restaient ainsi dans l'ignorance de la mise en scène « particulière » de la vente. La cliente désireuses d'essayer ou d'acquérir un modèle n'avait qu'à en relever le numéro, puis se
présenter au salon d'essayage afin d'être servie et conseillée comme dans n'importe quel magasin de chaussures. Diane avait toutefois prévu une surprise supplémentaire afin d'assurer le succès de
l'opération : toute acheteuse gagnait le droit d'étrenner sa nouvelle paire de chaussures sur un terrain digne de son rang et de sa féminité triomphante : un tapis d'hommes. Le tapis d'hommes
disposé dans le salon d'honneur, utilisable à discrétion et parfaitement réversible, selon que la femme qui l'utilisait souhaitait sentir les talons de ses chaussures s'enfoncer dans des dos
offerts, désirait piétiner des ventres contractés par l'appréhension ou, pourquoi pas, préférait poser ses délicates semelles en travers de visages rougis et déformés par l'effort...
Avec de tels moyens et une organisation aussi impeccable, la soirée fut un succès mémorable. Le cocktail au champagne qui suivit la vente fut l'occasion d'une orgie de piétinement de mâles, tant
il y avait de nouvelles chaussures à essayer avec soin sur d'aussi obligeants paillassons humains. On improvisa même en fin de soirée un petit concours de danse ouvert à toutes, la musique
permettant aux participantes de se détendre agréablement tout en couvrant les râles et gémissements des esclaves les moins résistants. Bref on but beaucoup, on rit beaucoup, on piétina et humilia
énormément et des milliers de photos furent prises. Cette soirée fut l'origine des « soirées-tapis », au cours desquelles des hommes étaient piétinés sans relâche et sans merci pour le plus grand
plaisir d'une assistance de connaisseuses. Elle permit aussi à Diane d'ajouter de nouvelles pages particulièrement « marquantes » à son site Internet...